Que faire à Paris quand il pleut ? (quelques idées pour ne pas se laisser abattre par le mauvais temps)
Le temps est plutôt humide... Tout cela ne donne pas vraiment envie de sortir... Bien sûr il y a les expos, le cinéma, les concerts, les salles de sports et les piscines : la vie culturelle et sportive est riche dans la capitale. Mais même sous la pluie, on peut visiter la ville et se promener... Voici quelques idées de balades pour découvrir Paris sans trop se mouiller ! Comme leur nom l’indique, ils sont bien à l’abri ! Passages célèbres : le Galerie Véro-Dodat, les anciennes galeries du Palais-Royal, la Galerie Vivienne, la Galerie Colbert, le Passage des Panoramas, le Passage des Princes, le Passage Jouffroy, le Passage Verdeau. Pour profiter d’une nature luxuriante sans prendre une goutte d’eau, rendez-vous dans les serres de Paris, qui vous feront en plus voyager car elles abritent notamment des fleurs et des espèces tropicales. Pour faire votre choix, retrouvez ici notre Guide des meilleurs salons de thé de Paris. Certaines églises parisiennes cachent d’étonnants trésors.
La crise de la zone euro - La revue permanente des professionnels de l’Europe
« Crise de la zone euro » Dossier thématique coordonné par Frédéric ALLEMAND,chercheur-juriste au Centre virtuel de connaissance sur l’Europe, chercheur associé au centre de géostratégie de l’École normale supérieure (Ulm), maître de conférences à Sciences Po et HEC et conférencier à l’ENA. Éditorial, par François-Gilles LE-THEULE, Directeur des affaires européennes (ENA). "Cet éditorial se limitera à donner trois clefs d'entrée pour les lecteurs intéressés : une chronologie des évènements commentés par les auteurs, une présentation des différentes approches que ceux-ci ont retenu pour analyser les enjeux spécifiques à la crise de la zone euro, et enfin une ouverture sur l’évolution de la gouvernance de la zone euro. [...]" Lire l'intégralité de l'éditorial (2/6) « La solidarité financière de l'Union : du FESF au MES »par Francesco MARTUCCI, Professeur de droit public, Université de Strasbourg. (4/6) « Le Parlement européen dans la gouvernance économique »
Ecole d’Ingénieur ECE Paris
Mythes et réalités de la génération Y | Le blog groupe Reflect
Il ne manque pas de billets et d’alerte pour nous dire tous les jours que les petits jeunes arrivent, pensent et font différemment, sont nativement digitaux, sinon ont muté du cerveau. Il est en tous les cas certain que toute marque ou organisation qui ne s’intéresserait pas à la première vraie génération digitalisée prend un risque de décalage inconsidéré d’avec ses publics. Derrière la mythologie, il est bon parfois de descendre sur terre et de constater par soi-même. L’occasion s’est très récemment présentée à moi puisqu’une école d’ingénieur a souhaité que j’évangélise toute une promotion aux joies des médias sociaux, problématique de la recherche d’emploi et de la modernité des réseaux sociaux d’entreprise oblige. Ayant donc passé en revue quelques 150 têtes bien faites, force est de constater que cette génération est effectivement parfaitement à l’aise avec les technologies, dégage une certaine confiance dans l’avenir et ses capacités.
La Génération Y : des pilotes de course qui doivent passer leur
Que l’on se fie à une récente étude d’Accenture ou à tout ce qui peut se dire et s’écrire çà et là (liste trop longue pour être publiée ici), la génération des Millenials ou des Digital Natives va considérablement faire changer la manière dont on travaille en entreprise. Quelque part c’est une chance inouïe tant ils ont les réflexes qu’on demande à des collaborateurs dans une entreprise agile, interconnectée. Mais toutes les études semblent également s’accorder sur un point un peu moins reluisant : leur très faible niveau de compréhension des enjeux de l’entreprise que ce soit au niveau opérationnel ou au niveau de la nécessaire gouvernance de l’information. En quelques sorte des pilotes de course qui devraient encore leur “permis de conduire en entreprise”. Vous me direz que nous n’en savions sans doute guère plus qu’eux lorsque nous avons fait nos débuts. Certaines entreprises ont, pour leurs stagiaires et leurs jeunes diplômés, recours à ce qu’on appelle le rapport d’étonnement.
De l’intérêt de ne pas façonner la génération Y > Entreprise
La génération Y, vous connaissez ? Mais si enfin, ces jeunes qui sont nés avec internet et qui sont multi-tâches. “Nés avec Internet” ? Oui et alors ? “Multi-tâches” ? Pourquoi est-ce que je vous raconte ça ? Mais le sont-ils réellement (différents) ? Mais c’est là tout l’enjeu de cette “non-intégration” : ne pas les façonner à la sacro-sainte culture d’entreprise mais exploiter plutôt leur candeur pour remettre en cause l’existant et trouver des pistes d’amélioration dans des directions que les plus anciens n’osent plus emprunter. Bien évidement cet apprentissage se fera dans les deux sens : Les anciens partageront avec les nouveaux leur expertise sur le métier et le marché, les plus jeunes les initieront à de nouveaux modes de communication et d’interaction. Est-ce utopique de penser ça ?
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