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THATCamp Paris – Non-conférence sur les Digital humanities (Paris, INHA, 9-11 juin 2015)

THATCamp Paris – Non-conférence sur les Digital humanities (Paris, INHA, 9-11 juin 2015)
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ENMI 2015 Intervenants Présentation des intervenants : Julian Assange Wikileaks Julian Paul Assange, est un informaticien et cybermilitant australien. Catherine Beaugrand Artiste Après une formation scientifique et des études d’anthropologie, Catherine Beaugrand a établi, dans sa pratique artistique, une relation privilégiée aux espaces urbains. Thomas Berns Professeur de philosophie à l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Thomas BERNS est professeur en philosophie politique à l’Université Libre de Bruxelles, où il a longtemps dirigé le PHI – Centre de recherche en philosophie. David Berry Université du Sussex David M. François Bon Ecrivain François Bon, est né en 1953 en Vendée. Patrick Braouezec Président de Plaine commune Patrick Braouezec est un homme politique français. Dominique Cardon Orange Labs, université de Marne la Vallée Dominique Cardon est sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et professeur associé à l’Université de Marne la vallée. Xavier De La Porte Rue 89 Christian Fauré Dr. Yuk Hui

FYP Editions - Editeur de la prospective et des questions de société Le temps des humanités digitales Les humanités digitales se situent à la croisée de l’informatique, des arts, des lettres et des sciences humaines et sociales. Elles s’enracinent dans un mouvement en faveur de la diffusion, du partage et de la valorisation du savoir. Avec leur apparition, les universités, les lieux de savoir et les chercheurs vivent une transformation importante de leur mode de travail. Cela entraîne une évolution des compétences et des pratiques. Contributeurs :Sous la direction d’Olivier Le Deuff. Titre : Le temps des humanités digitales Sous-titre : La mutation des sciences humaines et sociales Auteur : Olivier Le Deuff (dir.) Broché : 176 pagesÉditeur : FYP ÉditionsCollection : Société de la connaissanceLangue : françaisEAN 13 : 978-2-36405-122-5 Sommaire Préface : Milad Doueihi Introduction : Olivier Le Deuff Première partie : Histoire et frontières d’un concept en vogue Petite histoire des humanités digitales Olivier Le Deuff, Frédéric Clavert Frédéric Clavert René Audet

Les carnets du SID Services et outils | Huma-Num : l'infrastructure des humanités numériques Pour rappel, le terme grille de services est librement inspiré du terme anglais « grid ». La grille de services de la TGIR est constituée d'un ensemble de technologies d'infrastructure et de systèmes informatiques mis à la disposition des laboratoires et équipes de recherche pour mutualiser, diffuser et stabiliser dans le temps l’accès aux données et documents. Loin d'être un simple guichet, la diffusion des données se fait au sein de la TGIR en responsabilisant les équipes sur le rôle qu’elles ont à jouer dans la pérennisation des données et des outils de traitement qui leurs sont associés. La mission première est d'assurer la préservation du patrimoine scientifique des laboratoires, et plus particulièrement des données et documents acquis ou réalisés dans le cadre d'opération de recherche : corpus, bases de données, systèmes d'information, enquêtes, données d'observation produites ou en cours de production.

Cultures et recherche : vers un moment post-numérique ? | archives mondes contemporains En guise d’introduction par Serge Wolikow, coordinateur du consortium Ce texte répond à l’appel que nous avons lancé en décembre 2014 pour que reprenne la réflexion et les échanges entre les chercheurs à partir de leurs expériences respectives. Dans cette contribution est présentée l’ambition d’un projet à la fois documentaire et scientifique autour de la constitution sous forme numérique des collections de disques des immigrés dans l’Est de la France – dans les années 60-90. Quoi qu’il en soit nul doute que cette contribution saura en encourager d’autres … Par Pa nagiota Aganostou (Docteure sciences politiques et Didier Francfort (prof. hist. Il peut sembler audacieux d’envisager un temps post-numérique alors que la numérisation des sources classiques et la collecte des documents nativement numériques ou obtenus par numérisation est loin d’être achevée. Disons-le clairement, nous ne souhaitons pas nous arc-bouter dans une posture passéiste nostalgique de l’âge analogique. « C’était

CFL-French Lignes de temps Le logiciel Lignes de temps met à profit les possibilités d’analyse et de synthèse offertes par le support numérique. Inspirées par les «timelines» ordinairement utilisées sur les bancs de montage numérique, Lignes de temps propose une représentation graphique d’un film, révélant d’emblée, et in extenso, son découpage. Lignes de temps offre en cela un accès inédit au film, en substituant à la logique du défilement contraint qui constitue l’expérience de tout spectateur de cinéma, et pour les besoins de l’analyse, la «cartographie» d’un objet temporel. Aussi, en sélectionnant un segment d’une ligne de temps, l’utilisateur a-t-il accès directement au plan ou à la séquence correspondante dans le film, séquence qui peut être décrite et analysée par des commentaires textuels, audio, vidéo, ou documentée par des images ou des liens Internet. Pour appareiller les pratiques « amateurs » Objectivation, subjectivation, communautisation Regards signés et formes de rendu FAQ (questions fréquentes)

Ceci n’est pas une pipe: l’importnace de la modélisation pour les humanités numériques. Récemment, on a vu émerger de l'ombre de l'inter-disciplinarité une discipline nouvelle qui s'appelle les Humanités Numériques (Humanités Digitales en Suisse, Digital Humanities ailleurs). Elle représente pour tout le domaine des sciences humaines la confrontation, puis l'adaptation aux méthodes et possibilités des technologies nouvelles. Ces technologies comprennent notamment l'informatique, mais aussi la statistique, la linguistique computationnelle, et la visualisation de données. Mais cette émergence ne serait en fait qu'une évolution, voire une continuation, d'un débat assez ancien – déjà perceptible au XIXe siècle -- qui opposerait les sciences dures aux sciences humaines. Dans cette communication, j'avance l'idée que cette opposition semble d'origine plus sociale que méthodologique, et que les méthodes des SHS et celles des sciences dites dures ne sont pas si éloignées.

Humanities Researchers and Digital Technologies: Building Infrastructures for a New Age 2. November 2011 09:33 New report from the European Science Foundation assesses Research Infrastructures in Humanities research Europe's leading scientists have pledged to embrace and expand the role of technology in the Humanities. According to Professor Claudine Moulin, lead scientist and Chair of the ESF Science Policy Briefing editorial group: "Making our cultural heritage accessible in digital form, and interlinking it sensitively with other resources, opens a new frontier for Humanities research for addressing grand challenges in the Humanities themselves, and at the interface with other research domains." The report argues that while there are many sophisticated RIs in other domains of science that can inform and further Humanities research, ultimately, it is also necessary for Humanities scholars to build and have access to 'fit for purpose' Humanities RIs, given the nature of their data sets, research methods and working practices. -end- Notes to editors

Celluloid | Carnet de recherche - champ des Humanités numériques. Blog UniVersDoc: Digital Humanities. Quand les sciences humaines et sociales rencontrent le numérique Du 29 juin au 3 juillet prochains se tiendra, à Sydney, la Conférence annuelle des humanités numériques (Digital Humanities, DH) (1). Le choix de ce lieu qui, pour la première fois, se situera hors de l’Europe et de l’Amérique du Nord, rend compte, de manière emblématique, de l’expansion de ce "champ de recherche" au niveau international, au-delà des barrières disciplinaires, culturelles ou linguistiques. Les humanités numériques ? Une nouvelle manière de pratiquer la recherche Opérant un rapprochement entre les sciences humaines et sociales (SHS) et les technologies de l'information et de l'informatique, les humanités numériques tiennent compte non seulement de l'usage croissant, voire hégémonique, des nouvelles technologies au sein de la recherche, mais prennent également en considération les modifications générées par cette utilisation sur les objets, les méthodes, les pratiques mêmes de la recherche, ainsi que des conditions de sa diffusion. Les humanités numériques ?

- Héloïse - Politiques des éditeurs en matière de dépôt des articles Introduction to Digital Humanities | Concepts, Methods, and Tutorials for Students and Instructors Ce n’est pas le code qui importe, c’est le modèle « Non, le code n’est pas la nouvelle littératie« , nous prévient Chris Granger (@ibdknox) dans un article portant ce titre. Pourtant, ce développeur n’appartient pas à la cohorte de ceux qui ne voient dans la programmation qu’un savoir technique qu’il n’est pas nécessaire d’acquérir. Non, pour lui, nous nous trompons d’apprentissage ; ce qui importe ce n’est pas le code, mais ce que ce dernier sous-tend : autrement dit notre capacité à modéliser les phénomènes. Granger, qui a travaillé sur de nombreux projets (il a été un temps chez Microsoft) a notamment coécrit un éditeur de programme, LightTable, doté de plusieurs fonctionnalités originales. Les quatre phases de la modélisation Granger commence son article par la définition que donne Google du mot « littératie ». Il en va de même dans le domaine de la programmation. La modélisation s’exécute en quatre phases. La seconde phase, la validation revient à vérifier que notre modèle correspond à nos attentes ou au monde réel. Rémi Sussan

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