Minority Report - film 2002 Minority Report est le film de Steven Spielberg! L'un des rares qui n'est pas un gros blokbuster avec tous les clichés que cela comporte (scénario, histoire d'amour, etc). Ce film est porté par un scénario immense qui dévoile une densité abyssale plus l'on se penche dessus et c'est l'atout majeur du film. Tom Cruise est excellent, comme souvent. S'il ne devait rester qu'un seul de ses films ce serait celui-là, car il est le plus abouti ... Lire plus Minority Report est le film de Steven Spielberg! Westworld - Série TV 2016 A Westworld, un parc d'attractions dernier cri, les visiteurs paient des fortunes pour revivre le frisson de la conquête de l'Ouest. Dolores, Teddy et bien d'autres sont des androïdes à apparence humaine créés pour donner l'illusion et offrir du dépaysement aux clients. Pour ces derniers, Westworld est l'occasion de laisser libre-cours à leurs fantasmes. Cet univers bien huilé est mis en péril lorsqu'à la suite d'une mise à jour, quelques robots commencent à adopter des comportements imprévisibles, voire erratiques. Adaptation du film éponyme (1973) de Michael Crichton avec Yul Brynner et James Brolin. News, vidéos, personnages : retrouvez l'univers de la série sur westworld.allocine.fr A Westworld, un parc d'attractions dernier cri, les visiteurs paient des fortunes pour revivre le frisson de la conquête de l'Ouest. Adaptation du film éponyme (1973) de Michael Crichton avec Yul Brynner et James Brolin. News, vidéos, personnages : retrouvez l'univers de la série sur westworld.allocine.fr
Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? Œuvre majeure dans la bibliographie de son auteur, elle marque le début de sa reconnaissance par le public américain grâce à son adaptation cinématographique par Ridley Scott sortie en 1982, avec le film Blade Runner. Le roman est d'ailleurs réédité par la suite sous le titre Blade Runner. Résumé[modifier | modifier le code] Dans ce monde dévasté, on tâche d'oublier le vide de son existence dans laquelle on cherche à tout prix un lien d'empathie. De plus, la plupart des espèces animales ont disparu dans le cataclysme si bien que leur simple possession est devenue, non seulement un signe de richesse, mais aussi un signe d'empathie, érigée en qualité absolue et une réelle source de bien-être pour des Terriens vivant isolés. Rick Deckard est une des ces personnes qui continuent à vivre sur Terre. À l'aide du test de Voigt-Kampff, fondé sur l'empathie, dont les androïdes sont censés être dépourvus, Rick Deckard entreprend alors de démasquer les androïdes fugitifs. Selon Philip K.
Alien - Le huitième passager de Ridley Scott (1979) - Analyse et critique du film Le slogan de 1979 est génial : "Dans l’espace, personne ne vous entend crier !" D’emblée le décor est planté, tout est permis ; l’imagination des scénaristes sera la seule limite visuelle à l’horreur. Et d’horreur il en est réellement question, Alien évoque le pire de vos cauchemars, la créature tapie le soir en dessous de votre lit, la peur ancestrale, psychanalytique, primale, brute. Nous devons ce mythe moderne à l’imaginaire fertile de Dan O’Bannon, qui a enfanté ce fléau dans la foulée du Dark Star tourné par John Carpenter. En 1976, O’Bannon revient de Paris, fauché comme les blés. Tout va changer dès 1977, des spectateurs éberlués découvrent La Guerre des étoiles. Gordon Caroll et Walter Hill découvre Les Duellistes au Festival de Cannes, ils sont subjugués. L’homme est lié à la technologie. Tout comme les membres d’équipage, ce n’est pas l’apparence cauchemardesque de l’extraterrestre qui nous cloue à notre divan, mais bien ses parties incessantes de cache-cache.
Brazil - film 1985 Original, flamboyant, coloré, grandiose, métaphorique, prenant, bluffant, extraordinaire, les éloges à l'égard du film de Terry Gilliam sont tous mérités. Pendant plus de deux heures, le spectateur assiste à un film hors du commun, qui dépasse l'imagination. Le film date de 1985 et malgré son âge, il remporte le coeur de toutes les générations. Jamais un réalisateur ne nous avait offert jusque-là un monde futuriste présenté de ... Original, flamboyant, coloré, grandiose, métaphorique, prenant, bluffant, extraordinaire, les éloges à l'égard du film de Terry Gilliam sont tous mérités. Original, flamboyant, coloré, grandiose, métaphorique, prenant, bluffant, extraordinaire, les éloges à l'égard du film de Terry Gilliam sont tous mérités.
Blade Runner / Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? Androïde, trop androïde. Station Eleven - Emily St. John Mandel En ces derniers jours avant l'apocalypse, Arthur Leander, ancienne star de cinéma, incarne le Roi Lear dans un petit théâtre de Toronto, et meurt sur scène d'une crise cardiaque foudroyante. Une mort qui passe inaperçue, puisque bientôt une pandémie mondiale de grippe se répand et ne laisse que quelques poignées de survivants dispersés sur la planète. le monde connu a disparu, dépeuplé, plus d'électricité, d'eau courante, d'internet, de pétrole, d'argent, de nourriture. L'humanité est revenue à la préhistoire, les souvenirs et la nostalgie de l'ancien monde en prime. Dans cette nouvelle ère, les survivants se rassemblent en petites communautés, apprennent à chasser pour se nourrir, à tuer pour ne pas l'être.
Alien, le huitième passager – LYCÉENS ET APPRENTIS AU CINÉMA Le vaisseau Nostromo et son équipage rentrent sur Terre avec une cargaison de minerai. Mais lors d’un arrêt forcé sur une planète déserte, l’officier Kane se fait agresser par une forme de vie inconnue, une arachnide qui étouffe son visage… Alien, le huitième passager Alien, le huitième passager (Vo : Alien) Science-fiction de Ridley Scott 1h56 / Royaume-uni – USA / 1979 Avec Sigourney Weaver, John Hurt, Tom Skerritt, Ian Holm SCÉNARIOS DU FILM :– première version– version finale Par Claire Avit, formatrice de l’académie de Clermont-Ferrand Par Jérôme Peyrel, formateur de l’académie de Clermont-Ferrand Par Gilles Berger, formateur de l’académie de Clermont-FerrandANALYSE DE SÉQUENCE *Code d’accès disponible auprès de Sauve qui peut le court métrage et Acrira Ressources pédagogiques additionnelles, pour approfondir l’étude de Alien, le Huitième Passager éditées par Sauve qui peut le court-métrage de l’académie de Clermont-Ferrand. Alien, le huitième passager Alien, le huitième passager (Vo : Alien)
Soleil vert - film 1973 Surpopulation, famine, baston, cannibalisme industriel et pollution dans le toujours impressionnant "Soylent Green", sorti en 1973, soit la même annèe que "The Exorcist". Là, ce ne sont pas que les feuilles que l'on ramasse à la pelle, mais les manifestants au tracto-pelle! Le film de Richard Fleischer est trop frappant, dans la forme comme dans le fond, pour que quiconque le conteste! Le futur subit la disparition de tout vègètal et de ... Surpopulation, famine, baston, cannibalisme industriel et pollution dans le toujours impressionnant "Soylent Green", sorti en 1973, soit la même annèe que "The Exorcist". Surpopulation, famine, baston, cannibalisme industriel et pollution dans le toujours impressionnant "Soylent Green", sorti en 1973, soit la même annèe que "The Exorcist".
2084 - La fin du monde - Boualem Sansal Reconnaissable au premier coup d??il grâce à son immense baobab coloré, le salon africain vous fait découvrir la richesse de la littérature du continent noir en mêlant des auteurs encore méconnus à des écrivains réputés. Et c? + Lire la suite L'Invention des corps Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Invention des corps est un roman de Pierre Ducrozet paru le août 2017 chez Actes Sud. Il est récompensé la même année par le prix de Flore, ex æquo avec Paname Underground de Zarca[1]. Résumé[modifier | modifier le code] Alvaro, jeune programmeur mexicain, se rend à une manifestation avec d’autres étudiants. Prix et distinctions[modifier | modifier le code] Le roman est sélectionné pour le prix de Flore, qu’il remporte avec six voix (sur les douze membres du jury), à égalité avec Paname Underground[4] de Zarca. Il est sélectionné (proclamation en avril 2018) pour le Prix du roman d'écologie 2018[5]. Éditions[modifier | modifier le code] Actes Sud, août 2017[6], (ISBN 978-2-330-08175-1). Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de la littérature française
Fahrenheit 451 Le titre fait référence au point d'auto-inflammation, en degrés Fahrenheit, du papier. Cette température équivaut à 232,8 °C. Résumé[modifier | modifier le code] Première partie : Le foyer et la salamandre de feu[modifier | modifier le code] Dans la nuit, le pompier Guy Montag est sur la route pour rentrer chez lui. Arrivé chez lui, il trouve sa compagne Mildred étendue sur le lit sans connaissance et à ses pieds gît un petit flacon de cristal vide : elle vient d'absorber son contenu, une trentaine de comprimés d'un somnifère. Le lendemain, elle ne se souvient plus de rien. Montag croise régulièrement Clarisse dans la rue. Depuis quatre jours, Montag ne voit plus Clarisse. Un peu à la traîne, Montag repart en mission. Le capitaine quitte leur maison en demandant à Montag de revenir travailler. Cette partie se termine alors qu'il vient de lire l'extrait d'un livre. Deuxième partie : Le tamis et le sable[modifier | modifier le code] Montag et Mildred continuent de lire. Denoël, coll.
Dystopie Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une utopie qui vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie ; l'auteur entend ainsi mettre en garde le lecteur en montrant les conséquences néfastes d’une idéologie (ou d’une pratique) contemporaine[1]. De fait, la différence entre dystopie et utopie tient davantage à la forme littéraire et à l'intention de son auteur qu'au contenu : en effet, nombre d'utopies positives peuvent également se révéler effrayantes[2],[3],[4]. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie est, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. Il existe cependant des contre-exemples et la critique est divisée quant aux relations entretenues entre la dystopie et les régimes politiques qu'elle vise. Étymologie du mot « dystopie »[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] — Zamiatine, Nous autres, p. 64 Ainsi :