Pleine conscience/ Wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pleine conscience (parfois également appelée attention juste, samma-sati en pali, samyak-smriti en sanskrit[1], ou présence attentive) est une expression dérivée de l’enseignement de Siddhartha Gautama et désignant la conscience vigilante de ses propres pensées, actions et motivations. Elle joue un rôle primordial dans le bouddhisme où il est affirmé que la pleine conscience est un facteur essentiel pour la libération (Bodhi ou éveil spirituel). En Occident, la pleine conscience est utilisée comme une thérapie ayant pour but la réduction du stress et la prévention de rechutes dépressives. Les principes de la pleine conscience[modifier | modifier le code] Cette pleine conscience n’est pas limitée à la pratique de la méditation, mais elle consiste simplement à observer les objets physiques et mentaux qui se présentent à l'esprit. Le Bouddha conseille d'observer la sensation intérieurement (dans le mental) et extérieurement (dans le corps).
Méditer en pleine conscience Attention : la pratique de la méditation de pleine conscience peut à elle seule changer beaucoup de choses dans votre vie. En tout cas, ça a complètement transformé la mienne ;) Dans cet article, je vais vous expliquer : Qu’est-ce que la méditation de pleine conscience?Quels bienfaits peut-elle vous apporter? En tout cas croyez-moi, la pleine conscience (aussi appelée mindfulness) peut vraiment améliorer votre vie. Vous allez voir : c’est pour tout le monde, c’est simple à comprendre et ça se pratique partout ! (Note : cet article est ma participation au festival à la Croisée des blogs, une initiative du site Développement Personnel.org. Quels sont les bienfaits de la pleine conscience ? Voici quelques exemples de ce que peut vous apporter une pratique régulière de la méditation de pleine conscience : La pleine conscience vous aidera notamment si vous avez l’impression d’avoir trop de pensées et que ça chauffe un peu trop dans votre petite tête :) Je parle d’être vraiment présent.
L'utilisation de la pleine conscience (mindfulness) dans un cadre thérapeutique (Muzellec, 2008 Jon Kabat-Zinn [1] précurseur de l’utilisation de la pleine conscience dans un cadre médical la définit ainsi « Mindfulness signifie pleine conscience, c’est-àdire le fait de porter son attention sur le moment présent, avec intention, et sans jugement de valeur sur ce qui vient » ou bien encore « d’amener toute sa vigilance sur l’expérience de l’instant présent, moment après moment ». Pour parvenir à cet état, il s’agit principalement d’utiliser des techniques ancestrales de méditation, inspirées surtout des pratiques bouddhistes et développées, pour soulager la souffrance humaine. Différentes méthodes de méditation comme entre autres – la concentration sur un seul objet, la visualisation, l’engendrement de la compassion – mènent chacune à différents états méditatifs. En 1985, Benson (cité par Rosenfeld, 2007) observe que l’organisme est soit stressé, soit détendu, mais qu’il ne peut être les deux en même temps. Asseyez vous confortablement Fermez les yeux Un environnement calme
Soigner par la méditation. Thérapies de pleine conscience Il est difficile d’échapper à la méditation de pleine conscience, ou mindfulness, une pratique qui se veut dérivée du bouddhisme et qui se dissémine dans le champ des psychothérapies, plus précisément de la « troisième vague » des thérapies comportementales et cognitives. Mindfulness based stress réduction (MBSR), Mindfulness based cognitive therapy (MBCT), thérapie comportementale dialectique, thérapie par l’acceptation et l’engagement… Focaliser son attention sur l’instant présent en « glissant » sur ses ruminations, ses sensations, ses émotions, sans se juger soi-même, se veut un enrichissement des thérapies cognitives traditionnelles, dont un volet est déjà axé sur l’auto-observation. Difficile, pour le néophyte, de se faire une opinion : simple variante de la relaxation, résurgence branchée du New Age, ou bien outil thérapeutique puissant et réellement novateur ? Pour les patients souffrant de troubles affectifs et anxieux, sept recherches sont citées ici.
VISUALISATION CREATRICE Les psychopathes ne seraient pas neurologiquement aptes à se préoccuper des autres Les psychopathes ne seraient pas neurologiquement aptes à se préoccuper des autres, concluent les auteurs d'une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Psychiatry.. Le manque d'empathie est caractéristique des personnes psychopathes, explique Jean Decety, professeur de psychologie et de psychiatrie à l'Université de Chicago. La psychopathie affecte environ 1 % de la population générale aux États-Unis et 20 à 30 % de la population carcérale. Par rapport aux criminels non psychopathes, les psychopathes sont responsables d'un nombre disproportionné de crimes répétitifs et de violence dans la société, indique-t-il. Decety et ses collègues ont mené cette étude avec 80 prisonniers âgés entre 18 et 50 ans. La réponse élevée dans l'insula est une découverte inattendue car cette région est impliquée de manière très importante dans la réponse somatique à l'émotion. L'étude a été financée par le National Institute of Mental Health américain. Voyez également:
Neuroscience cognitives Il fut un temps – pas si lointain- où il était impossible de concevoir que la psychanalyse et les neurosciences soient complémentaires et puissent être utilisées conjointement[2] : aujourd’hui des recherches pluri- et inter- disciplinaires esquissent ce qui pourrait constituer une nouvelle approche – plus globale, plus complexe – de l’être humain, de ses pathologies mentales, des substrats biologiques et des dysfonctionnements anatomiques Récemment dans un ouvrage collectif intitulé » Vers une neuropsychanalyse » , une vingtaine de pédopsychiatres, psychiatres, psychanalystes, médecins, et quelques neurobiologistes, livrent leurs réflexions sur les possibles interfaces entre les neurosciences et la psychanalyse. Controverses, débats mais aussi rapprochements jalonnent le champ (de bataille…) de la » neuropsychanalyse »[3]…. Face à face … ou côte-à-côte? Le point de rencontre qui semble être le plus fréquent(é) se situe autour de la notion de plasticité cérébrale[6] Convergences en France
Les secrets de notre cerveau Ayant fait l’expérience d’une forme rare d’accident vasculaire cérébral et d’une lourde opération chirurgicale du cerveau, le Dr. Taylor a observé et stimulé la « reconstruction » son propre cerveau de l’intérieur. Aujourd’hui, elle témoigne et fascine : elle s’est désormais « engagée à informer le public sur la beauté et la résilience de l’esprit humain, sur la réadaptation neurologique, et la valeur essentielle du don d’organe (notamment du cerveau) pour la recherche » . La 4ème de couverture de « Voyage au-delà de mon cerveau » annonce la couleur : nous sommes face à une expérience unique ! Le jour où Jill Bolte Taylor, chercheuse en neurosciences à Harvard, est victime à trente-sept ans d’un accident vasculaire cérébral, sa vie bascule : elle assiste à la dégradation de ses facultés au point qu’en l’espace de quelques heures elle ne peut plus marcher, parler, lire, écrire, ni même se rappeler à quoi sa vie ressemblait jusque-là. Éléments biographiques: Vidéo de la conférence : A lire
Le syndrome entéropsychologique (Gut and Psychology Syndrome) Ce syndrome se trouve à la croisée des fonctions digestives et cérébrales. Cette appellation a été créée en 2004 par le Dr Natasha Campbell-McBride, Neurologue et Nutritionniste, après avoir travaillé avec des centaines d'enfants et d'adultes atteints de pathologies neurologiques et psychiatriques telles que troubles du spectre autistique, déficit d'attention avec ou sans hyperactivité, schizophrénie, dyslexie, dyspraxie, dépression, troubles obsessionnels compulsifs, trouble bipolaire et autres problèmes d'ordre neuropsychologique et psychiatrique. La lecture de l'ouvrage Le syndrome entéropsychologique permettra de mieux comprendre ce syndrome, son étiologie ainsi que ses modalités de traitement par un protocole nutritionnel adapté. Une vue d'ensemble du syndrome. D'un point de vue clinique, ces pathologies se superposent bien souvent, et tel enfant atteint d'un trouble envahissant du développement pourra être également hyperactif et dyspraxique. Mais ce n'est pas tout.
Transformez vous-même vos plantes médicinales Les infusions longues, d'une durée de plusieurs heures (jusqu'à environ 8h), sont réservées aux parties plus coriaces des plantes comme les racines, les écorces, les baies ou alors pour certaines parties aériennes qui ne contiennent pas vraiment de substances volatiles mais plutôt une abondance de minéraux qu'on extraira davantage avec ce type d'infusion (ex.: feuilles d'ortie, sommités fleuries d'avoine). Il est aussi possible de préparer des infusions froides. Pour ce faire, les plantes tremperont dans l'eau froide pendant plusieurs heures. Ce type d'infusion convient bien aux plantes contenant des mucilages (ex.: racine de guimauve, graines de fenugrec) ou aux plantes riches en huiles essentielles/principes volatiles qui sont plus facilement perdus avec la chaleur de l'eau (ex.: racine d'aunée). *Il est rare que l'on conserve les infusions plus de 24h. - Pour un bain de détente: Infusion de lavande et/ou camomille - En cas de problème de peau: Infusion de calendule CHEVALLIER, Andrew.
Traitements naturels pour soigner l'arthrite L’arthrite est une maladie qui touche beaucoup de personnes de nos jours : elle se traduit par une grande incapacité à bouger en plus de la douleur intense qu’elle provoque sur les articulations. Il faut savoir que cette maladie empêche le fonctionnement normal des articulations en affectant au passage la sensibilité et le mouvement. C’est pour cela qu’il est recommandé d’obtenir un diagnostic clair sur l’état de cette maladie. La première chose qu’on devrait faire est de suivre le traitement adéquat tout en ayant recours aux moyens naturels qui existent afin d’améliorer notre état et soigner l’arthrite. Des exercices pour soigner l’arthrite Parmi les exercices conseillés, on peut retrouver le yoga ou le tai chi. Quels aliments consommer lorsqu’on souffre d’arthrite ? Les personnes qui souffrent d’arthrite doivent suivre une alimentation qui leur permettra de mieux se sentir et ainsi réduire leurs souffrances quotidiennes. L’huile de poisson Les acides gras oméga-3 L’acide gamma-linolénique
FFRT - Fédération Française de Reiki Traditionnel - Label Reikibunseki - Reiki France - Fédération Française de Reiki Traditionnel - 1ère Fédération créée en France Sérotonine et autres molécules impliquées dans la dépression Le lithium le régulateur de l’humeur le plus couramment utilisé dans le traitement des troubles bipolaires. Il est efficace chez près des trois quart des patients maniaco-dépressifs. Le lithium est un simple élément qui fait partie du groupe des métaux alcalins comprenant aussi le sodium et le potassium avec qui il partage plusieurs propriétés. Le mécanisme par lequel le lithium parvient à amoindrir autant les phases maniaques que les phases dépressives des troubles bipolaires est encore mal connu. Il pourrait également agir sur un système de second messager dans le neurone post-synaptique. Le lithium inhiberait l’enzyme chargée de transformer l’inositol phosphate en inositol libre, d'où une accumulation d’inositol phosphate qui pourrait avoir de nombreux effets dans le neurone post-synaptique.