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Le contenu divertissant augmente la valeur perçue d'une marque

Le contenu divertissant augmente la valeur perçue d'une marque
Les consommateurs sont demandeurs de contenu ludique fourni par une marque et reconnaissent sa valeur. Ils seraient même plus disposés à vouloir en savoir plus sur elle. Et ce, notamment chez les jeunes adultes. Un tiers des Américains reconnaissent la valeur, dans la consommation, du contenu de divertissement fourni par une marque et "brandé" (34%). Des demandes claires De la même façon, 31% des consommateurs souhaitent du contenu vidéo en ligne gratuit contre 39% des jeunes adultes et 20% du contenu auquel il n'aurait eu accès sans la marque contre 31% chez les 18-34 ans. Une histoire de confiance Et pour cause, 53% de ceux qui n'ont pas d'attente particulière vis-à-vis de ce type de contenu ne sont certes pas favorables, mais ne sont pas contre non plus. Related:  STMG

Valeur perçue, valeur d'usage, valeur de signe Expérience de consommation (notion) 4 étapes pour remettre vos clients au centre de votre stratégie commerciale Si, aujourd'hui, toutes les entreprises jurent que les clients sont revenus au centre de leur stratégie et de leur organisation, c'est pourtant loin d'être une réalité universelle. EBG avec Velvet Consulting a réalisé un livre blanc sur le sujet, afin d'adopter le changement en quatre étapes. 1. Définir qui sont ses clients C'est évidemment la première étape à suivre afin de révolutionner l'expérience client. Avoir une vision unifiée au sein de l'entreprise est donc indispensable, mais souvent compliqué, car chaque département possède des informations parcellaires sur les clients. Air France a ainsi créé une direction Customer Insights and Analytics, qui recueille l'avis des clients sur le site, sur l'application et même en aéroport grâce aux tablettes dont est équipée une partie du personnel. Les conclusions du livre blanc réalisé par EBG avec Velvet Consulting, Repenser sa stratégie customer centric 2018-19, mettent également en avant la nécessité d'étendre sa conscience du client. 2.

Comment la gestion d'une organisation contribue-t-elle à la création de différentes formes de valeur ? - Réviser le cours - Sciences de gestion Les processus de gestion concourent à la création de différentes formes de valeur : valeur fondée sur le revenu (approche en termes de flux), valeur fondée sur un patrimoine (approche en termes de stocks), valeur perçue, valeur sociale. 1. La valeur sociale La valeur sociale cherche à améliorer les salaires, les conditions de travail et la satisfaction au travail. Elle peut générer également des avantages destinés non plus aux seuls salariés mais à la société dans son ensemble ; on parlera alors de rôle sociétal (par exemple, la prise en compte de l'environnement). La valeur sociale n'est pas valorisée positivement dans les comptes de l'entreprise. 2. La notion de valeur ajoutée La valeur ajoutée mesure la richesse créée par l'organisation. Valeur ajoutée = chiffre d'affaires − consommations intermédiaires Le chiffre d'affaires est le total des ventes de biens et de services d'une entreprise. La répartition de la valeur ajoutée Toutes ces attentes sont contradictoires. 3. Le bilan 4.

Valeur perçue (notion) sans titre Dans le cadre des techniques secrètes pour faire craquer le consommateur, une affirmation remet en cause une grande partie de l’enseignement en économie et en marketing tel qu’il est encore largement pratiqué (et appliqué) de nos jours. Rédigé par Jean-Marie, le 18 Jan 2020, à 9 h 45 min On a longtemps fait le pari, dans les départements marketing et les écoles, que le consommateur exerce ses choix en analysant rationnellement, le mix produit, c’est-à-dire l’offre qu’on lui propose : il n’en est rien ! Non le consommateur n’agit pas rationnellement ! Au fil du temps, les traditionnelles recherches de marché, questionnaires, sondages, groupes de discussion ont montré leur limite. Régulièrement des panels de consommateurs répondent à des enquêtes pour les marques © Ken stocker En 2010, Nestlé lançait à grand renfort de publicité une nouvelle ligne de boisson orientée santé et bien-être que des personnes testées avaient dit vouloir acheter. Le comportement du consommateur « Homo oeconomicus »

5 trucs pour augmenter la valeur perçue de vos produits - MasterBlog Dans cet article, vous allez découvrir 5 techniques peu connues pour augmenter considérablement la valeur perçue de vos produits, vendre plus, plus cher, tout en rendant vos clients plus heureux. Et le mieux, c’est que vous allez pouvoir appliquer tout ça dès maintenant ! Qu’est-ce que la valeur perçue ? Il faut différencier la valeur réelle d’un produit et sa valeur perçue. Sa valeur réelle se calcule simplement : ce sont les charges pour la production du produit + les salaires + la marge pour le développement de la société. Dans le cas d’un produit d’information, la valeur réelle est quasi nulle. En appliquant quelques techniques de bon sens, sans vous demander beaucoup de travail en plus, vous allez pouvoir augmenter cette fameuse valeur perçue. #1 Créer un produit qui répond à l’un des besoins fondamentaux de l’homme Si votre produit répond à l’an des besoins fondamentaux de l’être humain, il aura plus de valeur aux yeux de vos clients. #2 Vendre des « bundles » Exemple de multipack

Processus de decision d’achat (notion) RPF Media Webtv ! Qu’est ce que la valeur perçue d’un produit ? Qu’est ce que la valeur perçue d’un produit ? Publie le 03 juin 2013 par admin Il ne vous a pas échappé que tout produit ou tout service a une valeur intrinsèque liée à son coût de fabrication et la marge souhaitée par l’entreprise. Mais est ce que ce sont ces seuls paramètres qui déterminent la valeur d’un produit ou d’un service ? Existe-il une valeur psychologique au produit ou au service ? Vous achetez des lunettes de soleil qui valent dans le commerce 100€. Lorsque vous voulez vendre un produit ou un service, veillez à ce que le produit ou le service ait une valeur bien supérieure à son propre coût réel. Vous proposez un DVD de formation de 2h de contenu. La valeur perçue est alors moindre et tout à fait acceptable. Le meilleur moyen d’illustrer cette notion de valeur perçue est la démonstration de Rory Sutherland, publicitaire de son état, il vous propose d’autres exemples très éloquents de valeur perçue.

La perception (notion) Le consommateur moyen a définitivement disparu "2013, un consommateur caméléon" . A l'occasion de son dernier Media Morning, Kantar Worldpanel a fait le point, la consommation en France. Le contexte de l'année n'a pas été favorable à la consommation : des à-coups dans l'évolution du PIB en volume (-0,2% pour le 1er trimestre, +0,5% pour le 2ème, -0,1% au 3ème) ; une météo chaotique (hiver maussade, printemps le plus froid depuis 1987, bel été) ; hausse du chômage... Seul point positif : le redressement du pouvoir d'achat par unité de consommation à +0,8% au 1er trimestre, +0,3% au 2ème, après une baisse de 1,5% sur 2012. "L'envie de dépenser n'est toujours pas au rendez-vous et la perception de leur pouvoir d'achat par les ménages est globalement plus négative au second trimestre", constate Gaëlle Le Floch, strategic insight director, en poursuivant : les arbitrages se poursuivent dans de nombreux secteurs hors-alimentaires. Au cumul annuel 3 ème trimestre : les catégories qui s'en sortent le mieux sont : Quels enjeux pour demain ?

La satisfaction (notion) lsa-conso Le vigi-shopper ou « watcher » C'est le profil qui concerne le plus grand nombre de Français. 35% de consommateurs s'identifient à lui, selon l'étude. Ses caractéristiques ? C’est un consommateur attentif et scrupuleux. Ses critères de choix pour faire ses achats ? La sincérité d'une marque, avant tout, et la relation de confiance qu’il noue avec l’enseigne, d’autant que la qualité sanitaire ou la traçabilité des produits sont au cœur de ses préoccupations. Un profil qui influence son comportement d’achat : il vérifie au moyens d’application smartphone, par exemple, les infos à connaître avant d’acheter ; ils consulte les conseils de sa communauté au préalable, là encore grâce aux outils modernes et aux réseaux sociaux. Le slow-shopper ou « careshopper » Il est amoureux des petits producteurs, du bio, des circuits courts… Ce consommateur averti respecte les principes environnementaux et sociaux, sans sombrer toutefois dans le militantisme, même s’il descend du « bobo ». Le plus connecté !

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