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Le modèle "collaboratif" va détruire des emplois

Le modèle "collaboratif" va détruire des emplois
La culture collaborative accroît la productivité, et après ? La collaboration est désormais la nouvelle norme de nos sociétés et de nos entreprises. Le processus est en cours d’affinement, mais il est amené à se poursuivre. De plus en plus de gens en perçoivent les bénéfices évidents : il est tout simplement plus facile de collaborer et de coopérer – souvent de façon virtuelle – que d’être enfermé dans des systèmes et hiérarchies. En bref, cela nous permet d’obtenir de réels gains de productivité au niveau de l’individu, de la société et de l’entreprise. Les activités reposant sur l’arbitrage des imperfections du marché vont se réduire. Une partie des postes de cadres moyens vont disparaître. Des emplois rémunérés seront remplacés par des travaux d’amateur disponibles gratuitement ou par des emplois faiblement rémunérés. La rétribution des journalistes et des photographes professionnels devrait sensiblement baisser, certains emplois disparaître.

Indice de la consommation collaborative ? Mesure du pouvoir de partager ? Indice de consommation, pouvoir d’achat, Pib, autant de termes qui bientôt pourraient devenir des anachronismes. Depuis des décennies, l’ensemble des politiques économiques repose sur l’idée qu’il faut produire plus, consommer plus et que le pouvoir d’achat doit sans cesse augmenter. Pourtant consommer plus n’est pas nécessairement le seul moyen d’accroître son bien-être et sa qualité de vie. Le développement récent et rapide d’une nouvelle économie dite économie du partage apporte la preuve qu’il y a d’autres voies de développement de la société que le sacrosaint couple production consommation. Aujourd’hui des nouveaux acteurs vous proposent de partager votre voiture (covoiturage, partage de véhicules) de partager votre appartement (colocation), votre matériel de bricolage, vos livres, … . Révolution ou redécouverte de ce que savaient très bien faire nos grands parents ou arrière grands-parents ? Participer à l’événement de la consommation collaborative, rejoignez les COtuesday.

rezolab | Expérimentez l'intelligence collective Du BOGOF au BOSO, le gentil pied de nez de l’économie du partage [Officiel] Le site de questions réponses Quora lève 50 millions de dollars - FrenchWeb.fr  Les massives levées de fonds s’enchaînent du côté de la Silicon Valley. Après Evernote qui a levé 70M $ le 3 mai dernier, c’est désormais au tour de Quora. En effet, le site de questions-réponses basé à Palo Alto vient de boucler une levée de fonds de 50M $ (39M €). Ce second tour de table a notamment été mené par son co-fondateur Angelo D’Adam qui a investi personnellement 20M $, mais également par Peter Thiel (membre du board Facebook), ainsi que Ventures Northbridge et Ventures Matrix. Cette opération, attendue depuis quelques semaines, valorise ainsi le site près de 400M $ (311M €). Quora fonctionne sous le même principe que Yahoo Answers, doté en plus d’une dimension sociale. Fondée en 2009 par Adam d’Angelo, ancien camarade de Mark Zuckerberg, et lancé en version bêta en 2010, la société compte aujourd’hui une trentaine de salariés et a déjà procédé à une première levée de fonds d’un montant de 11M $ (8,3M €), auprès du fonds Benchmark Capital.

Impacts environnementaux et sociaux de l economie collaborative | Next & CoWorking Ce soir de 18h à 21h, l’équipe de OuiShare animera un Workshop sur les Impacts environnementaux et sociaux de l’économie collaborative. Les impacts environnementaux et sociaux des projets entrant dans le vaste champ de l’économie collaborative sont à la fois intuitivement très présents dans nos esprits, et précisément mal connus ou compris. Pour mieux les appréhender, l’objectif des 1ers ateliers du workshop sera d’en dresser une liste, non exhaustive, sur les impacts (positif ou négatif) d’un champ délimité de l’économie collaborative et d’établir des liens entre ces différents impacts. Pour définir les attentes de chacun, un nouveau tour de table permettra à tous d’exprimer la nature de son intérêt pour ce questionnement sur les impacts environnementaux et sociaux ainsi que les motivations de sa participation au workshop, et cela, dans le but de définir les suites possibles à ces discussions : Quelles pistes de travail ?

"L'Open Graph permet d'aller plus loin dans l'engagement des fans" Quels sont les leviers d'acquisition client sur les réseaux sociaux ? La directrice de We Are Social France revient sur les différentes stratégies possibles sur Facebook, Twitter et Pinterest. JDN. Quels sont les principaux leviers d'acquisition client sur Facebook ? "95% des fans d'une page n'y reviennent jamais" Sandrine Plasseraud. Les actualités sponsorisées sont-elles l'avenir de l'engagement des fans sur Facebook ? Il faut bien partir de l'idée que ce type d'achat média n'est pas de l'achat d'espace traditionnel mais de l'achat social, qui suppose un ciblage très précis des utilisateurs de Facebook et donc un message leur correspondant. Dans quel mesure la dernière version de l'Open Graph a-t-elle commercialement profité aux annonceurs ? Les nouvelles applications intégrant profondément l'Open Graph permettent d'aller plus loin dans l'engagement des fans. Le succès d'une campagne Facebook ne se calcule plus en nombre de fans. Investir dans le f-commerce est-il pertinent en France ?

Posséder, c’est dépassé ! Principales tendances motrices La crise économique et écologique, qui devient également sociale et politique Les réseaux sociaux, qui aident à transformer la contrainte (et la rage contre le "système") en énergie positive, tournée vers la recherche de solutions à la fois personnelles et collectives Signes avant-coureurs Le développement de différentes formes de "consommation collaborative" : achats groupés, partage de ressources et de capacités, "consumer to consumer" (don, troc, location, revente de biens)… L’"économie de fonctionnalité" : faire payer un service (transport, chauffage, éducation, culture, soins, etc.) ou l’usage d’un bien plutôt que ce bien lui-même. Face à une crise qui dure, une économie de survie se développe : il faut dépenser moins et générer des revenus complémentaires. Les territoires sont les premiers à se mobiliser pour accompagner ce mouvement. Pour les entreprises aussi, posséder devient coûteux et complexe. Les politiques prennent le relais.

Pourquoi Waze a fait tourner la tête de Google Google a officialisé mardi soir le rachat de la start-up israélienne, qui a aussi été approchée par Apple et convoitée par Facebook. Peu de start-up dans le monde peuvent se prévaloir d'avoir été convoitées par les plus grands noms de la high-tech. C'est pourtant ce qui est arrivé en six mois à Waze, qui vient finalement d'accepter de se revendre à Google, après avoir été approchée par Facebook et Apple. Waze édite depuis 2008 une application gratuite de navigation GPS, d'abord sur iPhone, puis pour Android. Un trésor de données personnelles Avec le temps, Waze s'est constitué un trésor de guerre grâce à toutes les données sur les déplacements de ses utilisateurs. Les discussions ont atteint un stade plus avancé avec Facebook au cours du printemps. De l'information trafic et de la publicité géolocalisée Selon la presse israélienne, les négociations ont achoppé sur le maintien du centre de recherche et de développement de Waze en Israël, où la start-up a été fondée.

Faire sa propre ville : comment les gens prennent-ils le pouvoir Robin Chase (blog) est une serial entrepreneuse reconnue. Après avoir fondé Zipcar, la plus grande entreprise d’autopartage du monde, et GoLoco, une communauté autour du covoiturage, elle a lancé Buzzcar, un service de partage de voitures. Invitée dans les plus grandes conférences (TED), elle a reçu de nombreuses récompenses dans le domaine de l’innovation, du design et de l’environnement. Pendant longtemps les villes ont été construites de manière très chaotique, sans structure… Il a fallu attendre le baron Haussmann et ses grands travaux pour que la ville change. Mais accepterions-nous encore facilement des travaux à cette échelle ? Aujourd’hui, ce sont les bureaucrates qui créent des villes, très structurées, très zonées, rappelle Robin Chase sur la scène de Lift à Marseille. Internet permet également aux gens de prendre le pouvoir. Image : Robin Chase sur la scène de Lift Marseille, photographiée par Pierre Métivier. Les grandes plateformes du web donnent du pouvoir aux gens.

Comment rendre une marque plus stimulante et fun ? La Gamification est un mot exploité, voir même surexploité depuis quelques années maintenant. Mais au-delà de son utilisation à but publicitaire, les marques prennent conscience que le jeu est avant tout l’opportunité de réinventer leurs produits et services. A l’heure où 83% des français déclarent que la publicité sur internet est une entrave à leur navigation, l’approche par le jeu et l’interactivité est une piste suivit par de plus en plus de marques. Les avancées technologiques associées à la prédominance des jeux dans notre société, ont contribué à accroître de manière significative le développement d’un nouveau modèle ludique appliqué à plusieurs domaines jugés «sérieux» dont celui de la communication. C’est ce que l’on appelle la Gamification. Aujourd’hui, la majorité de la population est composée de joueurs occasionnels, même si ceux-ci n’en ont pas toujours conscience. Des ARG plutôt que des Advergames Poussée à son extrême cette gamification consiste à créer des advergames.

La montée de la consommation collaborative “La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs”, explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un “mouvement”. Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). “La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons”, affirment ses défenseurs. Vidéo : la vidéo promotionnelle du livre de Rachel Botsman et Roo Rogers. Les fans du partage ont déjà leur magazine : Shareable.net.

Le défi de Jaga & Mookum – Mookum Mookum organises on a regular basis product design challenge competitions. The Make Way Challenge, is the last one which started in July and ended in September 2013. Mookum collaborated with the city of Genk and IDE to activate designers in making a product which can create a more beautiful, green and social city of Genk. Ideas from the citizens have been collected and translated into a design briefing. The nominees are: - Ries Geurts - Sus Driessen - Kristien Hendrickx - Kuppers & Wuytens These product design challenge competitions give young designers the opportunity to prove themselves. Do you have a good idea for the next challenge?

Comment Rifkin est trop fan de l’économie collaborative | Le dernier ouvrage du célèbre économiste m’a rendue fort enthousiaste ! Parmi les raisons de cet enthousiasme : la façon dont il prend en compte l’économie collaborative. Explications. Je ne vais pas ici vous résumer La Troisième Révolution Industrielle, dernier opus de Jeremy Rifkin. Repenser la propriété Rifkin anticipe depuis longtemps le passage d’une économie de la propriété à un âge de l’accès. Le mécanisme de marché est devenu « la main invisible » qui régule l’offre et la demande de propriété privées, et la recherche de l’intérêt personnel garantit une amélioration régulière du bien-être général et fait avancer l’humanité sur la route vers un progrès illimité… Mais le paradigme est sur le point de changer, affirme Rifkin : « L’émergence de la Troisième Révolution Industrielle introduit une conception très différente des pulsions de l’espèce humaine et des postulats qui régissent son activité économique. Comment expliquer cette évolution ? Merci Wikipedia et Facebook Conséquence ?

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