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Anātman

Anātman
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Anattā est souvent exposé selon la formule « Chaque chose est sans soi. ». C'est l'une des trois caractéristiques. À noter que l'école Pudgalavāda (personnaliste), aujourd'hui éteinte, fut la seule à admettre l'existence d'un soi. La conséquence sotériologique de l'absence de soi est qu'il n'y a rien à sauver, le « soi » n'étant ni créé ni détruit, mais le simple résultat de conditions ; le pratiquant doit se diriger, par le détachement et le développement de l'esprit (bhāvanā), vers la cessation (nirodha) du « soi empirique » (le nāmarūpa), ce qui est le nirvāṇa. Anattā dans le bouddhisme theravāda[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Anātman, sur Wikisource Le théravāda (ancien véhicule) distingue deux niveaux de compréhension : l'opinion philosophique présumant un soi ;la croyance trompeuse à un soi, le sentiment d'avoir un soi. Les cinq agrégats provoquent l'attachement et la croyance que ces parties sont « soi ». Related:  BuddhismSpiritualité

Anattā Buddhist doctrine of "non-self" Etymology and nomenclature [edit] Anattā is a composite Pali word consisting of an (not) and attā (self-existent essence).[8] The term refers to the central Buddhist concept that there is no phenomenon that has "self" or essence. It is one of the three characteristics of all existence, together with dukkha (suffering, dissatisfaction) and anicca (impermanence).[8] Anattā is synonymous with Anātman (an + ātman) in Sanskrit Buddhist texts.[9] In some Pali texts, ātman of Vedic texts is also referred to with the term Attan, with the sense of "soul".[8] An alternate use of Attan or Atta is "self, oneself, essence of a person", driven by the Vedic-era Brahmanical belief that atman is the permanent, unchangeable essence of a living being, or the true self.[8][9] In early Buddhist texts The concept of Anattā appears in numerous Sutras of the ancient Buddhist Nikāya texts (Pali canon). According to Collins, the Suttas present the doctrine in three forms.

Saṃsāra : cycle des existences conditionnées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Peinture tibétaine traditionnelle ou tanka montrant la roue de vie et les rayons de la saṃsāra Le saṃsāra (संसार terme sanskrit signifiant « ensemble de ce qui circule », d'où « transmigration » ; en tibétain khor ba, ou Khorwa འཁོར་བ། ) signifie « transition » mais aussi « transmigration », « courant des renaissances successives »[1]. D'une manière moins juste mais plus simple, le saṃsāra est donc le cycle des vies, de renaissance en renaissance. Le saṃsāra dans l'hindouisme[modifier | modifier le code] Dans l'hindouisme, saṃsāra signifie : Le saṃsāra dans le bouddhisme[modifier | modifier le code] Le saṃsāra est le cycle de renaissance et de souffrance dans lequel sont pris les êtres non éveillés. Le saṃsāra peut aussi être interprété dans un sens moral : Voir Loka.

Quatre nobles vérités Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La première noble vérité : Dukkha[modifier | modifier le code] La première noble vérité est que l'existence conditionnée, l'existence que nous connaissons, est imbue de souffrances : la naissance est une souffrance, la vieillesse est une souffrance, la maladie est une souffrance, la mort est une souffrance, être uni à ce que l'on n'aime pas est une souffrance, être séparé de ce que l'on aime est une souffrance - et, finalement, les cinq agrégats (skandhas) d'attachement (à savoir la forme, la sensation, la perception, la volonté et la conscience) sont aussi des souffrances. Ce terme de souffrance est aussi traduit par l'insatisfaction, puisque ce qu'il désigne est bien au-delà de la douleur physique. Le mot « dukkha » (duḥkha en sanskrit) est souvent traduit par « souffrance » ou « douleur »[3], ce qui est réducteur. La deuxième noble vérité : Samudaya[modifier | modifier le code] La quatrième noble vérité : Magga[modifier | modifier le code]

Kinomichi Le kinomichi est un budō (méthode d'éducation issue d'un art martial japonais), fondé par maître Masamichi Noro à Paris (France), en 1979. Maître Masamichi Noro a été l’un des élèves internes, uchi deshi 内弟子, de maître Morihei Ueshiba 植芝盛平, fondateur de l’aïkido 合気道. C’est en tant que « délégué pour l’Europe et l’Afrique » désigné par maître Morihei Ueshiba qu’il débarque à Marseille le 3 septembre 1961, précédant les maîtres Mutsuro Nakazono et Tamura dans la construction commune d’un aïkido européen et africain. Le kinomichi est affilié en France à la Fédération française d'aïkido, aïkibudo et affinitaires (FFAAA) en tant que discipline sportive non compétitive. Orientation[modifier | modifier le code] Les sources[modifier | modifier le code] Le kinomichi est un budo japonais, littéralement voie (do) qui arrête la lance (bu). Une Voie pour l’homme[modifier | modifier le code] Une orientation pacifique[modifier | modifier le code] Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Tathatā Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme tathatā (sanskrit, pali : तथता tathatā ; chin. 真如, zhēnrú, Wade : chen-ju ou 眞如 ; cor. 진여, jinyeo ; jap. 真如, shinnyo ; tib. de bzhin nyid ; viet. chân or chơn như) est généralement traduit par ainsité, ainséité (formé à partir du mot ainsi et du suffixe conceptuel —ité) et par certains par il y a[1]. Description[modifier | modifier le code] Ce terme est complémentaire de la vacuité (śūnyatā), en ce sens que bien que tous les phénomènes aient la nature de la vacuité, ils ont leurs caractéristiques phénoménales propres (tathatā ou dharmatā). Selon Nāgārjuna[3], les caractères de l'ainsité sont les suivants : non connue par l'enseignement d'autrui, mais pénétrée par la prajna selon un mode non-dual ;« apaisée », libre de nature propre ;non discursive, non exprimée par la parole ;non conceptuelle, non liée aux mouvements de l'esprit ;sans diversité (l'ainsité de tous les phénomènes est du même ordre).

Understanding Tibetan Buddhism - Bon - A Heterodox System | Dreams Of Tibet Tibetans commonly draw a distinction between three religious traditions: (1) the divine dharma (Iha chos), or Buddhism; (2) Bon dharma (bon chos); and (3) the dharma of human beings (mi chos), or folk religion. The first category includes doctrines and practices that are thought to be distinctively Buddhist. This classification implicitly assumes that the divine dharma is separate and distinct from the other two, although Tibetan Buddhism clearly incorporated elements of both of these traditions. Bon is commonly considered to be the indigenous religious tradition of Tibet, a system of shamanistic and animistic practices performed by priests called shen (gshen) or bonpo (bon po). Although this is widely assumed by Buddhists, historical evidence indicates that the Bon tradition only developed as a self-conscious religious system under the influence of Buddhism.

Nirvāna : état d'eveil Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux ou non latins. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation…), consultez la page d’aide Unicode. Pour les articles homonymes, voir Nirvana. Dans son acception bouddhique, qui est la plus commune aujourd'hui, ce terme désigne la finalité de la pratique bouddhique, l'Éveil (bodhi). Des termes proches sont : éveil, extinction, libération, illumination, délivrance, vacuité absolue, paix suprême, réalité ultime. Pour le bouddhisme hīnayāna, le nirvāṇa est « l'autre rive », qui « existe » par opposition au cycle du devenir, le saṃsāra, alors que pour le bouddhisme mahāyāna nirvāṇa et saṃsāra sont ultimement identiques, de par la non-dualité de la nature des choses. On distingue au moins deux types de nirvāṇa : L'école Cittamātra du Mahāyāna rajoute deux autres types : Voir aussi parinivana, Satori.

Vipassanā bhāvanā Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vipassanā bhāvanā ("vision supérieure" ou "vue pénétrante") est le nom d'une méthode de méditation dont le principe est de « prêter attention à la réalité ». Origine[modifier | modifier le code] La pratique[modifier | modifier le code] C'est une des pratiques de méditation les plus étudiées avec la Méditation transcendantale[1]. Dix-huit inspections[modifier | modifier le code] Stades[modifier | modifier le code] Souillures[modifier | modifier le code] Dans le Mahâyâna et le Hinayana[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] (en) Vipassana Fellowship Bibliographie[modifier | modifier le code] William Hart, L'art de vivre, Méditation Vipassanā enseignée par S.N. Références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Raymond J.

la conscience témoin - conscience pure Conscience témoin Elle est comme le 1er dédoublement de la conscience. Elle est le sujet ultime qui perçoit. Ce n'est bien sûr pas un individu, une créature consciente qui voit. Elle voit tout ce qui est, elle contemple toute la manifestation dans une impartialité totale sans choix ni opinion. Ainsi, on pourrait dire à ce stade, que tout ce qu'elle voit ne peut être elle, sujet qui voit. Elle est attention. Elle est de même nature que la pure conscience, sans substance, présence, accueil, donnant vie à ce qui est vu, silence, disponible sans discontinuité, sans effort .... La vision, l'écoute, l'observation sont synonymes. Impossible de la saisir, de la voir de la toucher mais on la sait vie, présence, "en action". Parler de conscience témoin est en fait une séparation illusoire de la pure conscience mais qui permet comme de mieux la reconnaître. Il n'y a finalement pas de conscience témoin, dès lors qu'aucune pensée ne vient interférer avec ce qui se passe vraiment.

Nature de bouddha Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nature de bouddha est, dans le bouddhisme, le potentiel inhérent à chaque être vivant d'atteindre l'état de bouddha (bouddhéité)[1]. Différents termes peuvent correspondre à cette notion, mais deux sont particulièrement importants et parfois employés comme synonymes. D'une part, Tathāgatagarbha (sanskrit IAST) qui signifie « matrice — ou embryon — (garbha[2]) de l'Ainsi-venu (Tathāgata) » c'est-à-dire d'un bouddha[Note 1]; l'expression a aussi le sens de graine d'éveil ». D'autre part, on trouve aussi le terme sanskrit Buddhadhātu (chinois : foxing ; japonais : busshô) qui signifie « élément de bouddha »[3]. Concept mahāyāna[modifier | modifier le code] Le concept de tathāgatagarbha, qui n’est pas accepté par le courant hīnayāna, a dû au départ lutter pour s’imposer, si l’on en croit l’énergie avec laquelle ses partisans le défendent dans certains sūtras. Reliques[modifier | modifier le code] Textes[modifier | modifier le code]

Symbolic Imagery in Himalayan and Tibetan Sacred Art The arts of India, Tibet, Nepal, and Bhutan display a rich stylistic diversity. However, these Himalayan regions share many symbols and important figures in their arts. Dating from the first millennium, Himalayan art is part of the Buddhist tradition. It is beyond decorative or fine arts and thus is sacred art. Many of the sculptures and paintings were created as aids for Buddhist meditation. Figures Found in Sculpture and Paintings Most Himalayan art begins with sacred figures. Buddhas—The main image of Buddhas, or “enlightened ones,” possess common features in Himalayan art. Deities or Saints in Tantric Art Religious texts called tantras describe numerous forms of deities. Tantric Deities—Deities, or gods, that personify various enlightened qualities. Postures Sacred sculpture and paintings show the buddhas and bodhisattvas in a recognizable variety of postures. Lotus position—This posture is commonly associated with meditation. Tibetan Artists Training for Sacred Art Sources:

Introduction au bouddhisme Le Bouddhisme Il n'existe pas de définition stricte du bouddhisme. Le présent texte n'est qu'un reflet de ma compréhension du bouddhisme. Un "bouddhiste" est une personne qui adhère à l'enseignement de Siddharta Gautama, qui vécut 500 ans avant Jésus-Christ. Schématiquement, une personne atteint l'état de "Bouddha" quand elle a un peu tout compris des choses du monde et elle a appris à se maitriser. Siddharta Gautama est supposé avoir atteint cet état... Le plus utile est peut-être de commencer par brosser les différences entre le bouddhisme et la plupart des autres religions : C'est une religion de l'impermanence. Un bouddhiste est responsable de ses actes. La théorie de la réincarnation est une idée religieuse qui était très présente en Inde, berceau du bouddhisme. Vous *êtes* l'ensemble de vos pensées, qui vous traversent l'esprit au fil de la journée et des événements. Beaucoup de problèmes émanent de personnes qui sont assaillies par leurs pensées.

Tarot divinatoire - Wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Papesse, arcane majeur du Tarot Visconti Le tarot divinatoire est l'application de la cartomancie aux cartes du Tarot de Marseille ou de ses variantes historiques ou modernes. C'est un art divinatoire qui utilise toutes ou une partie des 78 cartes du Tarot. Suivant le contexte d'utilisation – oracle ou approche plus psychologique – cette pratique d'interprétation des cartes est diversement désignée par différents néologismes, par exemple tarologie. Histoire[modifier | modifier le code] pour l'histoire des jeux de cartes utilisés dans le Tarot divinatoire voir l'article Tarot de Marseille L'usage divinatoire du Tarot pourrait être daté de 1527 avec la parution du Chaos del Tri per uno, essai littéraire de lecture divinatoire avec les tarots de Teofilo Folengo écrit sous le pseudonyme de Merlin Cocai. Son travail sera repris et réinterprété dans les livres d'Etteilla. Description[modifier | modifier le code] Tirage[modifier | modifier le code]

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