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Sefer Ha Zohar

Sefer Ha Zohar
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Zohar. Le Sefer Ha Zohar (Livre de la Splendeur), aussi appelé Zohar (זֹהַר), est l'un des ouvrages majeurs de la Kabbale, rédigé en araméen. La paternité en est discutée : il fut originellement attribué à Rabbi Shimon bar Yohaï, Tana du IIe siècle, mais la recherche académique considère aujourd'hui qu'il fut rédigé par Moïse de León ou par son entourage entre 1270 et 1280. Il s'agit d'une exégèse ésotérique et mystique de la Torah ou Pentateuque. Paternité de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Selon le Midrash, les élèves de Rabbi Akiva se répartirent la responsabilité des différentes parties de la Torah, et Rabbi Shimon bar Yohaï prit la responsabilité de la doctrine secrète. Il n'y a pas de réel moyen de trancher, il existe des arguments pour les deux options. Le contenu du livre[modifier | modifier le code] Page de couverture du Zohar, Mantua, 1558. La méthode du Zohar se trouve dans ce passage :

Tamara de Lempicka Tamara Łempicka [wɛmˈpit͡ska], connue sous le nom de « Tamara de Lempicka », née Tamara Rozalia Gurwik-Górska le 16 mai 1898 à Varsovie (Pologne, alors dans l'Empire russe) et morte le 18 mars 1980 à Cuernavaca (Mexique), est une artiste peintre polonaise représentative du mouvement Art déco. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Fille de Boris Górski, un juif russe, et d'une mère polonaise, elle passe son enfance dans un milieu aisé et cultivé entre Saint-Pétersbourg, Varsovie et Lausanne. La révolution d'Octobre bouleverse sa vie et, après un détour par Copenhague, elle gagne Paris. Formation et carrière à Paris[modifier | modifier le code] Elle y est recueillie par ses cousins qui l'ont précédée dans l'exil. En 1920, à l'académie Ranson, elle reçoit l'enseignement de Maurice Denis et à l'académie de la Grande Chaumière, celle d'André Lhote. Exil aux États-Unis[modifier | modifier le code] Dernières années au Mexique[modifier | modifier le code]

Rudolf Steiner Rudolf Steiner vers 1905. Signature Plaque commémorative Vue de la sépulture. Principalement connu comme fondateur de l'anthroposophie, une doctrine spirituelle, il va dans un second temps proposer sur la base de cette doctrine, des applications dans le domaine de l'éducation, l'agriculture et de la médecine. Ces pratiques, qu'il développa dans les années 1920, sont considérées comme pseudo-scientifiques. Écrivain prolifique, il est l'auteur de plus de vingt ouvrages sur la philosophie, l'occultisme et la spiritualité, et a tenu plus de six mille conférences transcrites aujourd'hui dans plus de trois cents volumes à partir de notes sténographiées (en grande partie non relues par lui). Une théorie de la connaissance chez Goethe[3] ;Vérité et Science[4] ;La Philosophie de la liberté[5] ou Les Énigmes de la philosophie[6]. Il est notamment connu pour avoir été à la base de la pédagogie Steiner-Waldorf, un courant pédagogique fondé sur ses conceptions éducatives et anthroposophiques. « Rien !

Theodor Herzl Theodor Herzl (en hebreo: בנימין זאב הרצל, Binyamin Ze'ev Herzl; en húngaro Herzl Tivadar) (Budapest, 2 de mayo de 1860 - Edlach, 3 de julio de 1904) fue un periodista y escritor austrohúngaro de origen judío, fundador del sionismo político moderno. Biografía[editar] Herzl nació en 1860 en el Reino de Hungría, en el condado de Pest (hoy la parte oriental de la ciudad de Budapest, que entonces constituía dos ciudades separadas), junto a la Gran Sinagoga de Budapest. Estudió en una escuela judía hasta los diez años, cuando fue enviado a una escuela laica que tuvo que abandonar debido al antisemitismo existente en la misma. Durante su juventud frecuentó una asociación llamada Burschenschaft, que aspiraba a la unificación alemana, bajo el lema "Ehre, Freiheit, Vaterland" (Honor, Libertad, Patria) y sus primeros trabajos no se focalizaron en la vida judía. Caso Dreyfus[editar] Theodor Herzl, en sus años de periodista. En junio de 1895, escribió en su diario: Líder sionista[editar]

Hermann Hesse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hermann Hesse Hermann Hesse en 1927, photographié par Gret Widmann Œuvres principales Signature Maison natale de Hesse à Calw Hermann Hesse (né le à Calw, Allemagne - mort le à Montagnola, Suisse) est un romancier, poète, peintre et essayiste allemand puis suisse. Sa vie[modifier | modifier le code] Enfance et jeunesse[modifier | modifier le code] Le monde dans lequel Hermann Hesse vécut ses premières années était totalement imprégné de l'esprit du piétisme souabe. Fin 1892 il entra au lycée de Cannstatt, à Stuttgart. Il commença un apprentissage de libraire à Esslingen am Neckar, qu'il abandonna après trois jours, puis devint au début de l'été 1894 apprenti mécanicien pendant 14 mois, dans la fabrique d'horloges Perrot à Calw. La naissance d'un écrivain[modifier | modifier le code] En 1898, Hesse devint assistant libraire et disposa d'un revenu respectable, lui assurant une indépendance financière vis-à-vis de ses parents. Hermann Hesse (1925).

Joseph d'Arimathie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph d'Arimathie (ou d'Arimathée selon les traductions) est un personnage du Nouveau Testament. Dans le texte évangélique, Joseph d'Arimathie est un membre du Sanhédrin secrètement converti à l'enseignement du Christ. Il apparaît pour la première fois après la crucifixion, lorsqu'il demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. C'est un saint chrétien fêté le 17 mars en Occident et le 31 juillet en Orient. Selon une légende ultérieure, il aurait recueilli le sang du Christ dans un vase, le Saint Calice (le Saint Graal dans le cycle arthurien). L'origine du nom Arimathie[modifier | modifier le code] Le terme employé dans le texte grec de Matthieu est Ἀριμαθαία, Arimathaia. Arimathie est peut-être le lieu dont il est question dans le premier livre de Samuel (1 : 1), en hébreu הרמתים, Ha-Ramathaïm. Une autre hypothèse est que la racine hébraïque de mathaïm ( un pluriel ) signifierait " des morts ". 38. 42. 57.

Thaumaturgie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’article Imposition des mains traite du geste rituel tel que pour la transmission de pouvoir spirituel. La thaumaturgie est, dans le domaine religieux, le fait de faire un miracle, notamment un miracle de guérison. Origine du terme et emploi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : thaumaturge, sur le Wiktionnaire Du grec « celui qui fait des tours d'adresse » il devient, à l'époque chrétienne, « celui qui fait des miracles », le terme s'appliquant essentiellement aux miracles de guérison. thauma qui signifie : dieu, prodigeurgein qui signifie : produire, opérer Thaumaturges dans l'Église catholique[modifier | modifier le code] Parmi les saints thaumaturges, citons : Rois thaumaturges[modifier | modifier le code] Adjectif[modifier | modifier le code] Objet miraculeux. Citation[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] thaumaturgie, sur le Wiktionnaire

Prieuré de Sion Pour les articles homonymes, voir Sion. Le Prieuré de Sion est le nom donné à plusieurs groupes, à la fois réels et fictifs, notamment à une organisation fondée en France en 1956 par Pierre Plantard. Dans une série de documents tapés à la machine à écrire et déposés à la Bibliothèque nationale au milieu des années 1960, intitulés Dossiers secrets d'Henri Lobineau, Pierre Plantard présente le Prieuré comme une confrérie remontant à 1099, liée à l'ordre du Temple en France. Polémique autour de Pierre Plantard[modifier | modifier le code] Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait 1 093 membres, structurés en sept niveaux. Le , un communiqué fut publié sur du papier à en-tête officiel, annonçant publiquement la réactivation de la société. L'Énigme sacrée[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Burgondes Les Burgondes (en allemand Burgunden/Burgunder) sont un peuple germanique appartenant au rameau ostique[1], probablement originaire de l'île de Bornholm dans la mer Baltique[note 1]. Pline l'Ancien[note 2] cite pour la première fois le nom de ce peuple au Ier siècle. Cet écrivain romain le localise sur l’Oder, dans l'actuelle Pologne. Ptolémée place les Bures (latin : Buri) à côté des Lugues à l'ouest de la source de la Vistule et d'après Dion Cassius ils furent alliés des Daces dans leurs combats contre Trajan. Les Burgondes participent aux invasions et migrations de la fin de l'Antiquité et du début du Moyen Âge, période durant laquelle ils s'établissent durablement dans le sud-est de la Gaule, comme peuple fédéré de l'Empire romain. Les origines[modifier | modifier le code] Les Burgondes près de la Vistule (Ier – IIIe siècles)[modifier | modifier le code] Pline l'Ancien écrit en l’an 78 que le peuple burgonde est localisé sur l'Oder[4], dans l'actuelle Poméranie. — Jordanès, Getica, XVII

Parsifal ParsifalFestival scénique sacré Personnages Parsifal est un « festival scénique sacré » (en allemand : Bühnenweihfestspiel, selon l'appellation de Wagner) en trois actes de Richard Wagner créé le 26 juillet 1882[1] lors du second festival de Bayreuth. Il se fonde sur l’épopée médiévale Parzival de Wolfram von Eschenbach. Histoire des représentations de Parsifal[modifier | modifier le code] La première[modifier | modifier le code] Lors de la première représentation de Parsifal, il y a eu des problèmes avec la scène mobile au cours de la transition de la scène un à la scène deux de l'acte 1 (la Wandeldekoration[8],[9]). L'interdiction de Parsifal en dehors de Bayreuth[modifier | modifier le code] Pendant les vingt premières années de son existence, les seules représentations de Parsifal (à l'exception des huit représentations privées pour Louis II à Munich en 1884 et 1885) ont lieu dans le Festspielhaus de Bayreuth, le théâtre que Wagner avait conçu pour l'opéra. L'époque : le Moyen Âge Scène 2

Homoncule (alchimie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'homoncule de Faust Gravure du XIXe siècle. Un homoncule (variantes : homunculus, homuncule, du latin homonculus, « petit homme ») est une version miniature, souvent caricaturale, d'un être humain que certains alchimistes cherchaient, prétendument, à créer. Le premier alchimiste occidental, Zosime de Panopolis, aborde déjà ce personnage. « Je tombai endormi. Et je vois dans mon sommeil un homoncule muni d'un rasoir, vêtu d'une robe rouge et d'un habit royal, se tenant en dehors des châtiments. Le médecin suisse Paracelse fut le premier à écrire sur ce sujet, en 1537[2]. Selon le récit de son serviteur (Joseph Kammerer, Livre des comptes, 1890), le comte Jean-Ferdinand Kueffstein réussit, en 1773, en Calabre, a créé dix homoncules. Le concept est repris au XVIIIe siècle par des biologistes adeptes de la théorie de la préformation. Dans le Faust de Goethe, Wagner, l'assistant de Faust fabrique un homoncule.

Christian Rosenkreutz Christian Rosenkreutz ou Christian Rose-Croix (« le Chrétien à la Rose et à la Croix ») ou C.R.C. est un personnage mythique, censé être le fondateur de la Rose-Croix. Il serait né en 1378 et mort en 1484. Ce nom apparaît pour la première fois dans les Noces chymiques de Christian Rosenkreutz sous la plume de Johann Valentin Andreae en 1616. Différentes hypothèses, narrations ou récits tournent autour de cette figure énigmatique qui a fait couler beaucoup d'encre, principalement chez ceux qui s'estiment, à un titre ou un autre, les propagateurs de l'enseignement de Rose-Croix. Le personnage de Christian Rosenkreutz[modifier | modifier le code] Selon certaines études universitaires[réf. nécessaire], Rosenkreutz aurait été inventé par Johann Valentin Andreæ, l'un des auteurs probables des manifestes rosicruciens. Selon Spencer Lewis[modifier | modifier le code] Selon Harvey Spencer Lewis, et l'AMORC, Christian Rose-Croix serait un personnage mythique. Rosenkreuz mourut peu de temps après.

Archives et Dossiers Secrets / Le Rosicrucisme La floraison de textes et d'ouvrages ésotériques d'inspiration rosicrucienne, entre les années 1600 et 1660, manifeste-t-elle une libération par rapport à la tutelle de Rome et de l'Inquisition, un bouillonnement du néoplatonisme magique venu de Byzance par l'Italie après la chute de Constantinople, ou bien plus simplement un essai de e restauration » de la tradition initiatique dont l'Occident est en train de perdre la notion, en attendant l'époque moderne et l'ère de Lumières du siècle suivant ?Il ne faut pas oublier que les rose-croix dans leur ensemble sont nourris de Bible et de prophéties apocalyptiques annonçant la fin du monde. Leur action dans le monde est une manière de se préparer à la catastrophe finale en entamant un processus de purification des religions, aube d'un futur âge d'or promis à l'occasion de la seconde venue du Christ. Sous le pseudonyme cité plus haut se dissimulait le personnage de Samuel Richter, qui s'entourait ainsi d'un peu plus de mystère.

Des illustrations de manuscrits d'alchimie L’alchimie est une discipline pseudo-scientifique qui recouvre un ensemble de pratiques et de spéculations en rapport avec la transmutation des métaux. L’un des objectifs de l’alchimie est la réalisation de la pierre philosophale permettant la transmutation des métaux, notamment des métaux « vils », comme le plomb, en métaux nobles, l’argent, l’or.Un autre objectif classique de l’alchimie est la recherche de la panacée (médecine universelle) et la prolongation de la vie via un élixir de longue vie.La pratique de l’alchimie et les théories de la matière sur lesquelles elle se fonde, sont parfois accompagnées, notamment à partir de la Renaissance, de spéculations philosophiques, mystiques ou spirituelles.Des pensées et des pratiques de type alchimique ont existé en Chine dès le ive siècle av. J. Ces illustrations circulaires viennent du travail du médecin et alchimiste allemand de Heinrich Khunrath. Les Vaisseaux D’Hermes, toujours anonyme et dans les années 1700 : Les Ripley Scrolls :

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