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Dette publique de la France

Dette publique de la France
Dette publique de la France, en milliards d'euros courants et en % du PIB, fin 1978 à fin septembre 2017. Dette publique et affichage des couleurs politiques des gouvernements (source : INSEE). La dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, s'élevait à 2 299,8 milliards d'euros à la fin du deuxième trimestre 2018[1], soit 99 % du PIB, contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008. Ce montant, à rembourser par les administrations publiques, peut être comparé à leurs recettes annuelles, à leurs actifs financiers et à leur patrimoine net. L’endettement public a connu au cours de l’histoire de fortes variations, ne prenant de l'ampleur qu'au XVIIIe siècle et atteignant lors des guerres puis de la Révolution des niveaux considérables, ensuite épongés par des périodes de forte inflation, de forte croissance, ou de hausse des recettes publiques. De 2007 à 2017, la France ne respectait aucun de ces critères. Définitions[modifier | modifier le code]

La dette grecque bientôt restructurée? Officiellement, rien n’a changé : la Grèce remboursera son énorme dette publique, comme elle s’y est engagée et comme s’y sont engagés ses partenaires de la zone euro afin de rassurer les investisseurs. Mais, dans les coulisses, on commence à admettre que la tâche est impossible : il y a des limites à ce que les peuples peuvent endurer. «Nous n’en pouvons plus», clamait ainsi mercredi à Athènes une banderole lors de la manifestation qui a accompagné la première grève générale de l’année 2011. «Nous sommes en train de mourir», avertissait une autre. Cette journée, marquée par un regain de mobilisation contre la cure de rigueur sans précédent que les Grecs subissent depuis un an, a fait ressurgir les craintes d’une déstabilisation politique. «Tout le monde réfléchit à une restructuration, mais les autorités publiques ont peur de déclencher au sein de la zone euro un nouveau Lehman Brothers», affirme André Sapir, professeur d’économie à l’université libre de Bruxelles. Photos: Reuters

La dette publique est plombée par des intérêts illégitimes Comment ne pas être d’accord avec Jean Gadrey (lire sur son blog : Sur les dettes publiques en France et en Europe), comment ne pas vouloir mettre plus de justice fiscale et faire payer des impôts équitables à ceux qui, à ce jour, bénéficient d’avantages fiscaux considérables, impôts dont la perception permettrait effectivement une « relance durable » ? Car nous avons deux problèmes à résoudre simultanément. Le premier problème est donc de trouver les financements de la relance durable et de la transition énergétique sans simultanément augmenter la dette ni les prélèvements sur les classes moyennes déjà exsangues. Et là je pense qu’une partie de ces plus ou moins 100 milliards d’euros annuels à récupérer, estimation tout à fait cohérente de Jean, trouvent ici leur place. Le second problème c’est celui du remboursement de la dette publique à chaque échéance des titres de dette. Des intérêts illégitimes cliquer sur le graphique pour l'agrandir Quelles solutions ? L’inflation

"Et si on fermait la Bourse ?" Et LA MONNAIE Quelques réflexions de base.(pour aller plus loin ?) — >>La monnaie moyen de domination *d’humains sur d’autres humains *sur la nature. — >>Depuis...bien avant le néolibéralisme, la société et son environnement sont instrumentalisés par la monnaie, sont au service de la monnaie créée en abondance, débordant très largement la production et la consommation qu’elle permet d’anticiper -crédit- pour le développement de sociétés non durables non soutenables par la biosphère. (Dans les années 50, les banques -de « dépôt », nationalisées- pouvaient prêter 11 fois les dépôts des clients...) — >> La monnaie moyen de domination et d’enrichissement... — >>La monnaie comme « étalon » de toute chose -même de la nature, comme c’est proposé par certains-est une blague : le kg, le mètre, la seconde sont constantes. — >>>La MONNAIE OUTIL SOCIAL au service de touTEs *Il n’y a pas de « génération spontanée » de la monnaie. — ->>>A approfondir, critiquer et à suivre...

evolution de la dette 1950 a 2010 Nouveau : Histoire de la Dette Publique depuis 1800 Malgré le ralentissement des déficits, la dette en % du PIB continue à augmenter en 2013. BUDGET DE L'ETAT en 2013 (Etat + Administrations publiques) La France continue à dépenser plus qu'elle ne produit. Les recettes ont augmentées de 3.2% soit +35 Mds d'Euros du fait des augmentations brutales d'impôts. Les dépenses ont encore augmentées de 1.9%. Le solde primaire, calculé avant la charge de la dette, est important à connaître : s'il est négatif, cela veut dire que nous continuons à alimenter la dette. On montre que la dette se stabilise lorsque le solde primaire (en % du PIB) est égal à l'écart entre le taux d'intérêt réel et le taux de croissance de l'économie multiplié par le ratio de la dette publique dans le PIB. Powered by Scriptsmill Comments Script

Crise : un complot américain derrière la crise économique de l'Europe ? Atlantico : Laurence Parisot a déclaré au Figaro que la crise économique que traverse actuellement l’Europe avait été "orchestrée" par les États-Unis. Qu’en pensez-vous ? Est-ce plausible ou s’agit-il de paranoïa ? Paul Jorion : C’est plausible, mais c’est de la paranoïa aussi ! En fait, nous nous trouvons dans une situation dégradée aussi bien aux États-Unis qu’en Europe. Tout le monde envisage de nouvelles catastrophes et donc chacun essaie de rejeter le blame sur l’autre. J’ai lu beaucoup d’analyses extrêmement pointues venues des États-Unis sur la situation que connait l'Europe en général et la France en particulier. Il existe des rumeurs venues de France, tout comme des rumeurs venues des États-Unis, mais il n'y a pas de "campagne orchestrée". Peut on envisager une nouvelle sorte de "terrorisme financier" où tel pays s'en prendrait à tel autre pour dégrader sa note attribuée par les agences de notation ? Non, ce n’est pas possible. Je ne sais pas. On sait d’où est née la crise.

evolution de la dette 1978 a 2010 Wiki Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dette publique de la France, en % du PIB, et en milliards d'euros courants, en fin d'année, 1978-2010. Dette publique et affichage des couleurs politiques des gouvernements (source : INSEE) La dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, a été évaluée pour la fin du quatrième trimestre 2013 à 1 925,3 milliards d'euros, soit 93,5 % du PIB[1]. Elle représentait 663,5 milliards d'euros à la fin de 1995, ou 55,5 % du PIB et avait atteint 1 211,6 milliards d'euros (64,2 % du PIB) à la fin de l'année 2007[2]. un déficit public annuel qui ne devrait pas excéder 3 % du PIB[3].une dette publique[4] qui devrait rester inférieure à 60 % du PIB[5] Depuis 2007, la France ne respecte aucun de ces critères. On trouve la définition du « déficit public excessif » a l'article 126 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne [6]. La question de la gestion et de l'avenir de la dette publique occupe aujourd'hui le débat public.

Franchir un pas On peut regarder la crise de deux façons. Avec anxiété devant les menaces qui se profilent à l'horizon - spectre d'une nouvelle récession, risques d'éclatement de l'euro… Ou avec étonnement devant les avancées hier encore improbables qu'elle a permis aux Européens d'accomplir. Qu'on en juge… La Banque centrale européenne devait se contenter de surveiller l'inflation : elle vole aujourd'hui au secours des Etats en difficulté en rachetant leurs titres de dette par dizaines de milliards d'euros. Les traités interdisaient que les Etats membres soient mis à contribution pour prendre en charge les engagements financiers de l'un des leurs : ils ont fini par mettre au point pour cela un fonds de stabilité financière doté d'une capacité de 440 milliards d'euros. Chaque euro emprunté devait être remboursé rubis sur l'ongle : les chefs d'Etat de la zone euro envisagent désormais de solliciter la participation des créanciers de la Grèce. Mais toutes les formes de solidarité ont un prix.

evolution de la dette de 1979 a 2008 ... Cette page "En savoir plus" est en construction ...donc un peu "en vrac" - Site "Dette et monnaie" - Site "faux monnayeurs" - Site "Chomage et monnaie" - Site du Mouvement Sociétal - Site de l'ADED L'Association pour les Droits Economiques et Démocratiques - Site de Jean Jégu - Vidéo sous - titrée " la monnaie-dette" money as debt, de Paul Grignon - Site "libérons la monnaie" - Livre d'A-J Holbecq et Philippe Derudder La dette publique, une affaire rentable Ci-dessous, l'évolution en euros constants de la dette publique (courbe rouge) et ce qu'elle serait devenue (courbe verte) dans un systeme monétaire où l'état, à partir de 1980 (en partant d'une dette de 229 milliards d'euros fin 1979, déja litigieuse), aurait récupéré son droit de création monétaire. Traité de Maastricht - Article 104

Le commencement de la fin Pareilles aux images aériennes du front de tsunami avançant inexorablement vers une côte japonaise dont le sort est scellé, le déploiement de la crise financière depuis trois ans donne une impression d’irrésistible fatalité, avec en prime cette sorte d’incrédulité un peu stupide de dirigeants qui croient encore pouvoir tout sauver quand tout est déjà compromis. Un choc de la magnitude de la crise dite « des subprime », crise dont on ne redira jamais assez qu’elle a été celle de la finance privée, était voué à produire, via le canal du crédit, une récession dont les conséquences sur les finances publiques s’annonçaient désastreuses. Plus encore impliquées dans la détention de titres souverains qu’elles ne l’ont été dans les titres privés hypothécaires, un choc massif dans l’un puis l’autre compartiment menace de mettre à bas tout le système des institutions financières. Quand les agences font de la politique Les Etats-Unis à leur tour dans la lessiveuse Le chaos cognitif de la finance

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