Dopage : l'important, c'est de gagner ? Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le , mis à jour le Dopage : l'important, c'est de gagner ? Sommaire La longue histoire du dopage L'homme a de tout temps cherché à améliorer ses performances par des moyens artificiels. L'hydromel avait la faveur des Grecs et les Romains faisaient appel aux propriétés toniques des feuilles de sauge. Avec les progrès de la médecine, les laboratoires ont largement amélioré les produits stimulants et le monde sportif les a utilisés comme dopant. Dopage : la situation actuelle DOSS_dopage_situation_actuelle.flv La liste des produits dopants, déterminées par le Comité international olympique au Journal officiel du 17 juin 1998, définit cinq classes de produits interdits : Tous les sportifs professionnels connaissent la liste des produits dopants et pourtant, chaque année, certains se font prendre lors de contrôle antidopage. Les contrôles antidopage DOSS_dopage_controle_antidopage.flv L'une des pistes de dopage est le dopage génétique. En savoir plus
I. Corps humain et santé | Science de la Vie et de la Terre en Seconde Télécharger l’ensemble des fiches de TP au format .pdf I/ Activité physique et besoins des cellules musculaires (séance 1) Comment varient les besoins en O2 et en nutriments au cours de l’effort musculaire ? L’effort physique augmente la consommation de dioxygène : – plus l’effort est intense, plus la consommation de dioxygène augmente ; – il y a une limite à la consommation de dioxygène= VO2max La consommation de nutriments dépend aussi de l’effort fourni. Au cours d’un exercice long et/ou peu intense, l’énergie est fournie par la respiration, qui utilise le dioxygène et les nutriments. II/ Activité physique et modification physiologique de l’organisme (séance 2) Comment le corps s’adapte à l’effort pour assurer les besoins en dioxygène et en nutriments ? Au cours de l’effort un certain nombre de paramètres physiologiques sont modifiés : fréquence cardiaque,volume d’éjection systolique (et donc débit cardiaque) ; Comment les besoins en O2 sont-ils satisfaits, en l’absence de réserves ?