Neurosciences et pédagogie Dans le monde de l'éducation, c'est une innovation : améliorer l'enseignement et l'apprentissage par ce qu'on connaît du fonctionnement du cerveau. Et cela s'appelle la neuropédagogie. Domaine de recherche relativement nouveau qui fait la jonction entre les neurosciences et les sciences de l'éducation, il s'intéresse aux processus biologiques en jeu dans l'apprentissage ainsi que les expériences sociales et émotionnelles. La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier. Mais la neuropédagogie ne s'arrête pas là. On sait par exemple que le cerveau retient sept fois plus d'informations si on les catégorise. En toile de fond, l'apprentissage Références
Dyspraxies : concepts Les critères diagnostic de la dyspraxie est selon le DSM-IV 1994 (classification américaine statistiques des troubles mentaux ) :A. Les performances dans les activités quotidiennes nécessitant une bonne coordination motrice sont nettement au-dessous du niveau escompté compte tenu de l'âge chronologique du sujet et de son niveau intellectuel (mesuré par des tests). Cela peut se traduire par des retards importants dans les étapes du développement psychomoteur (p.ex., ramper, s’asseoir, marcher), par le fait de laisser tomber des objets, par de la “maladresse”, de mauvaises performances sportives ou une mauvaise écriture. B. La perturbation interfère de façon significative avec la réussite scolaire ou les activités de la vie courante. TAC et Dyspraxie en fait la définition précédente est la définition des troubles spécifiques du développement moteur et ne tient pas compte de la différentiation entre les coordinations et les praxies gestuelles. On parlera donc de Dyspraxie visuospatiale
La dyspraxie verbale - Aider et mieux comprendre son enfant Lundi 2 août 2010 1 02 /08 /Août /2010 12:02 Bonjour à toutes et tous, nous sommes très contentes de partager avec vous un dépliant explicatif (informations et conseils) sur la dyspraxie verbale. Devant le besoin d'information sur le sujet, nous avons via un comité de travail réalisé une brochure qui s'adresse aux parents, à la famille proche et aux CPE (centre de la petite enfance). La brochure est gratuite et vous pouvez vous la procurer via le site www.irdpq.qc. ca => section communication => publications => publications gratuites. Des copies papier sont aussi disponibles en s'adressant au service des communications de l'IRDPQ communications@ irdpq.qc. ca. Source : ANAE - anae@wanadoo.fr - www.anae-revue.com - www.anaerevue.over-blog.com Partager l'article ! inShare Par ANAE - Publié dans : Documentation -Communauté : Troubles des Apprentissages 0
Accueil - Troubles d'apprentissage Métacognition et transfert des apprentissages à l'école - Le Cercle de Recherche et d'Action Pédagogiques et les Cahiers pédagogiques Les articles en accès libre des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Vous-même les consultez de temps en temps ou souvent, et vous les appréciez ? Pour soutenir l’association et sa démarche de mutualisation de réflexions et de pratiques en accès libre, Les articles en accès libre des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Vous-même les consultez de temps en temps ou souvent, et vous les appréciez ? Les articles en accès libre des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Vous-même les consultez de temps en temps ou souvent, et vous les appréciez ?
cancres.com 8 troubles à ne pas confondre avec le TDAH (déficit de l'attention et/ou hyperactivité) Plusieurs autres troubles peuvent avoir des symptômes en commun avec le TDAH. En voici quelques uns, selon le DSM-5 (1). Les enfants et adolescents présentant un trouble oppositionnel avec provocation peuvent résister à des tâches à l'école ou au travail qui exigent une application par refus de se conformer aux exigences des autres. Leur comportement est caractérisé par la négativité, l'hostilité et la défiance. Ces symptômes doivent être différenciés de l'aversion de l'école ou de tâches exigeantes mentalement en raison de la difficulté à maintenir un effort mental, l'oubli des consignes, ou l'impulsivité chez les enfants atteints du TDAH. Le diagnostic différentiel peut toutefois être compliqué par le fait que certains enfants atteints de TDAH peuvent développer des attitudes d'opposition secondaires envers ces tâches. Le trouble de dérégulation de l'humeur explosive Le trouble explosif intermittent Le trouble d'apprentissage spécifique Le trouble du spectre de l'autisme
L'écume des heures Censure de Jacques Sapir, suite 9 octobre 2017 Dans mon billet précédent, La dictature en marche, je vous informais de la fermeture du blog de Jacques Sapir, RussEurope. J’ai envoyé un message de protestation aux auteurs de cette forfaiture, message poli, comme le demande Jacques Sapir. Je vous livre ici ce message succinct : « Très profondément choqué par la fermeture du carnet de Jacques Sapir, qui alimente ma pensée depuis des années, je vous prie instamment de mettre fin sans délai à cette censure, ahurissante dans le milieu universitaire. » Je vous invite à relayer cette protestation auprès de ces tristes sires : marin.dacos@openedition.fr et alain.beretz@recherche.gouv.fr. Vous pouvez également signer la pétition pour demander la réouverture du Carnet en ligne de Jacques Sapir, lancée ce 09 octobre 2017 et soutenue par un collectif international d’universitaires. La dictature en marche 27 septembre 2017 On remarquera à quel point ces réactions sont rares. De la monstruosité 24 mai 2017
Des techniques pour apprendre à apprendre: Des méthodes pour développer ses capacités d'apprentissage S'investir dans un processus d’acquisition de savoirs n'est pas toujours aisé. Parfois, selon son histoire personnelle, il peut persister des blocages à l'apprentissage (échecs scolaires par exemple). Optimiser ses études nécessite une forte motivation à apprendre, de développer des capacités d’appropriation de connaissances, de méthode et d’organisation. De toute manière, s'engager dans un cursus d’enseignement nécessite de se « remettre dans le bain ». D’autant plus, que très souvent, on n’a jamais vraiment appris à apprendre. Les compétences à développer Tout d’abord, qu’est-ce qu’apprendre ? L’acquisition de connaissances est fortement favorisée si l’apprenant assimile des méthodes et des pratiques, comme par exemple, être capable de : Quelques pistes méthodologiques Gérer son temps avec efficacité Etablir un planning rapportant les cours, les tâches à effectuer et leur délai de réalisation, ainsi que toutes les autres activités (familiales, loisirs, etc.). S’auto-évaluer en continu
Les contributions du bipède - ToutEnClic ToutEnClic est une application que j'ai développée pour une enseignante, Christelle BOURLARD, qui accueille dans sa classe Quentin, un enfant qui est physiquement dans l'impossibilité d'écrire et de manière générale, de travailler comme ses petits camarades. Quentin ayant à sa disposition un PC avec un clavicom (clavier virtuel libre et gratuit), Christelle était à la recherche d'un logiciel qui lui permettrait de numériser les pages d'exercices qu'elle distribue à ses élèves valides, et donnerait la possibilité à Quentin de réaliser complètement tous ces exercices, uniquement à la souris et au clavicom, y compris le découpage d'étiquettes à recoller ailleurs, l'utilisation d'un double-décimètre et d'une équerre virtuels, et l'intégration d'images externes. Malheureusement, aucun logiciel libre ou commercial ne répondait à ses attentes, et il lui était impossible financièrement de faire développer un logiciel à façon. Le cahier des charges était ambitieux, mais le challenge motivant...
Enseigner l’EPS en milieu difficile Comment l'EPS peut-elle aider les élèves en difficulté ? La loi pour la Refondation de l’Ecole de 2013 énonce que « l’école doit être juste pour tous, ambitieuse pour chacun ». La réussite de tous les élèves est au cœur des préoccupations du système éducatif, notamment chez les élèves les plus en difficulté, dont on s’aperçoit étude après étude qu’ils le sont de plus en plus. Nous proposons ce mois une série d’articles concernant l’enseignement de l’EPS en milieu difficile. Guillaume Dietsch : Le « fut-sal », une forme de pratique scolaire du football en milieu difficile. Guillaume Dietsch est professeur agrégé d’EPS au Lycée professionnel Aristide Briand au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis (Académie de Créteil). Cette double valence vous aide-t-elle dans votre quotidien de professeur EPS ? Il me semble que cette double valence est complémentaire dans le métier d’enseignant. Vous avez une approche didactique particulière du football. Quels ont été vos résultats ?
Métacognition et réussite des élèves Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ? L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés. Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation. Les objectifs de cette réflexion sont : Pour avancer ensemble sur ce chemin, il semble fondamental que les activités pour la classe soient déterminées par des objectifs qui seraient de permettre à l’élève de construire des outils mentaux pour apprendre. La définition du concept d’activité
Dyslexie, aides à l'écrit, aides à la lecture, cartographie mentale, aide aux devoirs, apprentissage de la lecture Travailler avec les élèves en difficulté Un intitulé volontairement vaste pour un sujet essentiel : comment l’école traite-t-elle les difficultés des élèves ? Les réduit-elle, les renforce-t-elle... les crée-t-elle ? Il y avait matière à débat à l’heure où le ministère annonce qu’il va consacrer des moyens significatifs pour « ces élèves-là », ceux qui ne maîtrisent pas les fondamentaux, ceux qui ne suivent pas, ceux qui partiront de l’école sans qualification. En ouverture, Jean-Michel Zakhartchouk a présenté un historique de la question telle qu’elle a été abordée par notre revue depuis plus de soixante ans. La moitié des élèves R. la notion de préalables ou de prérequis qui empêche d’aborder les savoirs complexes, la mise au premier plan des « fondamentaux » au détriment d’une pédagogie du projet ou de situations -problèmes l’insistance sur les aspects formels (la présentation, etc.) la hiérarchie des connaissances et des matières l’erreur assimilée à la faute...L’évaluation, elle, reste opaque, peu référencée. Quelles pistes ?