background preloader

Alphabet phonétique international

Alphabet phonétique international
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir API. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Histoire[modifier | modifier le code] L'API a été développé au départ par des professeurs de langue britanniques et français sous la direction de Paul Passy dans le cadre de l'Association phonétique internationale, fondée à Paris en 1886 sous le nom de Dhi Fonètik Tîcerz' Asóciécon. L'API a connu plusieurs révisions en 1900, 1932, 1938, 1947, 1951, 1989, 1993, 1996 et 2005. Principes généraux[modifier | modifier le code] Barres obliques (phonologie) versus crochets (phonétique)[modifier | modifier le code] La plupart du temps donc, les notations phonétiques exactes (indépendantes de la langue) sont rarement notées, au contraire des transcriptions phonologiques. Phonétique française[modifier | modifier le code] Par exemple, Notes: Related:  Linguistique

Trait (linguistique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Trait. En linguistique, un trait est une caractéristique d'un élément donné. Il s'agit d'un terme générique fédérant un grand nombre de termes techniques plus spécialisés. Type de traits : Un trait phonétique est une caractéristique phonétique d'un mot, d'un morphème et, plus souvent, d'un phonème — mais le terme peut s'appliquer à tout son ou ensemble de sons, de quelque taille qu'il soit. On dira par exemple que l'occlusion est l'un des traits phonétiques de la consonne [m]. Les traits phonétiques de base pour décrire une consonne sont : le point d'articulation, le mode d'articulation, la nasalité. Les traits phonétiques de base d'une voyelle sont le point et le mode d'articulation, la nasalité, l'aperture (ou degré d'ouverture de la bouche), l'arrondissement des lèvres. Le trait phonétique correspond donc à l'exécution d'un mouvement articulatoire de la bouche. Exemples de traits : Portail de la linguistique

Diathèse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Certains verbes sont intrinsèquement dénués de toute notion de diathèse : ce sont principalement les verbes d'état (comme être, paraître, sembler, demeurer, rester, etc. en français) ; ceux-ci sont en effet extérieurs à la notion d'actance. L'on considère qu'il existe deux diathèses principales que l'on peut permuter, la voix active et la voix passive. Voix active[modifier | modifier le code] Dans cette diathèse, le sujet grammatical et l'objet grammatical coïncident respectivement avec les rôles sémantiques d'acteur et d'objet patient. Dans les langues flexionnelles, le sujet est normalement au nominatif, l'objet à l'accusatif. Exemples[modifier | modifier le code] Voix passive[modifier | modifier le code] Passif agentif[modifier | modifier le code] Exemples :

Portail:Linguistique En linguistique, ce type de distinction de politesse est appelée plus généralement distinction T-V, d'après les initiales des pronoms personnels impliqués dans plusieurs langues romanes ou slaves : en effet, dans ces langues la personne du tutoiement débute par un t, et celle du vouvoiement par un v (tu, tu, tu, ti ~ você, vous, voi, vi en portugais, français, ancien italien et slovène). Lire la suite Autres articles sélectionnés

Linguistique cognitive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En linguistique et en sciences cognitives, la linguistique cognitive se réfère à une école linguistique qui estime que la création, l’apprentissage et l’usage du langage trouvent leur meilleure explication par référence à la cognition humaine en général. Présentation[modifier | modifier le code] La linguistique cognitive se caractérise par son adhésion à trois postulats de base. D’abord, elle nie qu’il existe une faculté linguistique autonome dans l’esprit ; ensuite, elle considère la grammaire en termes de conceptualisation ; et enfin, elle affirme que la connaissance du langage provient de l’usage du langage[1]. Les linguistes cognitivistes rejettent l’idée que l’esprit humain posséderait un quelconque module unique et autonome dédié à l’apprentissage du langage. En rompant avec la tradition de la sémantique vériconditionnelle, les linguistes cognitivistes considèrent le sens en termes de conceptualisation. Geeraerts, D., ed. (2006).

Philologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Évolution sémantique du terme philologie[modifier | modifier le code] Ce siècle parlera de philologie classique, ou romane, ou germanique, ou orientale. Pour Nietzsche, un signe distinctif du théologien est son inaptitude à la philologie : « J’entends ici le mot « philologie » dans un sens très général : savoir déchiffrer des faits sans les fausser par des interprétations. »[4] Au XXe siècle naissant, la définition du mot philologie se réduit à l'ensemble des notions nécessaires à l'étude littéraire d'une langue, fournies par la paléographie et l'étude critique des textes, étayée par celle de toutes les formes de grammaire et de linguistique. Philologie classique[modifier | modifier le code] Culture hellénique[modifier | modifier le code] Les principaux philologues d'Alexandrie furent les grammairiens Apollonios[5], Aristarque[6], Aristophane[7], Callimaque[8], Ératosthène[9], et Zénodote[10]. Annexes[modifier | modifier le code] Ancien manuel

Étymologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’étymologie est une discipline diachronique de la linguistique, qui cherche à établir l'origine formelle et sémantique d'une unité lexicale, le plus souvent un mot. Elle s’appuie sur des lois de la phonétique historique et sur l’évolution sémantique des termes envisagés. Étymologie du mot[modifier | modifier le code] Étymologie est un mot composé savant grec, ἐτυμολογία / etumología, lui-même formé sur le mot τό έτυμov "vrai sens" et de la base -λογια -logia (dérivée de λόγος "logos" « discours, raison »), qui fournit les noms de disciplines. On considère que les mots d’une langue peuvent, d’un point de vue diachronique, avoir principalement trois origines : Doublets populaires et savants[modifier | modifier le code] Quand, dans une langue, un même étymon a été hérité et emprunté ultérieurement, les deux mots obtenus sont nommés doublets lexicaux. C’est aussi le cas pour l’étymon fabrica(m) : Sens des mots[modifier | modifier le code]

Linguistique générative Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La linguistique générative regroupe un ensemble de théories développées à partir des années 1950 par le linguiste américain Noam Chomsky. Elle s'oppose à la fois au béhaviorisme et au structuralisme. Contrairement à certaines idées, le cadre de la théorie générative dépasse l'étude du système syntaxique : elle englobe tout le processus linguistique. Historique[modifier | modifier le code] L'école linguistique structuraliste, initiée par Ferdinand de Saussure en 1916 et en déclin depuis les années 1980, développa une nouvelle approche de l'étude de la langue. D'autre part, ils mettent de l'avant l'idée que la langue est décomposable en systèmes d'éléments identifiables plus petits (phonèmes, morphèmes,...) que l'on peut identifier selon une technique de classement. Questionnements et hypothèses[modifier | modifier le code] Surgénéralisation durant la période d'apprentissage de la langue maternelle[modifier | modifier le code] (en) Frederick J.

Prédicat (linguistique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir prédicat. Dans la grammaire traditionnelle (issue d'Aristote), les mots sujet et prédicat s'opposent : le sujet étant « ce dont il s'agit » (ce qui est considéré comme connu), et le prédicat, « ce que l'on dit du sujet » (autrement dit, l'information nouvelle). Le prédicat est alors l'équivalent du syntagme verbal — c'est-à-dire du verbe, accompagné de tous ses satellites (à l'exclusion du sujet, bien sûr). Exemple : La pomme est rouge (pomme est le sujet logique, rouge le prédicat de cette affirmation logique). La linguistique analysant la phrase en groupes de mots et non en concepts isolés, la notion de prédicat en vint à concevoir l'attribut sous la forme d'un syntagme verbal. Les différents types de relations possibles entre le prédicat et son sujet sont traditionnellement regroupés sous l'intitulé des « cinq universaux ». Les cinq universaux comprennent :

Métonymie Une métonymie est une figure de style qui, dans la langue ou son usage, utilise un mot pour signifier une idée distincte mais qui lui est associée. L'association d'idées sous-entendue est souvent naturelle (partie/tout, contenant/contenu, cause/effet, etc.), parfois symbolique (ex. couronne/royauté) ou encore logique[1] : l'artiste pour l'œuvre, la ville pour ses habitants, le lieu pour l'institution qui y est installée, etc. Étymologie[modifier | modifier le code] Mécanisme[modifier | modifier le code] La métonymie remplace un mot A, par un mot ou une courte expression de même nature grammaticale B. A n’est pas explicitement nommé : il est remplacé par B dans la phrase.La relation entre A et B est sous-entendue ; néanmoins, la formule utilisée devient incohérente si cette relation n'est pas comprise.Aucun mot-outil ne signale l’opération. Types de relations métonymiques[modifier | modifier le code] Le contenant pour le contenu[modifier | modifier le code] Mon père est une sacrée fourchette !

Métaphore Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Métamorphose du roi Louis-Philippe en poire, de Charles Philipon (circa 1831) - De l'analogie à la substitution La métaphore, du latin metaphora, lui-même du grec μεταφορά (metaphorá, au sens propre, transport), est une figure de style fondée sur l'analogie et/ou la substitution. C'est un type particulier d'image sans outil de comparaison qui associe un terme à un autre appartenant à un champ lexical différent afin de traduire une pensée plus riche et plus complexe que celle qu'exprime un vocabulaire descriptif concret. La métaphore se retrouve donc naturellement dans la littérature et particulièrement dans l'expression poétique, mais elle est d'un usage quotidien dans l'emploi d'épithètes (« un cadeau royal » – « une ruse de Sioux »…), de personnification (« Nadal, le Lance Armstrong de Roland-Garros ! La PNL (programmation neuro-linguistique) utilise aussi beaucoup les métaphores à visée de prise de conscience.

Malgré quelques faiblesses signalées pour cet article, il demeure intéressant en ceci qu'il détaille en les décrivant les divers sons employés en Français, ce qui est utile pour observer notamment les difficultés articulatoires de locuteurs non natifs lorsqu'il s'agit de prononcer correctement des sons Français. by hubertaffock Apr 11

Related: