Quand la technologie aide à la prise de décision en groupe Loomio facilite la prise de décision des groupes grâce à une collaboration plus juste. L'application Web open source considère qu'un bon processus de prise de décision en group peut améliorer la vie en entreprise, comme la société. La décision de groupe a souvent pris la forme d'une décision hiérarchique top-down ou d'une inclusion bottom-up. Avec la méthode top-down, les décisions peuvent être mises en œuvre directement grâce à la chaîne de commande mais au risque de passer à côté de bonnes idées. La méthode bottom-up est à l'écoute de toutes les voix et de toutes les idées, mais elle peut prendre beaucoup de temps et arriver à des résultats non démocratiques décevants. Loomio tente de retirer les aspects positifs des deux types de décision et de les fusionner dans un nouveau processus associant rapidité et participation. Des décisions focalisées sur le sujet, prises au vote sur les propositions Améliorer la prise de décision pour une société plus saine ?
Négociation raisonnée : 10 idées reçues à surmonter - Les Echos Accueil La négociation est le moyen le plus civilisé par excellence pour résoudre les conflits et les différends entre états, dans l'entreprise et même dans sa vie privée. Une approche, développée à Harvard, est aujourd'hui considérée comme la plus efficace pour y parvenir: "la Négociation Raisonnée" qui a servi dans une multitude de conflits internationaux. Mais est-elle ce que prétendent certains ?(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Afrique - Moyen Orient Ebola : espoirs dans l'utilisation de traitements non homologués La fièvre hémorragique a franchi la barre des 1.000 morts. Ebola : des scientifiques britanniques auraient trouvé le patient... + VIDEO Selon une équipe de chercheurs anglais, un patient guinéen de deux ans pourrait être à l'origine de l'épidémie. Europe Convoi russe en Ukraine : Poutine se rend en Crimée Les articles les plus lus Poutine envoie un convoi humanitaire en Ukraine, Kiev et lUE...
Quel est le processus de decision en entreprise ? Prendre une décision, quel modèle de processus ? Réfléchis avec lenteur, mais exécute rapidement tes décisions. Isocrate, Philosophe (Athènes 436 av JC) La décision est une prise de risque La prise de décision n'est pas une situation de tout repos. L'incertitude ambiante, caractéristique d'un environnement complexe et chaotique, limite la perception de signaux clairs et nets. Les 4 phases du processus de prise de décision en entreprise Les pièges de la prise de décision Ce modèle classique que l'on retrouve chez plusieurs auteurs comme Henry Mintzberg et que j'expose dans le livre "Les nouveaux tableaux de bord des managers" est particulièrement intéressant pour apprécier les multiples moyens de détourner la décision. Lecture recommandée › L'ouvrage de référence auprès des managers, consultants, chefs de projets décisionnels, formateurs et enseignants. Les nouveaux tableaux de bord des managers Le projet décisionnel en totalité Eyrolles 6ème édition 2013 - 495 pages Prix : 35 euros
L’intérêt de la négociation raisonnée en situation difficile et complexe I. Qu’est-ce que la négociation raisonnée La négociation raisonnée, ou méthode gagnant/gagnant est fondée sur la coopération. Elle a été mise au point par les professeurs Fisher et Ury de Harvard. Ne pas confondre le différend à résoudre (provenant des écarts de besoins, de valeurs) et les personnalités face à face pour encourager les acteurs à traiter le problème, à faire preuve de compréhension ; Se concentrer sur les intérêts (divergents et communs) et les besoins ; Chercher des options c’est-à-dire des solutions pouvant apporter aux parties prenantes un bénéfice mutuel, une satisfaction de leurs besoins ; Retenir des critères de décision objectifs, non soumis aux influences des parties, faciles à mettre en œuvre, clairs, acceptés Un processus à suivre. 1. Il va s’agir de : Ainsi, il devient déjà possible d’augmenter la valeur totale de ce qui pourra être gagné. 2. On tiendra compte du nombre d’interlocuteurs, de leur pouvoir de décision, de leur degré d’expertise. 3. 4. 5. 6. II. 1.
Théorie Z Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie Z ou le modèle japonais est une extension de la théorie XY de Douglas McGregor. La théorie Z fut développée par William Ouchi en 1981. Elle est assez proche des 14 points définis par William Edwards Deming. La théorie Z est basée sur le style de management japonais. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Douglas McGregor Liens externes[modifier | modifier le code] À remplacer Portail du management
Théorie X et théorie Y Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les théories X et Y sont des théories développées dans les années 1960 par Douglas McGregor et utilisées en ressources humaines et en comportement de l’organisation. Les deux théories s'opposent entre elles. La première suppose que l'homme n'aime pas travailler, la seconde affirme le point de vue inverse. Ces deux théories sont issues d'observations empiriques et sont formulées de manière à rendre compte des comportements observés dans les organisations, selon les postulats des dirigeants. Théorie X : présupposés[modifier | modifier le code] Théorie Y : présupposés[modifier | modifier le code] Faire des efforts physiques et mentaux au travail est aussi naturel que s'amuser et se reposer.Le contrôle et la punition ne sont pas les seules façons de faire travailler les gens. Les conséquences[modifier | modifier le code] La théorie X induit un cercle vicieux dans lequel : Au contraire, la théorie Y introduit un système vertueux dans lequel :
Belbin France | méthode Belbin méthode Belbin Le simple rassemblement d'individus n'est pas suffisant pour créer une véritable équipe, même si on leur demande leur accord pour travailler ensemble. La performance d'une équipe dépend de l'équilibre des rôles tenus par chacun de ses membres. En effet, c'est dans la diversité des approches qu'elle est capable de fournir que réside la véritable force d'une équipe. La Méthode Belbin est un outil rationnel et rigoureux qui permet d'évaluer, de manière non intuitive, la coopération des membres dans une équipe. En identifiant les rôles endossés par chacun, on peut augmenter l'efficacité de l'équipe en jouant, à bon escient, sur sa composition ou sur son fonctionnement interne. Les études menées à Henley par M. La molécule illustre parfaitement le fait que les rôles se complémentent et que chaque rôle doit être présent dans l'équipe. La molécule Belbin Rôles de réflexion PRISEUR - Modéré, stratégique. EXPERT - Déterminé, autonome, concentré vers un seul objectif. Rôles d'action
David McClelland David C. McClelland (né le 20 mai 1917 à Mont. Vernon dans l'État de New York - décédé le 27 Mars 1998) était un théoricien psychologue américain. Il a obtenu un baccalauréat ès arts de l'Université Wesleyan en 1938, et une maîtrise de l'Université du Missouri l'année suivante. Il a obtenu son doctorat de l'Université de Yale, et il a enseigné à l'université du Connecticut et à l'Université Wesleyan avant de rejoindre la faculté à l'Université Harvard en 1956, où il a travaillé pendant 30 ans, siégeant en tant que président du département des relations sociales. Une approche spécifique et originale Bien que se situant dans la même lignée de recherche qu'Abraham Maslow, David McClelland en a évité les principaux écueils. En premier lieu, il s'écarte du concept de hiérarchie des besoins. La motivation par le désir de réussite David McClelland a écrit un livre en 1961, prenant appui sur le modèle de la société américaine. La mesure des catégories de motivation Annexes Notes et références ↑ H.
Théorie des deux facteurs Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des deux facteurs a été développée par Frederick Herzberg et stipule que la satisfaction au travail et l'insatisfaction au travail agissaient de manière indépendante. Ainsi, le contraire de la satisfaction n'est pas l'insatisfaction mais l'absence de satisfaction. De même, le contraire de l'insatisfaction est l'absence d'insatisfaction. Détails[modifier | modifier le code] Herzberg tente de repérer les éléments facteurs de satisfaction et d'insatisfaction au travail. Les facteurs d'ambiance - hygiène (bruit, chaleur, salaire, statut, relations humaines...) : Ils sont relatifs aux conditions de travail et doivent avoir un niveau de base. Références[modifier | modifier le code] Herzberg, F., Mausner, B. & Snyderman, B.B. 1959, The Motivation to Work. Lien externe[modifier | modifier le code] Article détaillé sur Wikilibéral Portail de la psychologie
Pyramide des besoins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] Représentation dynamique de la hiérarchie des besoins. Besoins physiologiques Besoins de sécurité Besoins d'appartenance et d'amour Besoins d'estime Besoin d'accomplissement de soi C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation : la hiérarchie des besoins. Maslow découvrit par la suite que les besoins s'inscrivaient dans le cadre d'une hiérarchie. Remarque : Lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées. L'émergence soudaine des besoins ;La satisfaction absolue des besoins.
Résoudre un conflit hiérarchique Il arrive que des tensions latentes avec un collaborateur se révèlent lors d'un entretien annuel d'évaluation. Ils peuvent facilement dégénérer en conflits, aggravés par la relation hiérarchique qui n'est pas toujours bien gérée, du côté du responsable comme du côté du collaborateur. L'existence de ces difficultés exige donc de la part du responsable qu'il soit capable de les surmonter, en traitant le conflit et en réduisant les tensions entre lui et son collaborateur. S'il ne le fait pas, la conduite de l'entretien devient très difficile. Les conflits peuvent naître de situations qui ont précédé l'entretien : souvent l'un des deux partenaires aborde l'entretien avec la volonté de s'opposer systématiquement à l'autre ; ou bien naître du déroulement de l'entretien lui-même. Bien comprendre les ressorts fondamentaux des conflits est donc essentiel pour calmer le jeu. Diagnostiquez l'objet du conflit 1- Désaccord sur la réalité des faits 2- Désaccord sur l'interprétation des faits
Leadership et Management, Le Cercle Ne confondons pas Leadership et Management. Leader et Manager n’ont pas la même signification. "Leader" est un vieux mot anglo-saxon que l’on retrouve dans tout le nord de l’Europe et qui veut dire : route, chemin, la trace d’un bateau sur la mer. "Manager" vient du latin "manus", la main qui tient l’épée, la barre, les rênes d’un cheval. Les managers font bien les choses : les leaders prennent les bonnes décisions. S’il est bien sûr indispensable que tout dirigeant soit un manager compétent, sachant administrer et contrôler, il faut cependant, avant tout, qu’il manifeste un vrai leadership. Un leader créé des ruptures. Pour Peter Drucker, un "leader" : - Choisit d’abord ce qui est bon pour l’entreprise, - Assume la responsabilité de ses décisions, - Communique lui-même ses choix, - Se concentre sur les opportunités plus que sur les problèmes, - Ne passe pas son temps en réunions improductives, - Dit "nous" plutôt que "je".
Différence entre leader et manager Le 25 avril 2013 par Sara Bigwood Leadership | Management | Pro Action Coaching | Bruxelles | coach | Coaching | Leadership | Management | | Peut-être n’est-ce pas clair pour vous quelle est la différence entre un leader et un manager: quand l’un intervient-il et l’autre s’enclenche-t-il? Voici une distinction très facile à comprendre qui vous permettra de l’appliquer tout aussi facilement. La différence entre leader et manager peut se retrouver dans la distinction entre le cerveau gauche (rationnel) et le cerveau droit (émotionnel). L’un n’est pas plus important que l’autre comme l’éléphant et son cavalier. Ce qui est important, ce sont les deux éléments collaborant de concert: un cavalier qui motive et dirige l’éléphant, qui est alors heureux de pouvoir utiliser sa force et sa puissance pour réaliser de grandes choses en tenant compte de l’environnement. Sara Bigwood Coach spécialisée en développement du leadership Auteure de « Baby Coaching » Ed De Boeck
Manager et (ou) leader ? Une jeune femme vient d’être nommée manager et, lors d’un entretien avec son hiérarchique, elle le questionne sur les attendus de sa nouvelle fonction : « qu’attendez-vous de moi en tant que manager ? ». Réponse : « soyez un leader ! ». Insatisfaite d’une réponse aussi vague, elle repose la même question…et obtient la même réponse. Indéniablement, leader, leadership sont plus tendance que manager et management. Le leader est capable de donner le cap parce qu’il est porteur d’une vision Alors que le leader est « celui que l’on suit », l’imaginaire collectif renvoie fréquemment le manager à une image d’expertise, c’est à dire à une maitrise technique de son champ d’action et/ou de capacités relationnelles reconnues. Ainsi, on peut être manager sans être leader ou leader sans être manager. Le manager est focalisé sur la gestion de processus : relations entre les méthodes, les métiers, les personnes, les interfaces. Le leader influence son entourage dans le sens défini par l’organisation