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Pertes humaines de la Première Guerre mondiale

Pertes humaines de la Première Guerre mondiale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Les Alliés de la Première Guerre mondiale comme les Empires centraux perdent plus de 9 millions de vies. Classification des statistiques[modifier | modifier le code] Le nombre des pertes estimées pour la Première Guerre mondiale varie énormément. Pertes par pays[modifier | modifier le code] Pertes militaires alliées par pays. Sources du tableau[modifier | modifier le code] Les principales sources utilisées pour les pertes civiles et militaires sont les suivantes : (en) Le rapport 2006-2007 de la Commonwealth War Graves Commission[26] est la source pour les pertes militaires du Royaume-Uni, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Afrique du Sud et le Raj britannique. Pertes humaines selon les frontières modernes[modifier | modifier le code] Madagascar: 2 500

Gueules cassées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Blessés de guerre à l'hôpital. Vitrine pédagogique illustrant les progrès de la chirurgie reconstructrice avec diverses opérations de chirurgie maxillo-faciale surtout mises au point durant et après la première guerre mondiale (Archives médicales militaires des États-Unis) L'expression « gueules cassées » inventée par le Colonel Picot, premier président de l’Union des Blessés de la Face et de la Tête, désigne les survivants de la Première Guerre mondiale ayant subi une ou plusieurs blessures au combat et affectés par des séquelles physiques graves, notamment au niveau du visage. Elle fait référence également à des hommes profondément marqués psychologiquement par le conflit, qui ne purent regagner complètement une vie civile ou qui durent, pour les cas les plus graves, être internés à vie. Historique de la législation sur les travailleurs mutilés et handicapés[modifier | modifier le code] Tableau de Kārlis Padegs, intitulé « Memento From1918.

Grippe de 1918 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Virus reconstitué de la grippe espagnole, celui qui est le plus proche par ses effets sur l'organisme du virus H5N1. La grippe de 1918, surnommée « grippe espagnole », est due à une souche (H1N1[1],[2]) particulièrement virulente et contagieuse de grippe qui s'est répandue en pandémie de 1918 à 1919. Historique[modifier | modifier le code] Progression géographique de la grippe de 1918, montrée par les flèches. En décembre 1918, à Seattle, les forces de l'ordre sont équipées de masques. Apparemment originaire de Chine, ce virus serait passé, selon des hypothèses désormais controversées[réf. nécessaire], du canard au porc puis à l'humain, ou selon une hypothèse également controversée directement de l'oiseau à l'humain. En quelques mois, la pandémie fit plus de victimes que la Première Guerre mondiale qui se terminait cette même année 1918 ; certains pays seront encore touchés en 1919. Le virus de 1918[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale: comment connaître tous les «Morts pour la France» de votre ville Les Archives nationales ont récemment mis en ligne les recensements des victimes du conflit réalisés pour chaque commune après la guerre. Cette semaine, l'armée française va commémorer le centenaire de la journée la plus meurtrière de son histoire: le 22 août 1914, moins de trois semaines après la mobilisation générale, on dénombrait dans ses rangs 27.000 tués ou disparus en une seule journée dans les Ardennes. En quatre ans, ils seront au total environ 1,3 million à recevoir le titre de «Mort pour la France». Ces morts, il était possible, depuis déjà plusieurs années, de parcourir leurs noms sur la base de données Mémoire des hommes, qui regroupe les fiches individuelles des «Morts pour la France». Pour les trouver, il suffit de se rendre sur le site des Archives nationales et de taper une recherche de type «livre d'or [nom de commune]» ou «livre d'or [nom de département]». Feuillets jaunis et noms dactylographiés Dans ces feuillets jaunis, on trouve parfois des «célébrités».

Démographie de l'Allemagne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au 31 décembre 2014, l'Allemagne comptait approximativement 81 100 000 habitants, soit environ 300 000 habitants de plus qu'un an auparavant[1]. La population en Allemagne s'est stabilisée depuis 2000 grâce à un solde migratoire positif qui a compensé un faible taux de natalité. Répartition de la population[modifier | modifier le code] L’Ouest de l’Allemagne est beaucoup plus peuplé que les cinq nouveaux Länder de l’Est. Presque un habitant sur trois vit dans une des 85 villes de plus de 100 000 habitants, soit environ 26 millions d’individus. La population a commencé à diminuer en 1972. En 2011 les autorités ont procédé au premier recensement depuis la réunification qui a établi une population d'un peu plus de 80 millions d'habitants Villes avec plus de 100 000 habitants[modifier | modifier le code] 90 % de la population vit en ville. Évolution de la population de l'Allemagne[modifier | modifier le code] Sources [3],[4]: Sources [7],[8],[9]:

Monuments aux morts pacifistes: Bilan de la première guerre mondiale Bilan de la première guerre mondiale : La ’’Grande Guerre’’ (bientôt ’’Première Guerre mondiale’’) a été l’occasion d’une épouvantable hécatombe humaine, une effroyable tuerie sanglante. Avec près de 9 millions de morts parmi les soldats tombés lors des combats (auxquels il faudrait ajouter quelques 5,5 millions de victimes de guerres civiles ou d’indépendance menées par la suite, pendant les années suivantes : notamment en Russie, en Europe centrale et dans les Balkans, etc). Ainsi, la France a perdu environ 1 400 000 hommes (soit environ 10% de sa population) contre 2 millions de morts pour l’Allemagne (soit 9,8% de la population), 1,7 millions de morts pour la Russie (soit 4,5% de sa population), 1 million de morts pour l’Autriche-Hongrie (soit 9,5% de sa population), 750 000 morts pour le Royaume-Uni (soit environ 5% de la population) et près de 450 à 500 000 pour l’Italie (soit environ 6% de sa population).

487.fr.pdf Conséquences de la Première Guerre mondiale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les lendemains de la Première Guerre mondiale virent des changements politiques, culturels et sociaux radicaux à travers l'Europe, l'Asie, l'Afrique, et même dans des zones qui n’avaient pas été directement impliqués. Quatre empires s’effondrèrent à cause de la guerre, d’anciens pays furent rayés de la carte, de nouveaux furent créés, des frontières furent redessinées, des organisations internationales furent mises sur pied, et beaucoup de nouvelles et d’anciennes d'idéologies s’ancrèrent fermement dans l'esprit des gens. La Première Guerre mondiale eut également pour effet d'amener la transformation politique de l'Allemagne et du Royaume-Uni en apportant le suffrage quasi universel à ces deux puissances européennes, les transformant en démocraties représentatives pour la première fois dans l'histoire (voir élection générale de 1918 au Royaume-Uni et élections fédérales allemandes de 1919). Blocus de l'Allemagne[modifier | modifier le code]

Histoire démographique de la France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Évolution du nombre d'habitants en métropole[modifier | modifier le code] Evolution de la population française sur le long terme Évolution de la démographie entre 1960 et 2010[1]. Population en millions d'habitants. Démographie de la France de l'an 15 000 av. Sources : Compilation de données Insee, INED, et Jacques Dupaquier, Histoire de la population française, Paris, PUF, 1988. Préhistoire[modifier | modifier le code] Les premiers hominidés sont attestés dans le sud de la France il y a plus de 500 000 ans, ils donneront naissance à l'homme de Néandertal. environ 3-4 000 habitants vers 100 000 av. Elle augmente brusquement avec le néolithique et la diffusion de l'agriculture, pour atteindre le million d'habitants au début du IIIe millénaire av. Protohistoire[modifier | modifier le code] Les premiers Celtes atteignent la France vers -700, apportant avec eux la civilisation indo-européenne. Antiquité[modifier | modifier le code]

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