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Justice au singulier

Justice au singulier
Je ne me lasse pas du plaisir de ces interminables petits déjeuners de vacances où on refait le monde et où la politique devient presque inéluctablement le sujet principal, comme si la quotidienneté oisive avait décidé de s'accorder à mes intérêts limités. En même temps, durant cette période, comme l'actualité brute et factuelle est moins chargée, le citoyen passionné peut se nourrir de la substance d'entretiens ou de contributions d'un plus haut niveau que celui qu'en général les médias nous offrent. Ainsi Nicolas Sarkozy, Alain Juppé ou Emmanuel Macron apparaissent-ils non pas sous un jour nouveau mais comme des personnalités soucieuses d'enrichir notre connaissance d'elles ou d'amplifier nos interrogations. L'ancien président, candidat explicite à la primaire LR dans quelques jours, vise à être une réponse. Les Français ne veulent plus revoir le combat de 2012. Il parle comme le FN. Combien de fois Nicolas Sarkozy ne nous a-t-il pas affirmé qu'il avait changé !

Comment ne pas payer ses dettes à son banquier (avec la loi) Titre : Comment ne pas payer ses dettes à son banquier (avec la loi) Auteur : Serge Maître, Membre titulaire du CCSF (Comité consultatif du secteur financier) auprès du ministre de l’Economie et des Finance, il dirige le service juridique de l’AFUB (Association française des usagers des banques) dont il est le secrétaire général. Il intervient en qualité d’expert sur France Bleu pour répondre aux questions des auditeurs. Edition :Librio Memo Publication : Juin 2012 Prix : 3€ Le livre donne des indications sur la manière d’alléger ses charges financières dues à son banquier de manières légales. Pêle-mêle, on y trouve : Comment diminuer/supprimer les frais d’intervention et agios liés aux dépassements de découvert. 4 exemples concrets : - Les réseaux mutualistes contraignent, en générale, leurs clients qui souscrivent un prêt immobilier à investir dans des parts sociales de l’agence. Bref, un livre intéressant.

Les Gaulois sont-ils plus productifs que les autres ? Cocorico ! Dans un accès de gallophilie remarqué par Olivier Bouba-Olga (mais contesté par quelques rabat-joie), Paul Krugman s’appuyait il y a quelques mois sur l’exemple gaulois pour pourfendre le mythe d’une Europe moins productive que les Etats-Unis. Pour étayer sa thèse, l’économiste américain rappelait que la productivité du travail en France (égale à la production divisée par le nombre d’heures travaillées) était supérieure à celle de nos voisins d’outre-Atlantique et réfutait l’argument selon lequel cet écart serait la conséquence d’un taux de chômage plus élevé et d’une durée du travail moyenne plus faible dans notre pays. I/ Une productivité apparente du travail à faire pâlir ? A première vue, la comparaison de la productivité horaire du travail en Gaule avec celle des autres pays de l’OCDE est plutôt flatteuse, puisque notre ardeur légendaire nous place au sommet de la hiérarchie des pays les plus productifs : Cliquer pour agrandir II/ Oui, mais… la légende d’Ocedeus

Productivité apparente vs. Productivité intrinsèque : le choc des titans Un court billet pour revenir sur l’affaire de la lettre du PDG de Titan. Pas sur l’affaire elle-même à vrai dire, qui ne fait honneur à aucun des épistoliers, mais plutôt sur les discussions qui ont suivi et sur l’idée que le raisonnement de notre ami titanesque est idiot, puisque ses plaintes sur le coût du travail en France ne prennent pas en compte la productivité supérieure des travailleurs bien de chez nous. C’est un véritable marronnier, aussi les blogueurs d’Ecopublix en avaient-ils déjà tiré un excellent billet que l’on peut toujours consulter avec profit ici. Sans entrer autant qu’eux dans les détails, je souhaiterais faire un rappel très simple : lorsqu’on parle de productivité dans le langage courant, on a en tête la productivité intrinsèque du travail : la main-d’œuvre française serait mieux formée, mieux éduquée, mieux soignée que la main-d’œuvre des pays à bas coût. 1. Où l’on voit que « productivité » tout court ne veut pas dire grand-chose Yi = A (Q Li)bi Ki1-bi 2. 3.

If You Notice That $9 Is More Than $7.25, Are You A Communist? In Tuesday’s State of the Union address, President Obama pointed out that you can work for 40 hours a week at minimum wage and still live in squalid poverty, and suggested that we raise it from $7.25 to $9 per hour by 2015, and also index it to inflation. This, of course, is Communism! This is because wages are kind of like a tax on employers, and if you raise that tax, then employers won’t hire anyone, and ergo defacto, $9 is MORE than $7.25. Ha ha, just kidding, everything we just said is bullcrap, and raising the minimum wage will help lots of people start clawing their way out of being perpetually poor. For example: Worker advocates say that raising the minimum wage would help boost the economy by putting more money into the hands of lower-income Americans, who are likely to spend it. The federal minimum wage has lost 30% of its purchasing power in recent decades, according to the law project. No, of course not, this isn’t right.

Explaining The WTI-Brent Spread Divergence Something totally bizarre has happened in the last three years. Oil in America has become much, much cheaper than oil in Europe. Oil in America is now almost $30 cheaper than oil in Europe. This is hilarious if prices weren`t so damn high, but despite a robust export market for finished products, crude oil is backing up all the way to Cushing, Oklahoma, and is only going to get worse in 2013.Now that Enterprise Products Partners LLP has let the cat out of the bag that less than a month after expanding the Seaway pipeline capacity to 400,000 barrels per day, The Jones Creek terminal has storage capacity of 2.6 million barrels, and it is basically maxed out in available storage. But there’s something fishy about this explanation. To me, this huge disparity seems like funny business. The answer could be government intervention. And the ability to: (e) The Secretary of each resource department, when necessary, shall make the finding required under section 101(b) of the Act, 50 U.S.C.

Arrêtons le "France bashing" LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Philippe Askenazy (directeur de recherche au CNRS) et Ecole d'économie de Paris C'est le nouvel exercice à la mode : considérer que la France – ses gouvernants, son opposition, ses entreprises, ses travailleurs, ses partenaires sociaux – est nulle. Certes, les très libéraux Financial Times ou Wall Street Journal se sont félicités de l'accord national du 12 janvier entre le patronat et trois syndicats. Peut-être vont-ils enfin prendre conscience qu'une stratégie libérale, dont l'accord n'est qu'une étape renvoyant à de futures négociations, est poursuivie depuis plusieurs années, même si les manoeuvres de Laurence Parisot pour se maintenir à la tête du Medef semblent relever d'une autre époque. La France a un des marchés du travail les plus flexibles. Restons sur le marché du travail. La focalisation sur la désindustrialisation de la France peut être également renversée.

Blog | Mafeco L’Allemagne va rapatrier tout son or entreposé à Paris C’est un dernier vestige de la guerre froide qui disparaît: la Bundesbank va rapatrier une grande partie de ses gigantesques réserves de métal jaune qu’elle entreposait à Paris, à Londres et à New York. L’annonce officielle en a été faite ce mercredi à Francfort au siège de la banque centrale allemande. Alors que l’Allemagne est aujourd’hui l’État qui détient le plus d’or, derrière les États-Unis, soit quelque 3396 tonnes pour une valeur estimée de 143 milliards d’euros aux cours actuels, elle en conserve moins du tiers (1036 tonnes) dans son territoire. Le reste est entreposé en majorité à New York (1536 tonnes dans les caves de la Fed), alors que 450 tonnes sont logées à Londres à la Banque d’Angleterre et 374 tonnes à Paris dans les caves de la Banque de France. Crainte d’une invasion soviétique C’est précisément l’explication invoquée ce mercredi par la Bundesbank de faire revenir son trésor sous ses cieux: la fin de la Guerre Froide ne justifie plus sa délocalisation.

La compétitivité est aussi un business ! Cela ne se discute pas: la France ne tient pas le rythme international en matière de productivité internationale et son industrie s’étiole. Il est donc urgent de prendre les mesures qui s’imposent pour redresser la situation. Nous avons d’ailleurs un ministère entièrement consacré à cette tâche prioritaire. Les chiffres sont imparables. Certes, mais supposons un instant que cette histoire de perte de compétitivité ne soit que de la poudre aux yeux. Côté patronat, ce sont les grandes entreprises industrielles qui tiennent le micro. Pourquoi le gouvernement, de gauche comme de droite, tomberait-il dans le panneau ? Hélas, le diagnostic est erroné. C’est à peu près ce qui se passe. Certes, l’Allemagne a cédé beaucoup moins de part de marché que nous. Méfions-nous de l’obnubilation industrielle. Et le déficit grandissant de la France sur son compte courant ? Les autres perdants sont les contribuables. (1) Benjamin R. © Telos.

The Structural Endgame Of The Fiscal Cliff To understand this endgame, we need to start with the financial and political basics of wealth and power in the U.S. 1. Wealth and thus political power are highly concentrated. The dynamics of rising wealth disparity and the increasing concentration of wealth are debatable; the disparity is not. Roughly 70% of all financial wealth is held by the top 5%; within this top layer of ownership, the top ½ of 1% hold an outsized share. 2. 3. The top 25% (those earning more than $66,193) paid 87% of the taxes. 4. The Federal government counts a person who is self-employed and earns $100 a year as "employed" and a person who works one hour a week as "employed." The top 25% who pay most of the taxes, roughly 30 million people, are a political minority compared to the 127 million people drawing direct payments/benefits from the Federal government and the 65+ million who pay essentially no income taxes (though they do pay the 7.65% Social Security/Medicare payroll tax). 5. 6. 7. 8. 9.

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