Trois « méta-études » sur les comportements informationnels des
Les enquêtes et études sur les comportements informationnels des usagers, notamment universitaires, n’ont jamais été si nombreuses et si riches. Et il devient très difficile, sinon impossible, d’en faire un suivi exhaustif. Aussi faut-il saluer particulièrement les « méta-études », fondées sur des états de l’art de la littérature et des synthèses de travaux. En voici trois, découvertes ces dernières semaines, toutes trois évidemment anglo-saxonnes (l’analyse d’un grand nombre de travaux de recherche sur les usagers et les pratiques informationnelles confirme l’écrasante supériorité des Anglais et des Américains dans ce domaine ; mais ceci est un autre sujet !) La première est déjà vieille de deux ans et avait été commentée lors de sa sortie, en 2008 : il s’agit de l’étude des chercheurs de l’UCL (University College London) et du JISC (Joint Information Systems Committee), « Information behaviour of the researcher of the future ».
Gestion des connaissances
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des connaissances (en anglais knowledge management) est une démarche managériale pluridisciplinaire qui regroupe l'ensemble des initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, identifier, analyser, organiser, mémoriser, partager les connaissances des membres d'une organisation – les savoirs créés par l'entreprise elle-même (marketing, recherche et développement) ou acquis de l'extérieur (intelligence économique) – en vue d'atteindre un objectif fixé. Définition[modifier | modifier le code] Actuellement, nous sommes submergés d'informations. Les entreprises, les scientifiques ou même les particuliers sont maintenant obligés d'appliquer une stratégie dans le traitement et la transmission de l'information dans les activités de tous les jours : voter, travailler, chercher un emploi, gagner des marchés, etc. D'après des praticiens et des académiciens tels que R. Historique[modifier | modifier le code] SI MARIÉ(?
La gestion des connaissances
Peut-on définir la gestion des connaissances ? Que peut apporter ce concept – plus connu sous le nom de Knowledge Management (KM) – aux organisations nationales et internationales des secteurs public et privé ? Telles furent les questions posées, le 25 janvier 2000, au cours du septième d’une série de colloques organisés par le British Council et la British Library autour du thème de l’information. À écouter les spécialistes du Knowledge Management, il est clair qu’il s’agit d’anticonformistes qui vont à l’encontre des idées reçues, qui veulent révolutionner les structures, revoir les hiérarchies, et qui prônent un changement de culture. Syndicalistes ? L’évolution permanente Il n’est pas étonnant que le Knowledge Management ait émergé il y a une dizaine d’années. C’est pourtant par la présentation d’une expérience en cours à la British Library (BL) que s’est ouverte la journée, où se sont succédé comptes rendus d’expériences et réflexions plus théoriques.
Intérêt du Personnal Knowledge Management en organisation
Résumé : Un grand mérite de la Gestion Personnelle des Connaissances* (PKM) est de remettre l’utilisateur au centre du dispositif KM. Certes ses enjeux en organisation paraissent modestes relativement à d'autres leviers d'action KM. Mais, peu coûteux en moyens, le PKM permet d'obtenir des résultats rapides auprès des opérationnels. Idéal pour le Knowledge Manager qui doit d'abord faire ses preuves. I. Les promoteurs du PKM n'hésitent pas à s'opposer aux approches centrées sur la codification ou sur l'échange de connaissances. La surabondance d’informations est l'obstacle majeur rencontré par un grand nombre de collaborateurs. Le PKM se distingue en apportant des outils et des méthodes applicablespar l'opérationnel, pour l'opérationnel, à son niveau individuel. II. Le PKM optimise donc le travail de consommation des informations et des connaissances. III. Le PKM est donc une corde parmi d'autres à l'arc du Knowledge Manager.
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ERTE :: Accueil
Les 16, 17 et 18 octobre 2008 s'est tenu à l'Université Lille 3 le colloque international « L'Education à la culture informationnelle », organisé par l'ERTé (Equipe de Recherche en Technologie éducative) « Culture informationnelle et curriculum documentaire ». Ce colloque, qui a reçu le soutien de l'UNESCO, mobilisé plusieurs chercheurs et intervenants étrangers et regroupé près de 150 personnes, peut être considéré comme le premier colloque scientifique d'envergure, qui se soit tenu en France sur cette thématique. Se déroulant sur plusieurs jours et regroupant différents formats de communications (conférences, ateliers, tables rondes), le colloque a donné lieu à une production riche et diversifiée de textes et de communications, pour lesquels le comité d'organisation a décidé une politique éditoriale en trois volets. Le Comité éditorial du Colloque de l'ERTé. Extraits de l'appel à communications Différents axes du colloque Axe 4 : Didactique de l'éducation à/par l'information.
KM Wikipédia
Knowledge management (KM) is the process of capturing, developing, sharing, and effectively using organizational knowledge.[1] It refers to a multi-disciplined approach to achieving organisational objectives by making the best use of knowledge.[2] An established discipline since 1991 (see Nonaka 1991), KM includes courses taught in the fields of business administration, information systems, management, and library and information sciences.[3][4] More recently, other fields have started contributing to KM research; these include information and media, computer science, public health, and public policy.[5] Columbia University and Kent State University offer dedicated Master of Science degrees in Knowledge Management.[6][7][8] History[edit] In 1999, the term personal knowledge management was introduced; it refers to the management of knowledge at the individual level.[14] Research[edit] Dimensions[edit] The Knowledge Spiral as described by Nonaka & Takeuchi. Strategies[edit] Motivations[edit]
Publication des actes du colloque "L’éducation à la culture informationnelle"
L’enssib vient de publier les Actes du colloque international « L’éducation à la culture informationnelle » qui s’était tenu à Lille en octobre 2008, sous le patronage de l’Unesco. Nous avions signalé le colloque en son temps ainsi que la mise en ligne des articles, accessibles sur le site dédié. Présentation de cette publication sur le site de l’Enssib L’éducation à la culture informationnelle Bref sommaire : I - Les cultures informationnelles : définitions, approches, enjeux II - Regard international III - Formats de l’information mobilisés par les apprenants et les professionnels de l’information IV - Pratiques sociales de l’information documentation Didactiques Conclusion : Culture(s) informationnelle(s) et/ou culture de l’information : des pratiques à la formation Colloque Erte « L’éducation à la culture informationnelle » ERTE : Equipe de Recherche en Technologie Educative Site du colloque Textes et traces du colloque Le programme des ateliers et l’accès aux contributions en ligne.
00520098, version 1] Culture informationnelle et didactique de l'information. Synthèse des travaux du GRCDI, 2007-2010
Abstract : GRCDI (Group of Researches in Culture and Didactic of Information) is a research group created in 2007 with the lead of the Urfist of Rennes. It has been institutionally attached to the ERTé «Culture informationnelle et curriculum documentaire » and is an extension proper to the western regions. This summary report was prepared in connection with the final report of the ERTé and is based on all publications of the group since 2007. His aim is to make an inventory of the group's conception of culture and information's didactics. Résumé : Le GRCDI (Groupe de Recherche sur la Culture et la Didactique de l'Information) est un groupe de recherche créé en 2007 à l'initiative de l'URFIST de Rennes et rattaché à l'ERTé «Culture informationnelle et curriculum documentaire », dont il constitue le prolongement pour les régions de l'Ouest.