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Arbre des savoirs

Arbre des savoirs
Par viviland dans Outils le 1 Juillet 2012 à 08:23 Pour aider les élèves à se rendre compte de leurs progrès, j'ai affiché dans ma classe un arbre des savoirs. Il s'agit en fait d'un grand panneau sur lequel j'ai dessiné un arbre. Chaque branche correspond à un domaine de mon classeur de réussites. L'année prochaine, je vais essayer de m'appuyer encore plus dessus en présentant chaque étiquette que l'on va travailler en lien avec l'emploi du temps.

Arbre de la connaissance - Sortez vos ardoises ! Sur le modèle de l'arbre des sons en CP, j'ai voulu construire avec mes CE1 une illustration de l'acquisition progressive des connaissances. Nous avons donc construit dans le couloir un arbre avec ses branches. Puis, nous nous sommes posés la question de ce que nous avions appris dans cette année. La taille assez imposante de l'arbre, et son appellation "Arbre de la connaissance" impose le respect ! Avec le recul, je me dis que je pourrai construire les étiquettes notions dès le début d'année, placées dans un coin de la classe. Pierre Lévy (philosophe) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Lévy Pierre Lévy au Brésil en 2009. Pierre Lévy, né en 1956 en Tunisie, est un philosophe français qui étudie l'impact d'Internet sur la société, avec un style volontiers lyrique et prophétique. Son travail est souvent cité dans le champ de l'information ethics (en), ou éthique appliquée aux NTIC. Docteur en sociologie, Pierre Lévy occupe la chaire de recherche sur l'intelligence collective à l'université d'Ottawa.Il détient également une habilitation à diriger des recherches (HDR) en sciences de l'information et de la communication (Université Stendhal, France). Pierre Lévy a fondé en 1992 avec Michel Authier la société Trivium, devenue récemment Triviumsoft, qui développe et commercialise le logiciel et la méthode des arbres de connaissances. Dans son livre Sphere 1, Pierre Levy exprime clairement l'idée que l'homme est en mesure de prendre en charge son évolution, notamment celle de son intelligence. La machine univers. Également :

Ecole et numérique : Evaluer autrement grâce aux tablettes L’introduction des tablettes dans les classes a déjà permis d’ouvrir le champs des possibles et surtout de pousser les limites usuelles des apprentissages en apportant sens, complexité et inédits[1] dans le quotidien des classes. L’évaluation au combien décriée, stigmatisée et remise en question dans les systèmes éducatif français et internationaux, pourrait peut-être tirer partie de ce complexe inédit apporté par les tablettes. Comment ? Grâce aux applications permettant la réalisation de mind mapping (cartes heuristiques), les enseignants ont trouvé une porte innovante pour évaluer les élèves. Ils ont enfin tout le loisir de sortir du questionnaire fermé et passer à un degré d’analyse et de synthétisation bien plus élevé. Vers une évaluation plus exigeante A l’issu d’une notion vue, l’évaluation sous forme de carte heuristique portera sur la capacité des élèves à organiser et structurer l’ensemble des notions abordées. Vers une évaluation plus équitable [1] Carette Vincent, 2009.

Cahier de réussite Je vous propose le cahier de réussite que nous allons mettre en place l'année prochaine dans les deux classes de maternelle. Télécharger cahier de réussite maternelle découvrir le monde Télécharger cahier de réussite maternelle langage Télécharger cahier de réussite maternelle devenir élève Il sera sous la forme d'un livret relié que chaque élève recevra au début de la petite section. Chaque image du cahier de réussite est affichée sur un arbre des savoirs lorsque la majorité des élèves ont acquis le savoir correspondant, toujours dans le but d'aider les élèves à visualiser leurs progrès mais aussi de les motiver. Je me suis beaucoup inspirée du cahier de réussite de Charivari dont voici le lien qui vous renverra directement à l'article de son blog. Pour les images, j'ai glâné sur internet différentes illustrations dont les principales viennent :

Les arbres de connaissances Publié par PedagoGeeks le 30 juin 2011 | Dans les catégories suivantes Compétences, Innovation, Innovation, Projet Professionnel Tout le monde sait quelque chose, personne sait tout ! C’est un postulat simple mais qui plaide pour les méthodes actives et collaboratives en apprentissage : la connaissance collective est supérieure à la somme de ses partie. Ce principe s’applique aussi à la compétence, et à la compétence collective en particulier. Une difficulté vient alors d’identifier, de visualiser et de valoriser les connaissances collectives d’un groupe de personnes, d’apprenants. En 1991, Edith Cresson alors premier ministre a chargé Michel Serrès de mener des travaux sur l’université en France et les compétences. Plus la couleur va vers le rouge et le marron plus la connaissance est partagée : ces zones constituent le socle commun de connaissances du groupe, donc le tronc. Webographie sélective pour aller plus loin et s’approprier les arbres de connaissances : Documents à télécharger

L'arbre de connaissances Par cenicienta dans CM - Plan de travail le 29 Juillet 2011 à 09:04 En naviguant sur les sites, j'avais mis de côté une idée de Dokelem sur les arbres de connaissances. Je ne vais pas en faire la même utilisation mais le principe reste à peu près égal. De quoi s'agit-il? Un arbre de connaissance est une représentation imagée et structurée de la somme des richesses que chaque membre (élève) apporte à une communauté (classe) selon des connaissances / compétences. (Wikipédia) La philosophie des arbres de connaissances est fondée sur: la reconnaissance de la valeur de chaque personne et des connaissances qu'elle détient; la mise en commun des richesses de chacun; l'encouragement à la mutualisation et au partage. Source de l'image: Mise en pratique En fait, il s'agit d'un arbre (à agrandir en format affiche avec l'imprimante) sur lequel j'ai mis les noms des domaines en français ou en mathématiques. Qu'en pensez-vous?

L'arbre des compétences Qu’est-ce que l’arbre des compétences ? Les arbres de compétences (également nommés "arbres de connaissances") ont été imaginés dans les années 1990. Cette méthodologie pédagogique a été rapidement utilisée dans les écoles Freinet essentiellement. Depuis quelques années, les entreprises utilisent ces arbres de compétences pour dynamiser et réorganiser leurs services (elles utilisent d’ailleurs un logiciel privé fort coûteux pour le faire, mais vous allez constater par vous même qu’il n’y a pas du tout besoin de ce logiciel pour faire le même travail et qu’il serait même plutôt contre-productif d’utiliser ce logiciel). Je dois bien vous avouer n’avoir pas lu intégralement le livre fondateur de ces "arbres de connaissances", mais je n’en ai pas -à priori- besoin car j’ai trouvé ici ce que je souhaite faire avec mes élèves afin de corriger les problèmes rencontrés. Un outil de mutualisation des compétences et de dynamisation du groupe classe Mise en application pédagogique Les documents

La Flip Class : un concept facile à comprendre mais difficile à mettre en place Rédacteur : Matthieu Clément Le but du présent article est d’apporter quelques éclaircissements et analyses de pratiques à l’aune d’une tentative d’expérience de Flip Class en classe de seconde en histoire-géographie. Flip Class = classe inversée : une traduction bien maladroite… La Flip Class ? Ainsi un des objectifs principal de la Flip Class est en apparence simple et révolutionnaire : renverser le paradigme de l’enseignement actuel. En effet, depuis la fin du XIXe, le professeur est maître du savoir et distribue la parole aux élèves qui, en retour, écoutent, prennent la trace écrite sur le cahier, exécutent leurs devoirs à la maison et réalisent des évaluations formatives et sommatives en guise de sanction de la maîtrise (ou non) des savoirs. Une critique, originale et rafraîchissante dans sa forme, de notre vieux modèle d’enseignement a été développée avec un certain succès sur le net par Ken Robinson. En France, une adresse en « point com » a déjà été déposée. Tout le monde est prêt.

Arbre de connaissances Exemple d'intégration des arbres de connaissances dans un outil décisionnel spécifique aux ressources humaines. Un arbre de connaissances est une représentation des connaissances ; c'est par exemple une représentation imagée et structurée de la somme des richesses que chaque membre apporte à une communauté, selon diverses réalités (connaissances, compétences, opinions, événements, projets, besoins etc.) vécues par un groupe de personnes. Histoire[modifier | modifier le code] Édith Cresson, Premier ministre français à partir de mai 1991, s'intéresse aux causes d'exclusion liées au savoir, et interroge Michel Serres[1]. Trois postulats fondamentaux énoncés par Michel Serres sous-tendent le dispositif. Postulat 1 : « chacun sait » : du fait qu'il a vécu, tout être humain sait quelque chose ; le savoir est une dimension de l'être, indissociable de l'expérience sensible et, de ce fait, singulière à chaque individu. Description[modifier | modifier le code] Blason[modifier | modifier le code]

Principes Théoriques des Arbres de Connaissances® - Informations sur les arbres de connaissances Le concept des " Arbres de Connaissances " a été élaboré en novembre et décembre 1991. Les principes sous-jacents à cette élaboration sont à la fois mathématiques, philosophiques et sociologiques. Il n’y a aucune raison de penser que l’une de ces trois dimensions a été plus importante que les deux autres. Chaque évolution dans l’une a permis ou suscité des avancées dans les autres. Nous ne nous intéresserons dans ce texte qu’aux principes mathématiques qui permettent, à partir d’un ensemble pléthorique d’informations, d’en établir une synthèse et de la représenter sous la forme de cartes. Le problème Les solutions mathématiques sous-jacentes aux algorithmes proposés par TriVium dans Gingo sont liées au problème très général suivant. Soit un ensemble de brevets (des variables) et un ensemble d’individus (sous-ensembles ordonnés de brevets). L’approche développée par TriVium est une réponse à ce problème. Statistique Théorie des jeux Une approche originale : ni statistique, ni probabiliste

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