Cédric Dervaux, SCC : le BYOD, vers une évolution du phénomène Le BYOD (Bring Your Own Device) semble avoir gagné en maturité. L’apport d’un terminal personnel (PC, tablette, smartphone) sur le lieu de travail ou pour exercer son métier va sans nul doute devenir la norme. En 2011, aux Etats-Unis, 40% des entreprises ont inscrit le BYOD dans leur politique de développement. Plus qu’une tendance, les DSI français ne pourront minorer le phénomène. Dans ce contexte, il est pertinent de s’intéresser à l’avenir de cette pratique. Cédric Dervaux, Responsable de la division Mobilité et Interactivité chez SCC, s’attache alors aux interrogations concrètes des entreprises : Quels facteurs ont favorisé l’essor du BYOD ? Le BYOD, en connaître tous les aspects Le BYOD est aujourd’hui stimulé par deux facteurs ; le premier est la combinaison de la performance, la facilité d’utilisation et l’ergonomie des terminaux grand public. Le deuxième levier est porté par la génération Y. Le phénomène pose quelques freins… … mais offre de nouvelles possibilités
BYOD et réseaux sociaux : comment les entreprises gèrent-elles les risques ? - Journal du Net Solutions Les politiques d'accès IT ont dû évoluer pour faire face aux tendances liées à l'utilisation de terminaux personnels et services Web grand public pour le travail. C'est l'un des principaux enseignements de la dernière étude du Clusif. En s'installant dans les entreprises, le nomadisme, les réseaux sociaux et le BYOD ont engendré de nouveaux défis à relever pour les responsables de la sécurité informatique. Dans son rapport bisannuel "Menaces informatiques et pratiques de sécurité en France", le Clusif (Club de la Sécurité de l'Information Français) révèle l'ampleur prise par ces problématiques, et leurs conséquences sur les politiques de sécurité. Sur 351 entreprises interrogées, 61% interdisent l'accès à leur système d'information à partir de postes de travail non maîtrisés (cf. graphique ci-dessous). "L'accès nomade aux ressources IT de l'entreprise est de plus en plus généralisé.
BYOD et bâtissez une cathédrale Le BYOD d’aujourd’hui, c’est-à-dire la possibilité pour les salariés d’utiliser à titre professionnel leurs terminaux mobiles personnels, renoue en somme avec une ancienne tradition. Sur le plan technologique, cependant, ces appareils soulèvent d’autres problèmes que les gouges ou les maillets d’autrefois. Pour les éviter, n’est-il pas préférable de fermer d’emblée la porte au BYOD ? À vrai dire, sauf cas très particuliers, cette hypothèse paraît déjà théorique. Bien plus qu’un mal nécessaire Une enquête InsightExpress réalisée l’an dernier dans quatorze pays du monde a montré que pour plus de 40 % des jeunes, la rémunération de leur emploi importe moins que la flexibilité dans le choix des technologies, des réseaux sociaux et de la mobilité. Reste qu’il ne va pas sans diverses contraintes pour l’entreprise. Les arcs-boutants du SI La seconde démarche consiste à prendre en charge le BYOD au niveau global, celui de l’architecture du système d’information.
BYOD : où en sont les entreprises BYOD : où en sont les entreprises ? Publié le 07 | 03 | 2012 Le BYOD (Bring Your Own Device) repose sur l’utilisation par le salarié de son matériel informatique personnel dans le cadre professionnel. Le BYOD, une réflexion globale qui reste encore à mûrir Le BYOD (Bring Your Own Device) repose sur l’utilisation par le salarié de son matériel informatique personnel dans le cadre professionnel. Dans la majorité des entreprises, le BYOD est développé au travers d’une approche « Add & Use Your Own Device » en complément de l’offre « poste de travail » de l’entreprise. Depuis 2011, le challenge posé par le BYOD a conduit la plupart des grands comptes à définir leur stratégie pour en maîtriser l’émergence. S’adapter aux besoins utilisateurs… tout en réduisant les coûts Ce changement de modèle induit également une réduction du TCO (Total Cost of Ownership) à travers : Un changement de périmètre de responsabilité et d’activités pour la DSI (transfert de coûts).
Débat - Du Bring au Buy your own device (BYOD), l’évolution de trop ? Le « bring your own device », c’est-à-dire l’usage consistant à utiliser un terminal personnel dans le cadre de son activité personnelle, est probablement un des sujets du moment – plus encore parmi les équipes marketing d’un certain nombre de fournisseurs de solutions IT. Cette pratique, abordée à l’occasion d’une conférence du Clusif, doit son développement à la croissance des terminaux mobiles. En Europe, elle ne constitue cependant pas encore une norme. Pourtant, si le BYOD n’est pas encore considéré comme un standard, la prochaine étape est elle déjà évoquée. Le "Buy" plus efficace que le "Bring" pour baisser le TCO ? Pas sûr Et celle-ci aussi pourrait être désignée par l’acronyme BYOD, mais cette fois pour « Buy your own device ». Les maîtres d’œuvre de ce BYOD 2.0 seraient donc les directions financières, de plus en plus impliquées dans les choix IT. BYOD : des risques de discriminations entre salariés Le BYOD est-il une rupture du contrat de travail ?
BYOD : aider les DSI à garder le contrôle Les salariés des entreprises sont en effet de plus en plus nombreux à utiliser leurs terminaux personnels au travail. La DSI doit aujourd’hui passer d’un mode où elle gérait les exceptions – autoriser certains membres VIP à utiliser leur smartphone ou tablette – à une généralisation du phénomène dans toutes les strates de l’entreprise. Pour elle, c’est un véritable défi. L’un des obstacles à l’adoption du BYOD reste le manque de confiance accordée à ces terminaux, aux risques potentiels liés aux utilisateurs non autorisés et aux failles de sécurité. Intégrer le BYOD à sa politique de sécurité En pratique, la DSI doit donc intégrer tous les nouveaux terminaux dans l’entreprise sans mettre en péril les politiques de sécurité déjà en place. La résolution de ce problème doit passer par une solution de contrôle d’accès réseau intégrée. De quoi entamer son passage au BYOD sans douleur.
BYOD : les terminaux mobiles personnels dans l'entreprise La tendance « Bring Your Own Device » (BYOD) s'implante depuis quelques mois dans le monde de l'entreprise. Les professionnels sont en effet de plus en plus nombreux à utiliser leurs terminaux mobiles personnels au travail, ou à recourir à des services web (ex : stockage en ligne) grand public . Un nouveau défi pour les entreprises qui doivent s'adapter à cette évolution, qui est à la fois un défi (ex : en termes de sécurité) et un atout en matière de compétitivité. Il sera important d'adresser à la fois les risques techniques (de sécurité) et juridiques du BYOD. État des lieux et conseils pratiques aux petites entreprises qui souhaitent tirer parti de ces nouvelles habitudes qui chamboulent l'organisation du travail. Les terminaux mobiles personnels s'imposent dans l'entreprise Les prévisions récentes du cabinet Gartner indiquent que si la tendance est « inexorable », elle n'est pas sans poser des problèmes de sécurité/gouvernance aux entreprises. BYOD : quelques bonnes pratiques
BYOD : les entreprises françaises dépassées ? De plus en plus équipés de smartphones haut de gamme, les Français veulent pouvoir utiliser leurs terminaux personnels à des fins professionnelles, notamment en le connectant au SI de l'entreprise. C'est le fameux phénomène du BYOD (bring your own device). Selon une étude d'IDC pour le compte de Bouygues Telecom Entreprises, 40% des salariés français interrogés ont demandé à la direction informatique d'ouvrir le SI à leurs outils personnels. Néanmoins, les entreprises restent réticentes à cette idée, effrayées par les conséquences sur la sécurité des données ou encore l'intégrité du SI malgré les bénéfices apportés (plus de productivité, économies etc...). Ainsi, 71% des DSI interrogées refusent catégoriquement d'autoriser les salariés à utiliser leurs smartphones personnels dans le cadre de leur travail. Les salariés initiateurs du phénomène et en même temps victimes "Les entreprises sont dépassées", ajoute Nathalie Feeney. Pourtant les solutions existent.
France : le marché des tablettes en 2012 La France n‘échappe pas au phénomène de la tablette tactile qui s’invite chaque jour un peu plus dans les foyers de l’hexagone. L’Irrésistible ascension des tablettes Vous le savez, la tablette tactile est adoptée par de plus en plus de Français, et les récents chiffres de l’institut GFK illustrent assez bien cette nouvelle tendance. Parce que la tablette tactile se démocratise dans notre pays, intéressons-nous aux conséquences et aux habitudes de ces utilisateurs. Aujourd’hui, la France compte 4,5 millions de possesseurs de tablettes tactiles. Ces ventes ont forcément des répercussions sur la part du trafic internet. Sans grande surprise, Apple et ses 2 déclinaisons de l’iPad arrivent en tête des appareils et OS utilisés dans l’hexagone. userADgents parle de 97% de parts de marché pour iOS, 2% pour Android, et 1% pour les autres acteurs de ce marché. Concernant les habitudes des utilisateurs de tablettes, on note que : Sources :
Entreprises : les décideurs s’enthousiasment pour les tablettes tactiles Un quart des tablettes multimédia vendues en 2011 seront achetées par les entreprises, d’après une étude récente du cabinet Deloitte. Pour l’instant, néanmoins, la pratique reste limitée à quelques sociétés pionnières. C’est ce que révèle une étude menée par le cabinet Markess international, spécialisé dans les transformations des entreprises et des administrations induites par les technologies de l’information, et présentée le 30 septembre dernier, à Paris. Aujourd’hui, en effet, 0,1% seulement de la population active française utilise les tablettes numériques à titre professionnel. Et ce chiffre pourrait grimper à 1,2% en 2013. En fait, l’usage de ces tablettes tactiles qui permettent d’accéder à Internet, s’intègre dans une tendance déjà bien établie. Jamais sans mon terminal « Aujourd’hui, l’engouement pour ces terminaux est une réalité à laquelle les entreprises doivent faire face », explique Emmanuelle Olivié-Paul, responsable de la recherche chez Markess. Nomades et chefs