Edgar P. Jacobs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Edgard Félix Pierre Jacobs, plus connu sous le nom d'Edgar P. Jacobs, né le à Bruxelles et mort le à Lasne (Belgique), est un auteur de bande dessinée belge. Edgar P. Biographie[modifier | modifier le code] Il se lie d'amitié avec Hergé et travaille avec lui à la refonte de l'illustration des albums Tintin au Congo, Tintin en Amérique, Le Sceptre d'Ottokar, et Le Lotus bleu en 1943, puis il collabore l'année suivante aux Sept Boules de cristal et au Temple du Soleil, participant notamment au dessin des décors, des matériels et des équipements. Les contraintes de narration et de dessin pour les publications destinées à la jeunesse s'exercèrent sous la vigilance d'Hergé : ainsi dans L'Énigme de l'Atlantide, la dernière image de l'attaque des ptérodactyles est remplacée par une série de flashs juste avant la parution[1]. En 1977, Jacobs publie le premier tome des 3 Formules du professeur Satō dont l'action se déroule au Japon. Films sur Edgar P.
Tintin.com Tintin - Site officiel Gaston Lagaffe - Le site officiel du personnage de BD - Franquin Les Pieds Nickelés Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Pieds nickelés (de gauche à droite : Filochard, Ribouldingue et Croquignol) Les Pieds nickelés est une série de bande dessinée créée par Louis Forton, publiée pour la première fois le 4 juin 1908[1] dans la revue L'Épatant, éditée par les éditions Offenstadt, fondées par les frères du même nom. L'expression pieds nickelés signifie « ceux qui ne sont pas portés sur le travail ». Histoire[modifier | modifier le code] L'histoire met en scène trois personnages principaux, Croquignol, Filochard et Ribouldingue, trois petits filous, à la fois escrocs, hâbleurs et indolents. Selon la volonté des éditeurs, Les Pieds nickelés est d’abord une bande dessinée dans la tradition « française » : du texte typographié raconte l’histoire sous chaque dessin. Au début de leur « carrière », les Pieds nickelés se heurtent sans cesse aux forces de l'ordre dans des aventures où ils ont rarement le dessus. Dérivés[modifier | modifier le code]
Raoul Cauvin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Raoul Cauvin est un scénariste de bande dessinée belge né à Antoing (Belgique) le . Il est l'un des scénaristes les plus prolifiques de la bande dessinée franco-belge. Biographie[modifier | modifier le code] Des débuts chez Dupuis par la petite porte[modifier | modifier le code] Raoul Cauvin suit d'abord des études de lithographie publicitaire à l'Institut St Luc à Tournai, pour découvrir en entrant dans la vie active que cette formation n'a plus aucune utilité depuis la fin des années 1930[1]. Une place grandissante dans Spirou[modifier | modifier le code] Cauvin, le plus prolifique des scénaristes du franco-belge[modifier | modifier le code] Après la mort accidentelle de Maurice Tillieux en 1978, Dupuis perd son scénariste le plus prolifique ; Cauvin, qui était déjà très présent, va le devenir de plus en plus ; dès 1984, Thierry Groensteen évoque « un auteur qui, pour être inégal, ne se révèle pas moins incontournable[4] ». Ouvrages, dossiers
::Les Tuniques Bleues - Accueil:: Peyo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Peyo (pseudonyme de Pierre Culliford), né le à Schaerbeek (Belgique) et mort le à Bruxelles (Belgique), est un auteur belge francophone de bande dessinée, principalement connu pour les séries Benoît Brisefer, Jacky et Célestin, Johan et Pirlouit, Poussy et surtout Les Schtroumpfs. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Débuts artistiques[modifier | modifier le code] Un artiste qui se cherche[modifier | modifier le code] Début dans la bande dessinée[modifier | modifier le code] En 1949, entre deux commandes publicitaires, il s'essaye au gag en une demi-planche avec Poussy, le chat. Entrée à Spirou[modifier | modifier le code] Entrée des anciens locaux des éditions Dupuis et de la rédaction du journal Spirou dans la Galerie du Centre à Bruxelles. À la fin de l'année 1951, Peyo rencontre par hasard son ancien collègue de chez CBA, André Franquin, qu'il avait perdu de vue depuis des années. Benoît Brisefer[140]
Résultats Google Recherche d'images correspondant à images Site Web pour cette image Astérix et le leadership - Bruno Jarrosson bruno-jarrosson.com Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. Résultats Google Recherche d'images correspondant à images Site Web pour cette image Imprimer le dessin en couleurs : Personnages-celebres - Bandes-dessinees ... mes-coloriages-preferes.biz Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. Blake et Mortimer - Les experts de la BD Blake et Mortimer est une série créée par le dessinateur Edgar P. Jacobs en 1946. Elle fut prépubliée pendant de nombreuses années dans Le Journal de Tintin avec d'autres séries l'une des séries les plus populaires (comme Les Aventures de Tintin, Ric Hochet, Michel Vaillant ou les œuvres de Jacques Martin). Publiée dans un premier temps par les Éditions du Lombard, la série est désormais publiée aux Éditions Blake et Mortimer. La série, qui s'arrête à la mort de son créateur E.P. Le secret de l'EspadonLe mystère de la grande pyramideLa marque jauneL'énigme de l'AtlantideS.O.S. Copyright © Dargaud 2016
Résultats Google Recherche d'images correspondant à Spirou a 76 ans et 53 albums au compteur. Il s'agit au départ d'un clone de Tintin (dans l'esprit "chef scout belge" initié par Hergé). Son Milou est l'écureuil Spip, son Haddock est Fantasio, dont le mauvais caractère provoque catastrophe sur catastrophe, son Tournesol est Champignac, savant aux inventions loufoques et moteur de nombreuses aventures. La santé du héros se mesure aux ventes du "Journal de Spirou", qui découpe les albums : on est est passé de 108 000 exemplaires vendus en 1965 à 31 000 en 2013 en France. Le coup de crayon de Tome & Janry (1981 à 1999, 13 albums) a modernisé le duo en l’ancrant de façon cohérente dans notre quotidien, tout en abordant parfois des thèmes de science-fiction.Un peu trop, puisque l’album Machine qui rêve, qui devait signer une nouvelle ère façon Reboot, ne rencontra pas l’adhésion du public en décembre 1998. Machine qui rêve La couverture de Machine qui rêve montre un Spirou beaucoup plus réaliste qu'à l'accoutumée. Soda Le petit Spirou