L'expertise spatiale canadienne pourrait s'exiler | Gabrielle Duchaine | Astronomie et espace «C'est de l'expertise canadienne, des chercheurs de haut calibre qui n'auront peut-être pas le choix de quitter le pays. C'est une grande perte pour le gouvernement, mais aussi pour le Canada», déplore Hélène LeBlanc, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'industrie et députée de LaSalle-Émard. «Plusieurs chercheurs tenteront sûrement d'aller à la NASA ou dans des agences spatiales ailleurs dans le monde», croit le président de l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada, Gary Corbett, qui représente les employés de l'Agence. «Et même s'ils restent au pays, nous allons perdre un savoir unique au profit du secteur privé.» L'Agence spatiale canadienne (ASC), qui compte environ 670 employés, confirme qu'une trentaine de postes sont actuellement visés par des «réaménagements d'effectifs». Selon l'Institut professionnel de la fonction publique, 23 personnes, dont 22 chercheurs scientifiques, ont reçu une lettre les avisant que leur poste pourrait être supprimé.
Une fissure géante dans un glacier donnerait naissance à un iceberg monstrueux Un énorme iceberg est en train de se détacher du glacier de Pine Island en Antarctique. Une fissure de plus de 30 kilomètres, dévoilée par des photos aériennes prises par la National Aeronautics and Space Administration (NASA) pousse les spécialistes à penser que ce nouvel iceberg pourrait atteindre la taille d'une ville comme New York, soit plus de 900 km². Si ce phénomène est décrit comme normal par les scientifiques de la Nasa, il reste que ces derniers ont été enjoints de surveiller étroitement l'activité dans la région. Une montagne de glace de la taille d'une ville américaine qui dérive en plein milieu d'un océan, cela ne se perd pas de l'oeil... Pine Island est une énorme bande de glace de presque 50 kilomètres qui s'étend de la chaîne de montagnes Hudson à la mer d'Admundsen. En novembre 2001, le glacier de Pine Island avait déjà laissé s'échapper un gigantesque iceberg qui mesurait environ 42 kilomètres sur 17. Il y a un moi la longueur de la fissure était d'environ 29 km.
Current position of the ISS Mars comme vous ne l'avez jamais vue | Ailleurs sur le web Quelque 817 photos prises par la minuscule caméra de la sonde Opportunity. Un panorama qui permet aux Terriens de faire une excursion virtuelle de 43 secondes sur la planète rouge. La NASA a dévoilé les images les plus récentes de Mars, des clichés d'une netteté jamais vue. C'est au robot à six roues de l'agence spatiale américaine, Opportunity, que l'on doit ce document photographique. Envoyé en 2004 sur la quatrième planète du Système solaire (par ordre de distance croissante du Soleil), la sonde a profité de l'interminable hiver martien (qui dure quatre mois - un peu comme au Québec) pour photographier le paysage. Voici à quoi Mars ressemblait du 21 décembre 2011 au 8 mars dernier. À voir sur lefigaro.fr
Bisphénol A Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En tant que révélateur de la coloration à l’impression, le bisphénol A est présent sous forme libre dans un grand nombre de tickets de caisse, de reçus de carte de crédit (papier thermique) et de billets de banque. Histoire[modifier | modifier le code] La première synthèse chimique du bisphénol A est due à A. P. Dianin, chimiste russe, en 1891. Avec l'étiquetage obligatoire des produits contenant du bisphénol A (à partir de 2014), c'est tout un programme qui sera mis en place pour éliminer puis remplacer cette molécule. À court terme : tous les produits avec du BPA seront étiquetés ;les femmes, les bébés et les enfants seront moins exposés ;à long terme : les effets du BPA sur l'homme continueront d'être étudiés ;la production sera réduite ;des nouveaux produits seront mis à l'essai pour remplacer cette substance dans tous les produits de consommation. Utilisations[modifier | modifier le code] Exemple de code d'identification.
Curiosity s'approche de Mars | Science Représentation artistique de Curiosity à la surface de Mars Photo : NASA Le robot Curiosity de la NASA se posera sur la planète Mars dans deux semaines, le 6 août prochain, où il cherchera pendant deux ans des indices de vie microbienne passée. L'atterrissage est une tâche très délicate. Selon les responsables de la mission, poser ce robot sur le sol martien est la mission la plus difficile jamais entreprise par la NASA dans l'histoire de l'exploration robotique planétaire. Représentation du robot pénétrant dans l'atmosphère de Mars Photo : NASA Curiosity a été lancé le 26 novembre 2011 du centre spatial Kennedy près du cap Canaveral, en Floride. Contrairement aux sondes précédentes, Curiosity est trop lourd pour que l'impact soit amorti par des sacs à air. Zone d'atterrissage du robot Curiosity Photo : NASA Ensuite, freiné par un parachute géant, le vaisseau verra sa vitesse passer de 21 243 km/h à 2,74 km/h en sept minutes jugées critiques par les ingénieurs du projet. Le saviez-vous?
Première : il va rallier le pôle Sud grâce aux énergies renouvelables L’explorateur britannique Robert Swan compte en 2015, et pour la première fois au monde, rallier le pôle Sud avec comme seules sources d’énergie des panneaux solaires et une éolienne. Plaidoyer en faveur d’une transition énergétique vers le renouvelable, l’expédition vise également à sensibiliser à la protection de l’Antarctique, dernière terre vierge du globe. Une première mondiale Robert Swan Le CV de Robert Swan est aussi givré qu’impressionnant. Le Britannique compte rallier le pôle Sud en 2015 uniquement à l’aide d’énergies renouvelables. Robert Swan entend démontrer que s’il est possible de réaliser une telle épopée glaciaire entièrement alimentée en énergies vertes, alors ces dernières peuvent être mises en place n’importe où ailleurs à la surface du globe. « Le but de cette expédition est d’inviter le monde à opter pour des sources d’énergies respectueuses de l’environnement » explique Robert Swan. Logistique renouvelable Objectif 2041 Le choix du pôle Sud ne relève pas du hasard.
Retour sur Terre de la capsule chinoise Shenzhou IX | International Les équipes de recherche ont retrouvé la capsule spatiale Shenzhou IX, qui s'est posée dans la steppe de Mongolie intérieure après 13 jours dans l'espace. Photo : AP/Xinhua News Agency, Ren Junchuan Le vaisseau Shenzhou IX, à bord duquel se trouvait la première femme astronaute chinoise, est revenu sur Terre sans encombre vendredi matin après une mission de 13 jours dans l'espace. La capsule spatiale chinoise s'est posée dans la steppe de Mongolie intérieure, dans le nord de la Chine, avec à son bord trois astronautes, dont la femme Liu Yang. La mission a été l'occasion de contrôles à distance du module, d'amarrages et de tests médicaux élargis des astronautes dans le cadre des préparatifs d'établissement d'une station spatiale permanente. La Chine a qualifié la mission du module comme un pas majeur dans le cadre de son ambitieux programme, qui vise à doter le pays d'une station orbitale dans laquelle un équipage peut vivre en autonomie durant plusieurs mois. Le saviez-vous?
tv - La télé web des générations futures Il y a 28 ans, Tchernobyl ... Le 26 avril 1986, le réacteur n°4 de la centrale de Tchernobyl explose, propageant dans l'atmosphère l'équivalent radioactif de 400 fois la bombe d'Hiroshima, ou de 0,5 fois une bombe nucléaire actuelle. Encore aujourd'hui, le bilan des victimes reste sujet à controverse. Les conséquences environnementales sont elles aussi dramatiques. Enfin, alors que la zone de 30 kilomètres autour la centrale nucléaire de Tchernobyl, totalement contaminée, est toujours interdite, le réacteur numéro 4 renferme toujours 130 tonnes de matières hautement radioactives. TerreTv vous propose une sélection de reportages consacrés à cette catastrophe. Tchernobyl Express - visite de la zone interdite Tous les jeudis sur TerreTv, découvrez un dossier spécial. Tchernobyl Forever : entre réel et virtuel Alain de Halleux est chimiste nucléaire, mais aussi réalisateur. Tchernobyl, du nucléaire dans l'assiette Antoine Citoyen : un 26 avril (spécial anniversaire Tchernobyl) - Episode 21
Des mines en orbite | Mathieu Perreault | Astronomie et espace Capturer des astéroïdes pour en extraire leurs minéraux. Tel est le projet lancé au printemps par le consortium américain Planetary Resources, qui compte parmi ses membres le cinéaste James Cameron et l'un des fondateurs de Google, Larry Page. Portrait d'une ambition digne des meilleurs films de science-fiction. Mettre en orbite, d'ici deux ans, des télescopes qui analyseront les trajectoires des 18 000 astéroïdes qui passent régulièrement près de la Terre. Tel est le plan annoncé à la fin du mois d'avril par un groupe de milliardaires américains. Plus tôt au printemps, une étude du centre de recherche Langley de la NASA a confirmé la faisabilité du projet, en précisant que sa rentabilité pourrait être compromise si les prix des minerais rares chutaient à cause des mines astéroïdes.