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Les plantes communiqueraient par des clics sonores

Les plantes communiqueraient par des clics sonores
Publiant leurs travaux dans la revue Trends in Plant Science, des chercheurs britanniques et australiens suggèrent, à partir de données expérimentales, que les plantes pourraient communiquer entre elles non seulement chimiquement, mais aussi à l’aide de cliquetis inaudibles pour l’oreille humaine. Si les scientifiques de l’Université d’Exeter avaient déjà montré, récemment, que des choux 's’avertissent' entre eux de la présence de chenilles en émettant un gaz perceptible par les plants voisins, ceux de l’Université de Bristol pensent avoir mis en évidence un autre système de communication entre les plantes. Sonore, celui-là. Utilisant de puissants amplificateurs, ils ont en effet ‘écouté’ des pousses de maïs... et entendu des cliquetis, inaudibles tels quels à l’oreille humaine, provenant de leurs racines. Émettant ensuite artificiellement un bruit continu à une fréquence similaire à ces clics, les chercheurs ont constaté que les plantes poussaient en direction de cette source sonore. Related:  zigueArbres

Les arbres sentent-ils et communiquent-ils ? Avertissement : l’article qui suit ne procède nullement d’une vision spiritualiste, idéaliste ni mystique de la nature ou de l’arbre. Il n’est nullement question d’attribuer un esprit aux arbres ou de les transformer en modes d’expression d’un quelconque "esprit supérieur"... Pas question ici d’"esprit" de l’arbre, d’"aura" de l’arbre, de volonté de l’arbre, d’âme de l’arbre, etc. Cependant, sans l’ombre d’un animisme, d’un point de vue scientifique, la question se pose : Comment les arbres sentent-ils et communiquent-ils ? Il faut connaitre le langage des VOC ! Nous sommes d’autant plus intéressés à comprendre les arbres que nous, humains, sommes aussi des arborescences qui, avant d’être capables de penser par notre liaison corps/cerveau, sommes en communication avec le monde par notre arborescence qui échange avec le monde des molécules. "Arbres" – de Jacques Prévert N’oubliez pas votre petite amie arbres de ma forêt. Comme on le dit couramment, les forêts ne parlent qu’aux poètes.

Des arbres dépendants par la racine? Dans son palmarès des 10 plus grandes découvertes de l’année 2011, la revue Québec Science mentionne une étude qui pourrait bien révolutionner notre approche de la forêt. Certains feuillus et conifères seraient capables de se souder entre eux par la racine et ainsi subvenir aux besoins de l’autre. Les racines des arbres sont capables de s'étendre sur plusieurs dizaines de mètres. Joël Leblanc, le journaliste du magazine, nous emmène dans les serres de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, où Annie DesRochers (la prof) et Émilie Tarroux (l’étudiante en doctorat) font part de leurs expériences. « Des jeunes pousses d’arbres sont regroupées deux par deux, les pots reliés par un tuyau horizontal en plastique. Nos travaux montrent que les deux arbres poussent sur une même racine : celle qui les relie par le conduit. En faisant varier les condi­tions de croissance de l’un, on peut même voir les effets sur l’autre », raconte Annie DesRochers.

Les arbres communiquent entre eux. - Relations et Connaissance de soi par Paul Pujol Il a été démontré récemment que des arbres peuvent communiquer entre eux, du moins quand leur survie est en jeu. Un scientifique a fait cette découverte, lors d'une étude sur les cas de mortalité importante constatée dans des élevages en Afrique du sud. Dans ce pays existent des élevages d'antilopes, appelées koudous, et plusieurs d'entre elles ont été retrouvées mortes de manière inexpliquée dans leur enclos. En cette période de grande sécheresse, l'herbe est rare, et pratiquement la seule nourriture qui reste, ce sont les feuilles d'acacias dont se nourrissent volontiers ces antilopes. Devant le peu de pistes concernant ces morts incompréhensibles, le scientifique a l'idée d'observer l'estomac d'un koudou mort; or il constate la présence de feuilles d'acacias non digérées, comme si la fermentation normale n'avait pas eu lieu. Ce fait de défense des arbres, est déjà assez frappant et en un sens extraordinaire, mais ce n'est pas tout.

Les plantes entendent-elles ? Ceux qui, comme moi, aiment Franquin, ont probablement le souvenir de cette planche savoureuse où Gaston Lagaffe, pensant que les plantes sont sensibles à la musique et désireux d’accroître le bien-être d’un pied de lierre, veut lui jouer un petit air. Mais aux premières notes affreuses émises par le tristement célèbre gaffophone, la plante tente de s’échapper par la fenêtre ouverte… Ce que dit le gag, c’est que le son de cet instrument générateur de catastrophes doit vraiment être horrible si « même un végétal » ne le supporte pas. Encore faut-il que les plantes ne soient pas sourdes comme leurs pots et qu’elles puissent percevoir les vibrations sonores. La notion de communication dans le monde végétal a longtemps été tenue pour marginale (voire inexistante) quand elle n’a pas été raillée. Dans une nouvelle étude publiée le 22 mai par PLoS ONE, une équipe italo-australienne a voulu explorer tous les modes de communication possibles entre deux plantes, le piment et le fenouil.

Les frênes disparaissent en Europe Le phénomène a pris une ampleur sans précédent. 90 % des frênes ont déjà disparus au Danemark. Les autorités britanniques interdisent l’importation de plants depuis le continent. Les arbres infectés sont abattus et brûlés. « N’ayant pas d’ennemis naturels, ces insectes envahissent rapidement de vastes territoires. Beaucoup de forêts de frênes sont endommagées en Europe suite à l’invasion de l’agrile verte alors qu’en Russie c’est le problème local des grandes villes, dit le chef des programmes forestiers de Greenpeace Alexei Yarochenko : « Les scientifiques sont en quête d’instruments de lutte. Les Etats-Unis qui se sont heurtés avant les autres à ce problème écologique ont inventé leurs méthodes de lutte contre l’épidémie.

Comment les arbres communiquent. Rien de plus agréable préparer une salade avec de jeunes feuilles d'arbres caducs : notamment les chênes et les tilleuls. Il suffit d'arracher les feuilles les plus jeunes et de les ranger dans la besace. Si vous goûter toutes les dix secondes les feuilles cueillies, vous vous rendrez compte qu'au bout de deux minutes elles deviennent de plus en plus amères jusqu'à être quasi immangeables. Que s'est-il passé ? (c) Illustration de Serge Elissalde L'arbre s'est rendu compte que l'on déchiquetait ses feuilles et à envoyé dans chacune d'elles une substance chimique amère appelée "tanin". Mais ce n'est pas tout...Faites de même avec l'arbre voisin et commencez par goûter une feuille. Que s'est-il passé (n°2) ? Les arbres non seulement se défendent mais communiquent entre eux. Compliquons la situation pour nous rapprocher de la réalité : il y a souvent du vent. Dès lors l'éthylène ne sera perçu que par les arbres en aval (par rapport au vent) de l'arbre attaqué. Partager l'article ! inShare

Découverte d’une calculatrice intégrée aux plantes Longtemps les plantes n’ont été appréciées que pour ce qu’elles produisaient (graines, fleurs, fruits, racines, tubercules, bois, oxygène…). Aujourd’hui, on s’intéresse de plus en plus à ce qu’elles sont, à la manière dont elles fonctionnent et réagissent à leur environnement. Effacée l’image caricaturale du sous-être vivant, passif parce que privé de la possibilité de se mouvoir, insensible parce que n’exprimant rien face aux agressions. On sait aujourd’hui que, à l’instar des animaux, les plantes sont douées de capacités sensorielles variées et qu’elles communiquent aussi entre elles, notamment dans le but de se défendre. Les plantes ressentent, les plantes s’expriment et maintenant… elles comptent ! Publiée le 25 juin dans la revue eLife, cette dernière découverte est à mettre au crédit d’une équipe du John Innes Centre, un organisme de recherche installé en Grande-Bretagne, spécialisé dans la botanique et la microbiologie.

100,000 Ash Trees Killed By Fungus In UK A deadly fungus known as ash dieback fungus has killed over 100,000 ash trees in England and Scotland. It has already become widespread in other parts of Europe, including in some areas of Denmark, where it has wiped out between 60% to 90% of ash trees. The fungus causes the crown of the tree to die back and all the leaves turn brown. The Telegraph reports: Until last week, few had heard of ash dieback. The Forestry Commission plans to contain it by burning up to 100,000 trees and possibly banning the public from forests to stop them transporting fungal spores on their boots. Amid claims from the opposition Labor Party that the government has been slow to react to discovery of the disease in Britain, Professor Ian Boyd, chief scientific adviser at the Department for Environment, Food and Rural Affairs, has been put in charge of a government task force dealing with the crisis. With up to 80 million ash trees at risk in Britain, this is indeed an emergency. From The Telegraph: Success!

rapport chlorophyle des plantes et sang humain Les plantes peuvent apprendre et mémoriser Array. Array. Les plantes peuvent apprendre et mémoriser - LMOUS Une étude australo-italienne révèle qu'une variété de Mimosa peut apprendre et mémoriser certaines informations, aussi vite et aussi longtemps que le font certains animaux. Une équipe australo-italienne (Gagliano, Renton , Depczynski et Mancuso) s'est amusée à mettre au point un protocole d'apprentissage pour végétaux, en tous points calqué sur les modèles d'expérimentation animale. Les plantes ont la mémoire de l'eau Armés d'un automate fait maison, ils ont soumis des végétaux à un lâcher répétitif de gouttes d'eau. [Sources : link.springer.com, sci-news.com, sciencealert.com.au, passeurdesciences.blog.lemonde.fr] (Article publié sur le site "Les mots ont un sens")

Des arbres pour remplacer les lampadaires ? Un groupe de scientifiques taïwanais a eu l'idée d'incorporer des nanoparticules d'or dans la sève des arbres. Ces derniers se sont alors mis à produire... de la lumière ! Plusieurs chercheurs taïwanais sont à l'origine d'une découverte étonnante. Après avoir incorporé à la sève de plusieurs arbres des nanoparticules d'or, ils se sont aperçus que ces derniers se mettaient à produire de la lumière ! En effet, la présence d'or dans la sève provoquait l'émanation d'une étrange lumière. Plus curieux encore, il est apparu qu'ils consommaient également plus de carbone que les arbres "normaux". Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter La perspective d'économiser de l'énergie tout en réduisant l'impact de l'homme sur le réchauffement climatique plait d'ailleurs à de nombreuses personnes. Suivez-nous sur Facebook Vous êtes déjà abonné ? Top vidéo Découvrez l'effet étonnant du lait sur le Coca-Cola

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