There Is No Reason For Any Individual To Have a 3D Printer In Their Home The maker movement is on the cusp of a boom. They’re job-creating world changers, on the verge of thoroughly disrupting everything from crafts to consumer electronics to, heck, well, everything, by democratizing manufacturing. Makerbot has released their Replicator 2. Form 1 sought to Kickstart $100,000 for their professional 3D printer; they’re at $1.5 million and counting. Panda Robotics just launched a Kickstarter for their open-source PandaBot printer. The authorities are cracking down on 3D-printed guns. I respectfully disagree. Oh, I agree that 3D printing will be a serious threat to manufacturing as we know it. In low-infrastructure areas, or if you’re a casual hobbyist, or if you have very specific requirements, you’ll head down the road to your nearest local printing facility. (Nomenclature note: Until recently, I would have used “developed world” and “developing world” rather than “high-infrastructure” and “low-infrastructure.” Do I sound like a skeptic?
Datavisualization.ch Selected Tools Portable and Affordable: New 3-D Printers That Cost Less Than $500 | Wired Design The Portabee, based on the RepRap Wallace, can be purchased as a kit or an assembled printer. Photo: Portabee It’s been easy to overlook some of the innovations coming out of the RepRap community as of late. Between regular MakerBot releases and announcements for new types of printers like the B9 Creator and Form 1, as well as a steady stream of big company announcements, the system that helped launch the home 3-D printer market has been a bit overshadowed. One of those printers is the $699 Portabee ($480 unassembled), based on the RepRap Wallace, which brings low cost and portability to the 3-D printing market. Overall, the specs are what you would expect in a low-cost machine. Don’t call it the iPrint Air, but Portabee is aiming for a super-portable design. While the Portabee might not lead the market in most categories, it is definitely among the most portable. Another option for the budget- and space-constrained comes from PrintrBot.
Pour un Internet polisson ! Contre un Internet policé, choisissons l'Internet polisson ! C'est en gros le message de Pas sage en Seine, festival de hackeurs et amoureux du Net en tout genre, qui partagent pendant quatre jours leur connaissance et leur passion du réseau. Ouverture de Pas Sage En Seine à La Cantine, passage des panoramas, Paris. (cc) Ophelia Noor Charges anti-Apple, tee-shirts Telecomix, chiffrement de données et barbes en broussaille : pas de doute, nous sommes bien à Pas Sage en Seine. Trublion reflet du plus institutionnel Futur en Seine, le grand raout numérique organisé en parallèle par la Ville de Paris et la Région Ile-de-France, ce festival donne pendant quatre jours la parole à quiconque souhaite parler d’Internet. Lignes de fuite et bidouillabilité Un constat qui s’impose avant tout sur le mobile. Sur l’AppStore, la plate-forme d’applications pour matériel Apple, pensée, conçue et validée de A à Z par la marque à la pomme, bon nombre de contenus sont ainsi persona non grata. La solution ?
Imprimante 3D: imprime-moi une révolution (industrielle) Les marxistes doivent avoir le sourire. Ces dernières semaines, on a vu fleurir dans la presse des articles prédisant l’arrivée de la troisième révolution industrielle. Sous les projecteurs, une machine qui permettrait à tout un chacun de se réapproprier les moyens de production. Rien que ça. Et ceci serait rendu possible par... une imprimante ! Les personnes qui ne sont pas familières du mouvement Do it Yourself (DIY –Faites-le vous-même) doivent se gausser de telles affirmations. Les machines en question sont des imprimantes tridimensionnelles. Sauf qu’au lieu de sortir un dessin sur une feuille de papier, la machine va réaliser un objet en 3 dimensions en venant déposer des fines couches de matière les unes sur les autres. Ont ainsi été fabriqués des jouets, des engrenages ou encore des pièces de remplacement pour une machine à laver. Mais c’est la démocratisation récente de cette machine qui a suscité l’intérêt des technophiles. Une utopie de geeks? Impressionnant non? Emmanuel Daniel
Kasperksy établit le lien entre Stuxnet et Flame 01net le 11/06/12 à 19h00 Deux malwares, une même équipe ? La firme de sécurité russe Kaspersky vient de démontrer que Stuxnet et Flame avaient des points communs qui n’avaient pas été repérés lors des premières analyses. © Kaspersky Labs Un des modules de Flame utilise le même code qu'une ancienne version de Stuxnet pour une infection par USB Mais après avoir étudié Flame, et en particulier un des nombreux modules de celui-ci avec attention, Kaspersky a revu son jugement et est désormais certain qu’il existe au moins un lien entre les créateurs de Stuxnet et de Flame. Leur découverte concerne un bout de code spécifique de la première version de Stuxnet – qui remonte à 2009 : on y retrouve en effet un module baptisé « Resource 207 » qui a ensuite été fondu dans d’autres modules dans les versions suivantes du ver. « Resource 207 est un fichier DLL crypté, et cachant un exécutable nommé atmpsvcn.ocx […]. Resource 207, un des modules de Flame D’après Kaspersky, cela prouve plusieurs choses.
The Buccaneer™ Cloud 3D Printer - World's Most Affordable Home 3D Printer Petits espionnages entre amis Eagle, le système de surveillance de l'Internet conçu par des Français à la demande du beau-frère de Kadhafi, serait en passe d'être revendu à l'un des concepteurs du système. Qadhafi in Damascus - Photo CC Ammar Abd Rabbo Le 8 mars dernier, la société Bull annonçait, dans un communiqué avoir “signé un accord d’exclusivité pour négocier la cession des activités de sa filiale Amesys relatives au logiciel Eagle“, sans préciser à qui le système de surveillance massive de l’Internet pourrait être revendu. Il y avait urgence à communiquer : le 15 mars, Canal+ allait diffuser Traqués !, documentaire du journaliste d’investigation Paul Moreira, où l’on voyait notamment trois journalistes, écrivains et blogueurs libyens expliquer comment ils avaient été identifiés, incarcérés, frappés à “coups de pied et de barre de fer” et torturés par les nervis de Kadhafi grâce au système Eagle conçu par la société française. Un des principaux responsables d’Eagle Prop générale sécu v2
Censure politique : Google joue la transparence Depuis fin 2009, Google publie chaque semestre la section «Government» de son Transparency Report portant sur les demandes provenant d'Etats ou de tribunaux (nous en parlions il y a peu lors de la publication des demandes concernant des infractions aux droits d'auteur ). Voici donc la cinquième livraison volontaire -- portant sur le deuxième semestre 2011 -- du géant du web, qui en a fait un argument de transparence autant qu'une vitrine publicitaire. Pour Google, plus l'information circule plus la publicité circule et plus ses caisses se remplissent; sa démarche n'a donc pas que des visées humanistes, mais l'entreprise a toujours été volontaire contre toute censure en ligne (on se souvient de ses hésitations face aux exigences du pouvoir chinois) et fait encore ici preuve d'une démarche de transparence à souligner. Détail des demandes de l'Espagne. Détail des demandes de la France. (Avec AFP) Lire les réactions à cet article.
Flame : les premiers secrets de la cyberarme révélés 01net le 07/06/12 à 17h27 Percer les secrets de Flame, le puissant kit d’espionnage démasqué récemment, sera un travail de très longue haleine. Kaspersky, qui a révélé l’existence de Flame, est en pointe sur l’étude du malware. Pourquoi une taille aussi importante ? © Symantec L'ensemble des données récoltées par Flame, selon Symantec. Pour n’en citer que quelques unes : « Beetlejuice » permet, par exemple, à Flame d’utiliser le Bluetooth pour faire un repérage des appareils présents autour de la machine infectée. « Microbe » offre la possibilité d’enregistrer des sons à partir du micro. Le spectre des données collectées est impressionnant. Flame peut se répandre via Windows Update Autre preuve de l’intelligence, de l’ingéniosité des développeurs de Flame : sa capacité à se propager, à la demande de ses maîtres, de nombreuses manières. L’attaque, particulièrement originale, consiste en effet à déguiser le code malveillant en… une mise à jour Windows Update. © Kaspersky Labs
IPv6, essentiel pour l’Internet ouvert Fêté aujourd'hui, l'IPv6 n'est pas qu'une contrainte d'ingénieur informaticien. L'adoption de ce nouveau protocole d'adresses IP permet aussi de préserver le caractère ouvert d'Internet. A l'occasion de cette journée mondiale, Stéphane Bortzmeyer explique à Madame Michu le concept et l'importance d'IPv6. Logo de l'IPV6 - (cc)source Internet Society Oyez ! Derrière cet acronyme barbare se cache un changement important pour Internet : la création de nouvelles adresses IP. Mais avec l’expansion des usages et la multiplication des terminaux, notamment mobiles, le nombre d’objets connectés est près de dépasser le nombre d’adresses disponibles. Soutenue par certains géants du web, Google, Facebook ou l’opérateur AT&T, l’initiative du jour est surtout une occasion d’officialiser le basculement en IPv6. Mais concrètement, en quoi consiste l’IPv6 ? Pourquoi on décide de passer à l’IPv6 ? Si on ne se met pas à l’IPv6, on risque quoi ? Qui a décidé du changement ?
News, Augmented » Jimmy Wales part en guerre [Lu sur The Guardian] Jimmy Wales n'est pas content. Et le fait savoir dans une tribune au Guardian assortie d'une pétition. Motif de son énervement : le Royaume-Uni a autorisé l'extradition de Richard O'Dwyer, fondateur du site TVShack, vers les États-Unis pour violation du droit d'auteur. Un des principes moraux qui fait qu'Internet est ce qu'il est aujourd'hui, de Wikipédia à YouTube, est le fait que les fournisseurs d'accès à Internet doivent être préservés des actions de leurs utilisateurs (1)" Selon Wales, l'accusation contre TVSchack ne tient pas : proposer des liens vers d'autres contenus n'est pas illégal au Royaume-Uni. il existe une distinction entre héberger des contenus sous copyright et montrer aux internautes où ils se trouvent. Exactement ce que fait TVShack selon ses avocats. Son extradition, si elle est confirmée, pourrait redonner du poil de la bête aux industries et lobbies du copyright.