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L’avenir de l’industrie est-il dans l’open source

L’avenir de l’industrie est-il dans l’open source
Les signaux s’accumulent. L’industrie « traditionnelle » serait de plus en plus tentée par l’open source. C’était déjà le cas dans l’électronique, avec notamment la carte Arduino. La santé et l’automobile y trouveraient aussi aujourd’hui un relais d’innovation crédible, voir incontournable. Un article de The Economist intitulé « When code can kill or cure » (dans le cahier spécial technologie du N° du 2 juin 2012) explique qu’utiliser un modèle « open source » à la conception des équipements médicaux promet d’accroître la sécurité et l’innovation. Les fabricants n’ont pas accès aux meilleures des techniques pour les sécuriser, avance l’article. L’automobile aussi s’y met. Et c’est sans parler des FabLab, ces ateliers de fabrications open source à partir de fichier numérique, qui séduisent de plus en plus d’entreprises. C’est en tout cas la voie la plus prometteuse pour conquérir les nouveaux secteurs du numérique : énergie, ville, santé, robotique… A suivre.

Qu’est-ce que l’Open Data change aux processus de concertation ? Après plusieurs mois d’échanges avec l’association Décider ensemble, et faute d’avoir pu identifier en France aujourd’hui des expériences concrètes de concertation faisant recourt à l’Open Data, nous avons choisi d’imaginer comment cela pourrait se passer. Une quinzaine de spécialistes de la concertation publique et de l’Open Data a approfondi pendant une journée trois scénarios fictifs - bien que réalistes - de concertation : un débat public porté par la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) une concertation menée dans le cadre d’un projet de réaménagement urbain une concertation pour l’élaboration d’un Plan Climat Energie Territorial L’objectif était d’identifier les moments où l’ouverture des données publiques pourrait alimenter les processus et les faire évoluer ; mais aussi les opportunités, les risques et les perspectives pour les différents acteurs en présence. De ce travail, il en ressort trois hypothèses principales : LA FING & Décider ensemble

La ré-industrialisation ou le retour de l’âge du « faire » par Sarah Guillou et Lionel Nesta « Faire ou faire faire ? » pourrait bien être la nouvelle question existentielle des anciennes puissances industrielles. Les Etats-Unis ne sont pas en reste et s’inquiètent également de leur devenir industriel devant la désolation que manifestent certains territoires, comme par exemple l’Etat du Michigan ( New York Times, August 24 2011, Does America need Manufacturing ? Nous mettons en débat la désindustrialisation et la ré-industrialisation pour mieux questionner les objectifs du ministère du Redressement Productif. La désindustrialisation s’illustre d’abord par les pertes d’emplois manufacturiers La désindustrialisation désigne la diminution des emplois manufacturiers ainsi que la baisse de la part de l’industrie dans le Produit Intérieur Brut. La désindustrialisation n’est pas plus sévère en France qu’ailleurs Tertiarisation, productivité, et nouvelle division internationale du travail sont les causes principales de la désindustrialisation

British government bets big on open data for growth Just like the rest of the Western world, Britain’s government is under serious pressure to revive the country’s stalled economy. And at no point is there pressure greater than today, as the Chancellor, George Osborne, unveils his latest initiatives to get things going as part of his Autumn Statement — the regular update on the state of the nation’s finances. But unlike other countries, the U.K. is not just talking about creating jobs or encouraging infrastructural projects: it’s also taking a gamble on data. This involves opening up a whole range of new government-owned data sets to the public, as well as encouraging greater sharing of information to try and boost the amount of innovation and development in Britain around this material. Osborne is expected to say the program is an attempt to “innovative, exploit and research open data opportunities with business and academia”, and over the last couple of days, news of the plans have started to leak out to try and drum up enthusiasm.

Les secondes vies des objets : les pratiques d'acquisition et de délaissement des produits de... Les secondes vies des objets : les pratiques d'acquisition et de délaissement des produits de consommation What are the practices which favor the “second life” of objects ? I. Van de Walle - P. Hébel - N. N° C290 - Janvier 2012 Thème(s) :Conditions de vie / Société > Valeurs / Croyances / Modes de vieConsommation > Comportements de consommation Résumé : La crise économique constitue une période à la fois propice à la remise en cause de notre modèle de consommation et défavorable au niveau de vie des franges de la population les plus fragiles. Abstract : The recent economic crisis has consequences on life conditions of the most precarious populations and is also an opportunity to question our consumption pattern. Follow our Web flow in English 87 pages - 24 € Mots-clés : marché de l'occasion - consommation - produits d'occasion - modes de vie - consommation engagée commander | télécharger gratuitement retour

« L’open data est très mal estimé » Interview de Claire Gallon de l’association Libertic En décembre prochain, l’association nantaise Libertic, fer de lance de l’open data en France, fêtera ses trois ans d’existence. C’est l’occasion de revenir sur 36 mois de lobbying et de pédagogie pour le développement de l’open data et la diffusion de bonnes pratiques. Claire Gallon, l’animatrice et pasionaria de l’association, revient sur la naissance, le bilan et l’avenir de l’open data « à la française ». Quand et à quelle occasion est née l’association Libertic ? A l’époque de la création de Libertic, les cofondateurs faisaient de la veille numérique dans une association chargée d’évaluer les impacts des produits de consommation sur l’environnement. Combien êtes-vous et combien de temps cela vous occupe ? Libertic est composée de 10 membres* en comptant Alliance Libre donatrice et seule personne morale. La carte de France interactive et collaborative de l'open data par Libertic Penses-tu pouvoir mieux mesurer votre influence au niveau local ? Il a également des retombées inexplorées.

« Bientôt on écrira la loi sur internet » Posted on 07 octobre 2012. Tags: #geonpi, gouvernement ouvert, open government, open legislation « Bientôt on écrira la loi sur internet » écrit le député et rapporteur du budget Christian Eckert dans ce billet sur son blog, hésitant sans doute entre humour et amertume. Revenant sur le blitzkrieg #geonpi qui a court-circuité la procédure législative normale, l’auteur partage son inquiétude : « Nous autres, députés, n’avons sans doute pas pris la mesure des bouleversements introduits par les technologies nouvelles de la communication ». Dont acte, et on serait tenté de rappeler que ça ne date pas d’hier pour qui se rappelle des précédents pas tout à fait passés inaperçus comme la DADVSI, l’Hadopi, ou encore un texte anodin comme le Traité Constitutionnel Européen ; à chaque fois des groupes de pression ont su utiliser les réseaux sociaux pour intervenir dans le débat politique par la voie médiatique.

Animer l’open data, mille possibilités "Animer, animer et encore animer" : Hubert Guillaud résumait ainsi pour Internet Actu une partie des échanges lors de la Semaine européenne de l’open data en mai dernier. L’animation de l’open data est aujourd’hui à la fois un enjeu reconnu par tous et une "expression-valise". Proposition d’une grille d’analyse pour recenser la grande diversité des pratiques. Passé les premiers temps de l’effervescence, tous ceux qui – acteurs publics ou privés – ont ouvert des données se posent les mêmes questions. Si le constat semble partagé, il n’en est pas de même des réponses mises en oeuvre. La grille d’analyse : animer l’open data en 5 questions Je vous propose une grille d’analyse de l’animation de l’open data, en 5 questions : - pourquoi ? - comment ? - pour qui ? - quand ? - par qui ? En mixant les différentes options, on arrive au final à près de 1200 combinaisons possibles pour animer l’open data ! Comment utiliser cette grille d’analyse ? Like this: J'aime chargement…

Le peer-to-peer, clé de voûte pour les économies futures ? « Ce ne sera pas une conférence sur comment devenir riche avec des startup ?, » souriait Michel Bauwens au début du séminaire W2S à la Cantine de vendredi 16 décembre. Les deux heures et demi de présentation et de discussion qui ont suivi, ayant pour thème « From Collaborative Prosumer Capitalism to a Commons-based P2P Economy », ont pourtant mis en avant la possibilité d’un véritable modèle économique alternatif basé sur le peer-to-peer (P2P). Loin d’être une utopie pour un futur lointain, il s’infiltre toujours plus dans nos pratiques quotidiennes et pourrait constituer la clé de la durabilité à moyen et long terme de nos économies et de nos sociétés. Les évolutions de la coopération Pour Michel Bauwens, le Peer-to-Peer est loin d’être exclusivement ancré dans l’immatériel et le virtuel. Les individus contribuent désormais à des projets communs qui dépassent le simple échange direct, sur la base d’une motivation intrinsèque (à l’image de Wikipédia, par exemple). Conclusions.

Interview de Jeni Tennison, CTO de l’Open Data Institute décembre A l’occasion du lancement officiel de l’ Open Data Institute ce mardi 4 décembre, Jeni Tennison directrice technique de l’organisation a bien voulu répondre à nos questions. Jeni Tennison : Nous sommes actuellement concentrés sur l’activité des startups. Nous nous sommes occupés d’emménager dans nos locaux, nous avons engagé une équipe et poursuivit nos premières grandes initiatives d’investissement. Nous venons de mettre en place plusieurs hackathons et nous avons préparé tout le matériel utiles et nécessaires à nos formations. Nous avons des outils de mesures très clairs grâce auxquels nous allons pouvoir mesurer nos efforts comme le nombre d’individus que nous allons former, le nombre d’organisations que nous allons réussir à mobiliser et également les sommes que nous allons engager dans notre incubateur de startup. En tant qu’organisation, nous avons des buts très spécifiques qui sont d’engager et d’influencer à la fois les éditeurs de données et le grand public.

Quand savoir coder devient tendance Cette rentrée scolaire 2012-2013 a vu l’arrivée d’une nouvelle matière dans les lycées français : l’informatique. Il n’est plus question ici d’apprendre à faire un copier-coller ou à ouvrir un navigateur, mais plutôt d’apprendre aux élèves le langage informatique. Compétence de plus en plus recherchée, la maîtrise de l’informatique « pure et dure » revient sur le devant la scène. Souvenez-vous, nous vous parlions en janvier dernier du maire de New York qui avait décidé d’apprendre à « coder ». Dans le même esprit, la France a décidé d’instaurer dès le début du mois de septembre une nouvelle matière dans les programmes scolaires des Terminales S : « Informatique et Sciences du Numérique » (ISN). Cette volonté d’enseigner l’informatique dans des cursus généraux reste embryonnaire dans l’Hexagone, comparée à l’Estonie où les écoliers ne goûtent pas aux joies du code au lycée mais dès l’âge de 6 ans, et ce jusqu’à la fin de leur scolarité, comme le rapporte VentureBeat. Images :

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