A Manifesto for Smart Citizens We, citizens of all cities, take the fate of the places we live in into our own hands. We care about the buildings and the parks, the shops, the schools, the roads and the trees. But above all, we care about the quality of the life we live in our cities. Quality that arises from the casual interactions, uncalled for encounters, the craze and the booze and the loves we lost and found. We know that our lives are interconnected, and what we do here will impact the outcomes over there. Therefore, we refuse to be consumers, client and informants only, and reclaim agency towards the processes, algorithms and systems that shape our world. Fortunately, we hold all the means in our hands. We are ready. Smart Citizens: All over the world, smart citizens take action. Until now, we have mostly worked next to governments, sometimes against them, but hardly ever with them. To get ourselves ready for the 21st Century, we have to redefine what “government” actually means.
Hacklabs and Hackerspaces – tracing two Genealogies Maxigas 1. Introduction It seems very promising to chart the genealogy of hackerspaces from the point of view of hacklabs, since the relationship between these scenes have seldom been discussed and largely remains unreflected. A methodological examination will highlight many interesting differences and connections that can be useful for practitioners who seek to foster and spread the hackerspace culture, as well as for academics who seek to conceptualise and understand it. In particular, hackerspaces proved to be a viral phenomenon which may have reached the height of its popularity, and while a new wave of fablabs spring up, people like Grenzfurthner and Schneider (2009) have started asking questions about the direction of these movements. Hacklabs manifest some of the same traits as hackerspaces, and, indeed, many communities who are registered on hackerspaces.org identify themselves as “hacklabs” as well. This paper is comprised of three distinct sections. Figure 1. 2. 3.
Eric von Hippel Eric von Hippel (born August 27, 1941) is an economist and a professor at the MIT Sloan School of Management , specializing in the nature and economics of distributed and open innovation . He is best known for his work developing the concept of user innovation – that end-users, rather than manufacturers, are responsible for a large amount of innovation. In order to describe this phenomenon, he introduced the term lead user in 1986. von Hippel's work has applications in business strategy and free / open source software (FOSS) and von Hippel is one of the most highly cited social scientists writing on FOSS. Eric von Hippel is the son of the material scientist and physicist Arthur Robert von Hippel who was also a professor at MIT. His great uncle is the German ophthalmologist Eugen von Hippel . The BUGvonHippel is a breakout board module and an example of open-source hardware . Early life [ edit source | edit beta ] Education [ edit source | edit beta ] Degrees [ edit source | edit beta ]
SOS USAGERS Les enjeux de l’extension de l’Open Data au monde de l’entreprise « Ainsi donc, nous souhaitons étendre le nombre et la diversité des données réutilisables. Mais pourquoi, en fait ? Pourquoi, en particulier, les entreprises contribueraient-elles à l’Open Data ? Nous n’avons jamais pris les données au sérieux « Nous n’avons jamais pris les données au sérieux et aujourd’hui, elles se vengent », estime Daniel Kaplan. Les données sont pour la plupart des constructions ad hoc visant à remplir les variables des programmes, explique-t-il. Image : Daniel Kaplan sur la scène de l’Open Data Week, photographié par Mathieu Drouet pour la Fing. Mais à l’heure de l’innovation ouverte, la plupart des chaînes de valeur et des modèles de services associent de multiples organisations. Ce Nouveau Monde relie d’une manière souple les organisations, les projets, les services et les applications autour de données et de services (au sens de « web services »). L’ouverture banalisée Les enjeux des données d’entreprise ouvertes Hubert Guillaud
Joseph Schumpeter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Ni keynésien, ni néoclassique, on le rapproche souvent de l'École autrichienne d'économie. Il est considéré comme l'économiste de l'effervescence et on le qualifie d’économiste hétérodoxe pour ses théories sur l’évolution du capitalisme dans la démocratie, qu'il estime voué à disparaître pour des raisons sociales et politiques. Biographie[modifier | modifier le code] En 1908, il publie son premier ouvrage, devenu très vite un classique de la statistique économique, Nature et essence de l'économie théorique, ce qui lui permet d'obtenir en 1909 un poste de professeur associé en économie politique à l'université de Czernowitz. Il publie la première édition de sa Théorie de l'évolution économique en 1911, ouvrage qui s’affranchit du cadre néoclassique et témoigne de son intérêt pour la dynamique et les lois du changement économique.
Le citoyen-spectateur, pour combien de temps encore ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Fabrice Flipo, Elise Demeulenaere et Jacques Testart, administrateurs de Fondation sciences citoyennes. La publication de l'ouvrage de Claude Allègre a suscité de vives réactions de part et d'autres. Fait remarquable, toutes en ont appelé au citoyen, ses droits, etc., mais aucune ne s'est souciée de savoir si le citoyen avait la possibilité de s'exprimer et de décider de manière informée et circonstanciée. Qu'il s'agisse des tribunes d'Olivier Godard (Alternatives Economiques du 12 mars), de Jean-Charles Hourcade et alii (Le Monde du 6 avril) ou de celles, opposées, de François Ewald (Les Echos du 2 mars) et d'Henri Atlan (Le Monde du 23 mars), toutes ont tenté de ramener le débat sur les priorités en matière de changements climatiques à un problème scientifique. Pour les alliés d'Allègre, le changement climatique est avant tout le résultat d'une funeste confusion entre science et politique, les écologistes étant les principaux fauteurs de trouble.
France Digitale s'intéresse à l'écosystème économique des start-up Dans le cadre de ses missions en faveur du développement d’un écosystème numérique français, France Digitale a dévoilé ce 2 juillet les résultats d’un premier baromètre 2011 sur « la performance économique et sociale des start-up numériques » réalisé en partenariat avec Ernst & Young. Plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires Les 108 jeunes sociétés* financées par le capital-risque ayant accepté de répondre au questionnaire, ont reçu en moyenne 7,7 millions d’euros de fonds depuis leur création. Leurs effectifs ont progressé de 24% sur un an et les contrats proposés sont à 87% des CDI. Quant à l’âge moyen des salariés, il est de 32 ans, 42 ans pour les dirigeants. Par ailleurs, le chiffre d’affaires total des entreprises étudiées a franchi la barre du milliard d’euros en 2011, soit une progression de 33% par rapport à 2010. La croissance des start-up du numérique est bien au rendez-vous. France Digitale en bref Crédit image : Copyright Sebastian Gelbke – Shutterstock.com
AIRSHOP Mobile Wallet SMC France - Social Media Club France | Accueil Design et management du design: où est l'urgence? | Yo Kaminagai De multiples porteurs de messages se font entendre pour expliquer et démontrer comment le design dépasse l'apparence, l'image, la surface. Et qu'il s'agit d'abord et surtout d'un esprit, d'une posture, et même d'une culture qui vise à garantir une conception sincèrement tournée vers les utilisateurs, tout en nourrissant l'intérêt des producteurs. Le design concerne les objets ou les espaces, les signes ou les systèmes, et bien sûr les services. Dans mon entreprise, la RATP, je fais partie de ces voix militantes, et une équipe consistante a progressivement pu être constituée depuis une vingtaine d'années pour porter, conduire et orienter le design de l'entreprise, au service des voyageurs : la discipline du management du design s'est ainsi installée dans les expertises du management de projet, pour intervenir sur toutes les composantes du transport qui peuvent en bénéficier. Aujourd'hui, la responsabilité des acteurs du design est très grande.