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Histoire Cours gratuits

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L'histoire avec des si Et si Jésus n'était pas mort sur la croix ? Et si Napoléon avait gagné à Waterloo ? l'histoire contrefactuelle, ou uchronie, est à la mode aux Etats-Unis mais encore boudée en France. En se penchant sur des films et des romans, des bd et des travaux universitaires, ce séminaire d'élèves se propose d'étudier cette approche historique, de souligner à quel point elle peut être stimulante, mais aussi d'en interroger, avec un regard critique, les fondements scientifiques. Le mercredi de 16h30 à 18h à l'Ens de la Rue d'Ulm, salle IHMC (1er semestre), salle d’histoire (2ème semestre) Attention, ceci est un programme provisoire, susceptible d’être modifié dans l’année. 1. 2. 3. 4. 5. Mercredi 13 novembre : pas de séance. 6. Mercredi 27 novembre : pas de séance. 7. Vacances de noël 8. Mercredi 22 janvier : intersemestre. Mercredi 29 janvier : intersemestre. Mercredi 5 février : intersemestre. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. Vacances de printemps 18. 19. 20. 21.

The Convergence of Knowledge and Work In looking at the challenges faced by today’s learning and development departments, it’s useful to look back through history at the different strategies that have been adopted to handle two similar, yet different, challenges: learning to handle information, knowledge and ideaslearning for the purpose of work In the past, there have been some areas of overlap between the two fields but until relatively recently, work has been mostly focused on the creation, buying and selling of goods and services whereas ‘knowledge work’ has been motivated by a desire to better understand the world around us. The way that those ideas have eventually made their way into the world of work doesn’t take away from the fact that the original intention was generally of a less practical nature. [1] Given that more of the work carried out in developed countries is knowledge work, what lessons can be learned from history to help us support learning and development in the modern economy? The changing face of work

Khan Academy en Français | Bibliothèques Sans Frontières American Experience | The Man Behind Hitler Gallery | Wartime posters from the German and U.S. home fronts >> Diary | Explore Goebbels' views over nearly two decades >> Interview | A historian talks about the Third Reich and more >> Watch on PBS watch the promo check local listings Mondays 9/8 C On PBS Pledge Your Support Stories to Go Présentation | Classe Inversée Ce site a pour but d’expliquer le concept de classe inversée à tous les professeurs qui souhaitent avoir un réel impact auprès de leurs élèves et qui veulent connaitre les meilleures méthodes pour développer une ambiance de classe motivante et décontractée. Exemple de classe inversée Ce concept connait un succès grandissant : de plus en plus de professeurs à travers le monde modifient leur façon de “faire la classe” pour passer à un modèle plus pratique et plus humain. Ce modèle part d’une idée très simple : le précieux temps de classe serait mieux utilisé si on s’en servait pour interagir et travailler ensemble plutôt que de laisser une seule personne parler. La classe inversée : plus qu’une méthode, une philosophie Professeur guidant un groupe de travail Il s’agit donc davantage d’une philosophie que d’une méthode à proprement parler. Un modèle plus humain Les interactions deviennent plus conviviales Les avantages de ce modèle sont multiples, mais le principal est la liberté qu’il procure.

History News Network Who cares about the American Revolution and why should something that happened more than 200 years ago matter today? These are among the questions raised by a recent national survey, sponsored by The American Revolution Center, which revealed an alarming lack of knowledge of our nation's founding history, despite near universal agreement on the importance of this knowledge. The study, conducted in the summer of 2009 among a demographically representative random sample of U.S. adults, is the first national survey of adult knowledge of the American Revolution and its ongoing legacy. It reveals that Americans highly value, but vastly overrate, their knowledge of the Revolutionary period and its significance. "The American Revolution defined what it means to be an American. The survey reveals that more than 90 percent of Americans - across all major demographic groups - think it is important for U.S. citizens to know the history and principles of the American Revolution.

Propagande, histoire d’un mot 1Avant la création du mot propaganda, par la papauté en 1622, à l’occasion de la fondation de la Congregatio de propaganda fide, il existait un ensemble de pratiques considérées comme distinctes et renvoyant chacune à des sphères d’activités séparées. Des stratégies symboliques passaient par la création de types monétaires à l’effigie d’un souverain, le décor d’un palais, des peintures murales ou des stèles votives. S’y ajoutait le vaste champ de la parole avec ses tactiques argumentatives, à l’oral comme à l’écrit. Les registres de vocabulaire, pour évoquer la propagande avant propagande, relevaient principalement de l’art militaire ou de l’éloquence, eux-mêmes liés à une conception de l’éducation. 1 J.-M. 2Au cours du 17e siècle, propagande est construit à partir du néologisme propaganda, lui-même forgé sur la base d’une étymologie latine technique et simple : le mot propagare, c’est-à-dire « propager, répandre, comme un liquide ». 3Le passage à la politique tarde à venir. 13 J.

Worker Cooperatives Below is a short book that I published nearly three decades ago, History of Work Cooperation in America (1980) (ISBN 0-938392-00-X), which was distributed through the then-widespread “underground” media. My new book, Worker Cooperatives or Wage Slavery, scheduled to be published by PM Press in 2008, covers similar ground, but completely rethought, rewritten, updated, and greatly expanded. The intervening decades, and my research and experience since, have served to confirm and—I hope—deepen my understandings and conclusions. Anyway, here is the earlier work. History of Work Cooperation in America Co-ops, Unions, Collectivity and Communalism from Early America to the Present The Native Tradition - The Colonial Tradition & Religious Communalism An Overview - Ideological Roots - Religious Communalism - Socialist Communalism - Workers' Parties - Early Stores - National Trades' Union Associationism - Union Cooperatives - Protective Union - Abolitionism 6.

10 trucs pour dégoûter nos jeunes de leur histoire Le programme d'univers social inauguré en 2006 visait au départ à alléger la matière du cours d'histoire et à lutter contre le décrochage. L'échec est aujourd'hui cuisant. Loin d'être allégé, le cours «Histoire et éducation à la citoyenneté» se retrouve plutôt surchargé de lubies didactiques: apprentissage par la méthode historique, aller-retour entre le présent et le passé, études d'«ailleurs» exotiques et «exercice de sa citoyenneté». Quant au taux de décrochage, il n'a pas bougé d'un poil. Un constat gênant que les administrations camouflent à l'heure actuelle en baissant les seuils de réussite et en proposant une épreuve synthèse si insignifiante qu'on pourrait bientôt diplômer un citron. Le résultat est que le cours d'histoire, autrefois populaire, nécessaire pour reconnaître les origines du Québec contemporain, est devenu le plus impopulaire du secondaire, responsable de la démotivation scolaire et résolument en voie de produire une génération d'ignorants. Loading Slideshow

Forty years of the internet: how the world changed for ever | Te Towards the end of the summer of 1969 – a few weeks after the moon landings, a few days after Woodstock, and a month before the first broadcast of Monty Python's Flying Circus – a large grey metal box was delivered to the office of Leonard Kleinrock, a professor at the University of California in Los Angeles. It was the same size and shape as a household refrigerator, and outwardly, at least, it had about as much charm. But Kleinrock was thrilled: a photograph from the time shows him standing beside it, in requisite late-60s brown tie and brown trousers, beaming like a proud father. Had he tried to explain his excitement to anyone but his closest colleagues, they probably wouldn't have understood. It's impossible to say for certain when the internet began, mainly because nobody can agree on what, precisely, the internet is. (This is only partly a philosophical question: it is also a matter of egos, since several of the people who made key contributions are anxious to claim the credit.)

GAME OVER, reportage sur le jeu vidéo Depuis Pong (1972), inventé à l’origine sur un oscilloscope, le jeu vidéo est devenu la première industrie culturelle au monde. Et, avec la 3D, les Kinects, les écrans tactiles et surtout Internet, sa puissance de feu s’est démultipliée. Les jeux en réseau – comme les incontournables Word of Warcraft ou Final fantasy – ont ainsi créé de nouveaux types d’usages, devenant de véritables réseaux sociaux, ainsi que de nouveaux profils de joueurs, comme les “cosplays”, jeunes gens costumés comme leurs avatars ; des phénomènes analysés par le sociologue Étienne Armand Amato et la jeune psychologue spécialiste des jeux vidéo Vanessa Lalo. Mais cette mode du jeu en ligne a aussi produit de nouveaux métiers.

L'école du futur passera par la pédagogie coopérative Dix ans. Pendant dix ans les scientifiques les plus éminents ont échoué à trouver la structure tridimensionnelle de la protéase rétrovirale du virus M-PMV, étape indispensable pour découvrir, peut-être, une molécule qui stopperait la reproduction du VIH - en clair : de soigner le SIDA. En trois semaines, le site Fold-It ("Pliez-le") a résolu le problème. Comment ? En le soumettant aux internautes. Cet exemple qu'aime rappeler le biologiste François Taddei, infatigable défenseur des pédagogies coopératives, est emblématique mais pas unique. Elles passent commande aux grandes écoles de formations moins tubulaires, moins spécialisées, leur demandent de développer les compétences relationnelles, collaboratives, des étudiants. Combien de temps faudra-t-il à l'enseignement scolaire, et singulièrement au secondaire, pour le comprendre et pour cesser de n'évaluer que les compétences individuelles? Voilà qui, en tout cas, constituerait une sérieuse "refondation" de l'école.

Comment favoriser les progrès des élèves ? Quelles sont les caractéristiques d’une bonne classe ? Quelles sont les pratiques et les attitudes qui font le mieux réussir les élèves ? En étudiant l’effet-classe et l’effet-maître, les chercheurs apportent quelques jalons sur une question toujours débattue. La bonne classe, le bon maître, le bon professeur… À entendre les propos des élèves et des parents, qui pourrait nier qu’il existe des différences entre les enseignants, propres à plus ou moins bien faire réussir les élèves ? Classes efficaces, classes équitables Chacun connaît le lien qui existe entre l’origine sociale des élèves et la réussite scolaire. Des démarches qui font la différence… Une exigence forte amène un niveau plus élevé Il a été aussi montré que les enseignants qui ont des attentes élevées vis-à-vis des acquisitions de leurs élèves obtiennent effectivement de meilleurs résultats que les autres : c’est le fameux effet Pygmalion, isolé dans les années 1960 par deux chercheurs américains (5). Pascal Bressoux

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