Rapport public 2011 : Consulter autrement, participer effectivement Le thème du rapport public du Conseil d'État - la participation des citoyens à la prise de décision publique – porte cette année sur une question transversale centrée sur le renouvellement des procédures et intéressant l’ensemble de l’activité de l’administration. Les attentes des citoyens et des usagers, le droit à l’information, la contestation des points de vue officiels comme celui des experts, conduisent à dépasser les consultations traditionnelles préalables à la décision publique et à mettre en discussion les idées, les projets et les textes. La décision publique comporte le plus souvent des étapes préparatoires graduelles à tel point que sa légitimité dépend désormais de l’instauration d’un véritable processus délibératif sur la base duquel l’autorité compétente se prononce en toute responsabilité. L’étude du Conseil d’État permet de prendre la mesure du retard supposé de la France en matière de « démocratie administrative ». > Lire les principales propositions du rapport public
Decision making Sample flowchart representing the decision process to add a new article to Wikipedia. Decision-making can be regarded as the cognitive process resulting in the selection of a belief or a course of action among several alternative possibilities. Every decision-making process produces a final choice that may or may not prompt action. Overview[edit] Edit human performance with regard to decisions has been the subject of active research from several perspectives: Psychological: examining individual decisions in the context of a set of needs, preferences and values the individual has or seeks.Cognitive: the decision-making process regarded as a continuous process integrated in the interaction with the environment.Normative: the analysis of individual decisions concerned with the logic of decision-making and rationality and the invariant choice it leads to.[1] Decision-making can also be regarded as a problem-solving activity terminated by a solution deemed to be satisfactory. Problem analysis
Négociation raisonnée : 10 idées reçues à surmonter - Les Echos Accueil La négociation est le moyen le plus civilisé par excellence pour résoudre les conflits et les différends entre états, dans l'entreprise et même dans sa vie privée. Une approche, développée à Harvard, est aujourd'hui considérée comme la plus efficace pour y parvenir: "la Négociation Raisonnée" qui a servi dans une multitude de conflits internationaux. Mais est-elle ce que prétendent certains ?(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Afrique - Moyen Orient Ebola : espoirs dans l'utilisation de traitements non homologués La fièvre hémorragique a franchi la barre des 1.000 morts. Ebola : des scientifiques britanniques auraient trouvé le patient... + VIDEO Selon une équipe de chercheurs anglais, un patient guinéen de deux ans pourrait être à l'origine de l'épidémie. Europe Convoi russe en Ukraine : Poutine se rend en Crimée Les articles les plus lus Poutine envoie un convoi humanitaire en Ukraine, Kiev et lUE...
Concertation & Décision Group decision making Group decision-making (also known as collaborative decision-making) is a situation faced when individuals collectively make a choice from the alternatives before them. The decision is then no longer attributable to any single individual who is a member of the group. This is because all the individuals and social group processes such as social influence contribute to the outcome. The decisions made by groups are often different from those made by individuals. There is much debate as to whether this difference results in decisions that are better or worse. Factors that impact other social group behaviours also affect group decisions. Group decision-making in psychology[edit] The social identity approach suggests a more general approach to group decision-making than the popular Groupthink model which is a narrow look at situations where group decision-making is flawed. Formal systems[edit] Consensus decision-making Tries to avoid "winners" and "losers". Voting-based methods Delphi method
L’intérêt de la négociation raisonnée en situation difficile et complexe I. Qu’est-ce que la négociation raisonnée La négociation raisonnée, ou méthode gagnant/gagnant est fondée sur la coopération. Elle a été mise au point par les professeurs Fisher et Ury de Harvard. Ne pas confondre le différend à résoudre (provenant des écarts de besoins, de valeurs) et les personnalités face à face pour encourager les acteurs à traiter le problème, à faire preuve de compréhension ; Se concentrer sur les intérêts (divergents et communs) et les besoins ; Chercher des options c’est-à-dire des solutions pouvant apporter aux parties prenantes un bénéfice mutuel, une satisfaction de leurs besoins ; Retenir des critères de décision objectifs, non soumis aux influences des parties, faciles à mettre en œuvre, clairs, acceptés Un processus à suivre. 1. Il va s’agir de : Ainsi, il devient déjà possible d’augmenter la valeur totale de ce qui pourra être gagné. 2. On tiendra compte du nombre d’interlocuteurs, de leur pouvoir de décision, de leur degré d’expertise. 3. 4. 5. 6. II. 1.
Place Publique - Média citoyen, relais d’engagements associatifs et outil de démocratie participative par Muriel Jaouen, le 7/06/2010 Une proposition de loi institutionnalise la “conférence de citoyens” comme modèle central du débat public en matière de bioéthique. Aujourd’hui entre les mains du Sénat, le texte soulève de nombreuses questions. Le 16 février 2010, l’Assemblée nationale adoptait en première lecture une proposition de loi du député UMP des Alpes-Maritimes Jean Leonetti relative à “l’organisation du débat public sur les problèmes éthiques et les questions de société”. Ce, dans le droit fil des réflexions de la mission d’information sur la révision des lois bioéthiques. De quoi s’agit-il ? Si nul ne contexte la nécessité de promouvoir et d’organiser la participation citoyenne aux grands débats de société, la proposition de loi suscite un certain nombre de questions et de critiques. Sur le timing : Sur la finalité : La loi n’envisage le débat public qu’en préparation de l’examen parlementaire de projets de loi déjà charpentés. Sur la portée : Sur l’arbitrage : Sur la méthodologie :
Group Decision-Making and Problem-Solving In today's organizations, team and group decision-making has become a part of everyday organizational life. Many people spent a good part of their workdays attending meetings for all types of purposes. Some are simply for communication purposes, but many involve making some type of joint decision. This WebNote provides a brief summary of the issues associated with decisions made by groups. It ends with a typology of types of group decision-making processes. Types of Decision Making Meeting While there are a variety of reasons for call group meeting (some of which have little to do with decision making or problem solving), for our purposes we will categorize decision making meetings into one of the following. Strategy: Strategy or planning meetings are called to determine the future direction of the organization or unit. Solve the immediate problem- the focus of this type of meeting is to determine how to satisfy the immediate concerns of the dissatisfied stakeholder. Group vs. Issues:
Théorie Z Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie Z ou le modèle japonais est une extension de la théorie XY de Douglas McGregor. La théorie Z fut développée par William Ouchi en 1981. Elle est assez proche des 14 points définis par William Edwards Deming. La théorie Z est basée sur le style de management japonais. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Douglas McGregor Liens externes[modifier | modifier le code] À remplacer Portail du management
Citoyens connectés: les technologies au service de l'activisme et de la mobilisation Crédits photo: Pierre Desmarest L’explosion des médias sociaux et des outils de publication personnelle ont donné à des citoyens ordinaires les moyens, au moins potentiellement, de participer au débat dans l’espace public. Les technologies, par le biais de la mise à disposition d’outils d’expression, de communication mobile, de partage et de mobilisation en ligne, participent donc d’un « empowerment des citoyens » et d’un renouvellement des répertoires d’action politique et militante. Olivier Blondeau a commencé par nous rappeler que l’exploitation des technologies par des activistes a tout d’abord pris la forme de détournements, de réappropriation des outils pour dénoncer leur utilisation première. La dénonciation des dérives de la société de surveillance reste prégnante dans les réalisations des activistes en ligne. L’objectif premier est de créer un outil d’aide au citoyen, non partisan, reflétant objectivement l’activité des élus.
Business intelligence: Collaborative decision-making The internet's academic roots lay in collaboration, but the rise of client/server computing favoured a more hierarchical way of working. However, the rise of Web 2.0 platforms has both revealed and tapped into a desire for knowledge sharing and collaboration. That trend has spread to the enterprise, where the same collaborative potential of social platforms is being unleashed within business decision-making, both across the organisation and within specific departments, such as HR and marketing. Business intelligence (BI) is at the heart of it, because the need for analytical tools is growing as enterprises gather statistics from the internet via cloud-based dashboards and browser-based mash-ups of rich media streams and begin to release the customer-specific information embedded within them. Collaborative decision-making Analysts at Gartner have identified an emerging applications market: collaborative decision-making (CDM). "CDM combines social software with business intelligence.
Théorie X et théorie Y Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les théories X et Y sont des théories développées dans les années 1960 par Douglas McGregor et utilisées en ressources humaines et en comportement de l’organisation. Les deux théories s'opposent entre elles. La première suppose que l'homme n'aime pas travailler, la seconde affirme le point de vue inverse. Ces deux théories sont issues d'observations empiriques et sont formulées de manière à rendre compte des comportements observés dans les organisations, selon les postulats des dirigeants. Théorie X : présupposés[modifier | modifier le code] Théorie Y : présupposés[modifier | modifier le code] Faire des efforts physiques et mentaux au travail est aussi naturel que s'amuser et se reposer.Le contrôle et la punition ne sont pas les seules façons de faire travailler les gens. Les conséquences[modifier | modifier le code] La théorie X induit un cercle vicieux dans lequel : Au contraire, la théorie Y introduit un système vertueux dans lequel :
DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE – L’Islande réécrit sa Constitution avec Facebook et Twitter C'est un processus politique inédit qui devrait susciter l'émoi des plus conservateurs de nos parlementaires. Depuis avril, vingt-cinq conseillers issus de la société civile — avocat, journaliste, professeur d’économie, physicien, directeur de théâtre, pasteur, étudiant — sont chargés de superviser l'écriture de la nouvelle Constitution islandaise, racontent le site Numerama et le quotidien le Guardian. Le pays, durement touché par la crise économique de 2008, a ainsi décidé de se redresser en actualisant sa loi fondamentale, en vigueur depuis 1944, date de l'indépendance avec le Danemark. Là où l'Islande innove vraiment, c'est que le processus de révision se veut collaboratif : les projets d'article sont publiés sur le site du gouvernement afin d'être commentés, critiqués, amendés par les internautes via les réseaux sociaux. Le processus devrait se terminer le mois prochain. Cette entrée a été publiée dans Actualité.
Groupthink Groupthink is a psychological phenomenon that occurs within a group of people, in which the desire for harmony or conformity in the group results in an irrational or dysfunctional decision-making outcome. Group members try to minimize conflict and reach a consensus decision without critical evaluation of alternative viewpoints, by actively suppressing dissenting viewpoints, and by isolating themselves from outside influences. Loyalty to the group requires individuals to avoid raising controversial issues or alternative solutions, and there is loss of individual creativity, uniqueness and independent thinking. The dysfunctional group dynamics of the "ingroup" produces an "illusion of invulnerability" (an inflated certainty that the right decision has been made). Thus the "ingroup" significantly overrates its own abilities in decision-making, and significantly underrates the abilities of its opponents (the "outgroup"). History[edit] He went on to write: Symptoms[edit] Causes[edit]