Genre et Jeu vidéo (3) : Des muscles et des couilles
Suite de la série de Mar_Lard sur les jeux vidéo, qui aborde cette fois la question des représentations de la masculinité. Au cas où les lecteurs et lectrices régulier.es de ce blog se poseraient des questions, je [la tôlière] suis en période de concours mais je reviens bientôt, et j’ai bien l’intention de me rattraper! Pardon pour les éventuels commentaires laissés en souffrance, j’y réponds dès que je peux. On l’a vu dans les deux articles précédents, la féminité telle qu’elle apparaît dans les jeux vidéos est particulièrement codifiée et exacerbée; encore aujourd’hui les créateurs ont du mal à se défaire des poncifs de la bimbo et de la demoiselle en détresse(1). Vous l’aurez compris, aujourd’hui nous allons parler de la masculinité dans les jeux vidéos. On a du pain sur la planche.(2) Dans le schéma occidental, masculinité = virilité, la virilité étant ici réduite à son expression la plus stéréotypée : La puissance… Skyrim La violence, l’agressivité… God of War Brütal Legend Uncharted Mario
feministfrequency - youtube
Content Warning: This educational episode contains graphic sexual and violent game footage. In this episode we explore the Women as Background Decoration trope which is the subset of largely insignificant non-playable female characters whose sexuality or victimhood is exploited as a way to infuse edgy, gritty or racy flavoring into game worlds. These sexually objectified female bodies are designed to function as environmental texture while titillating presumed straight male players. Sometimes they're created to be glorified furniture but they are frequently programmed as minimally interactive sex objects to be used and abused. Full transcript, links and resources available at: ABOUT THE SERIESThe Tropes vs Women in Video Games project aims to examine the plot devices and patterns most often associated with female characters in gaming from a systemic, big picture perspective.
Les chanteurs de pop sont tout aussi sexistes que les rappeurs, mais on le dit moins
Temps de lecture: 2 min Pourquoi fustige-t-on le sexisme des rappeurs, et pas celui des chanteurs d’autres genres musicaux? C’est la question que pose la blogueuse Frances Lockie dans une tribune de The Guardian. Elle se demande «pourquoi le comportement et les paroles d’artistes comme Snoop Lion, Tyler the Creator et Kanye West sont pris en compte, alors que d’autres semblent avoir un laissez-passer»? Et d’égréner la liste des chanteurs qui, en dehors du rap, ne se sont pas gênés pour proférer des paroles sexistes, comme l’icône de la paix, John Lennon. Interrogé par Playboy sur le contenu de la chanson des Beatles Getting Better («I used to be cruel to my woman / I beat her and kept her apart from the things that she loved» soit: «J’étais cruel envers ma femme / Je la frappais et je la gardais loin des choses qu’elle aimait»), John Lennon avait reconnu être un homme violent: «Je combattais les hommes et je frappais les femmes.» Cette tribune est parue le 16 janvier.
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