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Logiciel en tant que service

Logiciel en tant que service
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le logiciel en tant que service ou Software as a Service (SaaS) est un modèle d'exploitation commerciale des logiciels dans lequel ceux-ci sont installés sur des serveurs distants plutôt que sur la machine de l'utilisateur. Les clients ne paient pas de licence d'utilisation pour une version, mais utilisent généralement gratuitement le service en ligne ou payent un abonnement récurrent. Les principales applications actuelles de ce modèle sont : Le logiciel en tant que service (SaaS) est donc la livraison conjointe de moyens, de services et d'expertise qui permettent aux entreprises d'externaliser intégralement un aspect de leur système d'information (messagerie, sécurité…) et de l'assimiler à un coût de fonctionnement plutôt qu'à un investissement. Le contrat de services est essentiel pour définir le niveau de qualité de service (SLA). Historique[modifier | modifier le code] Avantages et inconvénients[modifier | modifier le code]

Comment le Web 2.0 change les pratiques en entreprise Depuis 2009, le CEFRIO (Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations) aide les organisations du Québec à prendre le virage numérique. En octobre 2011, en partenariat avec le Ministère québécois du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, le Centre a rédigé un livre blanc intitulé : « Les usages du Web 2.0 dans les organisations » (PDF, 51p.). Le nouvel aspect du Web : la collaboration La donnée fondamentale à propos du Web 2.0, c’est qu’il s'agit plus que d'un changement de technologie : un nouvel Internet est né, dont les principes fondamentaux ont été modifiés. Désormais, les sites Internet sont devenus des plateformes de services à l'architecture participative, qui se manifeste ar des commandes aisément accessibles aux usagers (exemple : un bouton « J’aime » de Facebook). De plus, la Toile facilite grandement l’intelligence collective ( le crowdsourcing). Ce dernier point est le plus emblématique de l’apport du Web 2.0 aux entreprises.

Liste de plateformes pédagogiques sous licence libre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article dresse un tableau des plates-formes sous licence libre compatible LMS. Les normes LMS[modifier | modifier le code] Les caractéristiques des plateformes LMS sont leurs compatibilités SCORM, QTI, IMS, AICC. Chaque plateforme apporte un certain nombre de services/fonctionnalités appelé modules (RSS, chat, wiki, blog...). AICC[1] : norme de formation en ligne (e-learning en anglais) déviée des normes de l'aviation civile américaine (AICC). IMS[2] (Instructional Management Systems) est une spécification du groupe IMS Global Learning Consortium. CP 1.2 : Content Package utilisé pour l'import/export du contenu ;QTI 1.2 : Question & Test Interoperability ;LTI : Learning Tools Interoperability pour la communication entre les outils e-learning tools ;LOM 1.0 : Learning Object Metadata ou Learning Resource Meta-data Specification ;SCORM 1.2 & 2004 : Sharable Content Object Reference Model. Les frameworks LMS[modifier | modifier le code]

Loi de sécurité financière Sous la pression des actionnaires, des juges et du fisc, la sécurité des systèmes d’information financière est désormais un impératif pour la direction générale. La sécurité doit être évaluée sur le plan technique, mais aussi sur le plan financier. Le système financier doit rendre fidèlement compte de l'activité de l'entreprise.Le rôle du système d'information financière s'est donc considérablement élargi.Deux évolutions majeures ont impacté le système d'information financière : 1- Les nouveaux standards IAS/IFRS(*) qui ont amené la mise en place de nouvelles règles, la normalisation et l'harmonisation du système financier. 2- LSO (Loi Sarbanes Oxley) / LSF (Loi de Sécurité Financière) qui ont apporté des contraintes de fiabilité des éléments et des données financières et la transparence des méthodes d’élaboration. Pour le système d'information financière la conséquence est le passage d'un service de support à un service stratégique. L'impact sur les systèmes d'information

Quels sont les avantages de l'externalisation de la paie par rapport à l'internalisation ? Quels sont les avantages de l'externalisation de la paie par rapport à l'internalisation ? La gestion de la paie et son administration sont des fonctions purement répétitives sans aucune valeur ajoutée. L'externalisation permet aux responsables RH de se recentrer sur leur cour de métier et de donner une véritable valeur stratégique à la gestion des ressources humaines, au travers de la formation, des entretiens, du recrutement de nouveaux collaborateurs. Au vu de l'accroissement de la complexité de la paie et de la gestion sociale en constante évolution : plus de 1.000 nouveaux textes légaux, modifications législatives et conventionnelles par an. En externalisation, le client bénéficie : d'une veille légale et d'une expertise sociale mutualisée, d'une garantie de fiabilité dans le traitement de sa paie faite par des experts dont c'est le métier, du respect des échéances de déclaration et de paiement auprès des différents organismes sociaux. Le prestataire paie est présent en permanence.

Stigmergie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La stigmergie est une méthode de communication indirecte dans un environnement émergent auto-organisé, où les individus communiquent entre eux en modifiant leur environnement. La stigmergie a d'abord été observée dans la nature — les fourmis communiquent en déposant des phéromones derrière elles, pour que d'autres fourmis puissent suivre la piste jusqu'à la nourriture ou la colonie suivant les besoins, ce qui constitue un système stigmergique. Des phénomènes similaires sont visibles parmi toutes les espèces eusociales comme les termites, qui utilisent des phéromones pour construire de grandes et complexes structures de terre à l'aide d'une simple règle décentralisée. Chaque termite ramasse un peu de boue autour de lui, y incorporant des phéromones, et la dépose par terre. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme fut introduit par le biologiste français Pierre-Paul Grassé en 1959, en référence au comportement des termites. P.

Moodle Moodle est une plateforme d'apprentissage en ligne (en anglais : Learning Management System ou LMS) libre distribuée sous la Licence publique générale GNU écrite en PHP. Développée à partir de principes pédagogiques, elle permet de créer des communautés s'instruisant autour de contenus et d'activités. Le mot « Moodle » est l'abréviation de Modular Object-Oriented Dynamic Learning Environment : « Environnement orienté objet d'apprentissage dynamique modulaire ». Outre la création de cours à l'aide d'outils à l'usage des formateurs, Moodle permet l'organisation de cours sous forme de filières (catégories et sous-catégories, cohortes…) qui lui confère un potentiel de mise en place de dispositifs complets d'enseignement. À un système de gestion de contenu, Moodle ajoute divers outils d'interactions pédagogiques et communicatives créant un environnement d'apprentissage en ligne, avec, via le réseau, des interactions entre pédagogues, apprenants et ressources pédagogiques.

(1/2) Institut Supérieur de Comptabilité et d’Administration des Entreprises Commission d’Expertise Comptable Mémoire en vue de l'obtention du diplôme d'expertise comptable Introduction Générale Les technologies de l’information et de la communication peuvent être définies comme « étant l’ensemble des technologies informatiques et de télécommunication permettant le traitement et l’échange d’informations et la communication construite autour de l’ordinateur et du téléphone ». Ces technologies touchent de plus en plus les entreprises en Tunisie. Par ailleurs, la nouvelle technologie de l’Internet va certainement devenir, dans un proche avenir, l’une des préoccupations majeures de nos entreprises tunisiennes et ce, compte tenu des phénomènes de globalisation et de libéralisation ainsi que de l’émergence de la nouvelle économie. Cette évolution de l’informatique, aussi bien au niveau du hardware que du software, et sa pénétration dans tous les domaines de l’entreprise est, sans doute, spectaculaire.

10 bonnes raisons d’externaliser la paie On croit souvent que l’externalisation de la paie est réservée aux multinationales. Cependant, les TPE ont déjà pris l’habitude de sous-traiter leurs paies à leur Expert-Comptable (qui lui-même sous-traite de plus en plus cette tâche aux faiseurs de paye). Seules les PME restent réticentes à cette solution. Pourtant, elle présente de nombreux avantages : une paie juste, livrée en temps et en heure à un coût maitrisé et en toute sécurité. 1) Simplicité – Un accès facile vers une interface sécurisé Le traitement de la paie en interne implique un logiciel de paie, une formation du personnel, des mises à jour et des sauvegardes des données. 2) Fiabilité – Le gestionnaire de paye une main d’œuvre rare et chère Un bon gestionnaire de paye est une ressource rare. 3) Disponibilité – Une sécurisation des process Quand la paye dépend d’une seule personne, que se passe-t-il si cette dernière tombe malade ou décide de quitter l’entreprise ? 6) Conformité – Cadre juridique strictement suivi et respecté

Comment pouvons-nous veiller à ce que l’internet joue un rôle sain dans la démocratie A l’occasion d’une conférence au Centre pour les Media Civic du MIT organisée en partenariat avec le Berkman Center pour l’internet et la société (rapporté par l’un de ses étudiants, Nathan Matias), Rebecca MacKinnon (@rmack) est venu présenter son nouveau livre Consent of the Networked : the worldwide struggle for internet freedom (Le consentement des connectés : la lutte mondiale pour la liberté d’internet – voir également le site dédié). Après avoir été le visage de CNN à Pékin et à Tokyo, Rebecca a fondé avec Ethan Zuckermann Global Voices, un réseau international de blogueurs et journalistes tentant de faire un pont entre les langues et les cultures pour faire entendre des informations de régions peu représentées dans les médias internationaux. Image : Rebecca MacKinnon lors de son intervention au Centre pour les médias civiques du MIT photographiée par Andrew Whitacre. Nous sommes-nous rendus aux « souverains du cyberspace » ? Image : La carte des réseaux sociaux mondiaux.

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