Noos
This article is about a philosophical term. For the philosophy journal, see Noûs. In philosophy, common English translations include "understanding" and "mind"; or sometimes "thought" or "reason" (in the sense of that which reasons, not the activity of reasoning).[2][3] It is also often described as something equivalent to perception except that it works within the mind ("the mind's eye").[4] It has been suggested that the basic meaning is something like "awareness".[5] In colloquial British English, nous also denotes "good sense", which is close to one everyday meaning it had in Ancient Greece. This diagram shows the medieval understanding of spheres of the cosmos, derived from Aristotle, and as per the standard explanation by Ptolemy. In Aristotle's influential works, the term was carefully distinguished from sense perception, imagination and reason, although these terms are closely inter-related. Pre-Socratic usage[edit] The first use of the word nous in the Iliad. Xenophon[edit]
Cosmogénèse et noosphère cybernétique « Mon Chemin
Le jésuite et paléontologue Pierre Teilhard de Chardin (1881-1955) a développé les concepts de noosphère et de point oméga. La noosphère, introduite en 1922, est la sphère de la pensée humaine. Celle-ci débute par l’homo sapiens sapiens, celui qui sait qu’il sait, puis se poursuit par l’invention de l’écriture, d’outils et de culture. Son stade actuel de développement est marqué par l’explosion d’internet au niveau mondial qui permet la mise en synergie des informations, des connaissances et des intelligences. Je vais tenter de faire converger ces deux concepts avec celui de la trifonctionalité (matière, raison, empathie) que j’ai déjà évoquée dans de précédents textes. Pour Teilhard l’évolution possède une orientation. On peut se demander pourquoi nos représentations mentales ou nos descriptions mathématiques des phénomènes naturels collent à la réalité jusqu’à un certain point. En effet, la matière est objectivable par l’expérience quotidienne. Like this: J'aime chargement…
Law of Complexity/Consciousness
The Law of Complexity/Consciousness is the postulated tendency of matter to become more complex over time and at the same time to become more conscious. The law was first formulated by Jesuit priest and paleontologist Pierre Teilhard de Chardin. Teilhard holds that at all times and everywhere, matter is endeavoring to complexify upon itself, as observed in the evolutionary history of the Earth. Matter complexified from inanimate matter, to plant life, to animal life, to human life. For Teilhard, the Law of Complexity/Consciousness continues to run today in the form of the socialization of mankind. Teilhard imagines a critical threshold, the Omega Point, in which mankind will have reached its highest point of complexification (socialization) and thus its highest point of consciousness. Quotes[edit] "The more complex a being is, so our Scale of Complexity tells us, the more it is centered upon itself and therefore the more aware does it become. See also[edit]
Eric S. Raymond: Homesteading the Noosphere | collective intelligence | Scoop.it
Eric Raymond: Homesteading the Noosphere. This book is licensed under the Creative Commons. 1. An Introductory Contradiction Anyone who watches the busy, tremendously productive world of Internet open-source software for a while is bound to notice an interesting contradiction between what open-source hackers say they believe and the way they actually behave -- between the official ideology of the open-source culture and its actual practice. Cultures are adaptive machines.
Les chemins de l'intelligence
L'intelligence ne dépend pas de la génétique mais de l'aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit. L'important est la façon dont nous traitons et organisons les informations, dont nous interprétons nos expériences, et plus globalement, la façon dont nous nous représentons la réalité. Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"... Penser par soi-même Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques. Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Ecouter son intuition L'hémisphère droit du cerveau possède des capacités intuitives qui sont complémentaires de l'intelligence rationnelle du cerveau gauche. L'intuition est capable de prendre en compte une multitude d'éléments dont nous n'avons pas conscience. Penser en 4D
BN-Dany:Allons-nous vers une intelligence collective ? - WikiFiction
De WikiFiction. Page de Dany. Le contenu n'engage que son auteur. Internet et noosphère L'internet préfigurerait-il la noosphère annoncée par Teilhard de Chardin ? Pierre Teilhard de Chardin (1881-1955) Après avoir étudié les grandes étapes de l'évolution (Prévie, Vie, Pensée), Teilhard de Chardin prédit une organisation systémique de la Pensée en noosphère, comparable à celle de la Vie en biosphère, appelée à aboutir à la convergence de toutes les pensées individuelles en un « hyper-psychisme » (déjà l'hyper sous la plume de Teilhard) : « système autonome de circulation, d'innervation, et finalement de cérébration ». L'évolution technologique de l'internet Si nous observons les technologies internet, elles offrent indéniablement un système nerveux à l'organisme pressenti en construction, et, plus important encore, elles se développent dans cette direction (« web 2 », « web sémantique », langage « RDF », l'aspect technique de la question n'entre pas dans le cadre du présent article). Source
Noosphère
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec NooSFere. La noosphère, selon la pensée de Vladimir Vernadsky[1] et Pierre Teilhard de Chardin, désigne la « sphère de la pensée humaine[2] ». Le mot est dérivé des mots grecs νοῦς (noüs, « l'esprit ») et σφαῖρα (sphaira, « sphère»), par analogie lexicale avec « atmosphère » et « biosphère[3] ». Ce néologisme a été introduit en 1922[4] par Teilhard de Chardin dans sa « cosmogénèse»[5]. Une autre possibilité est la première utilisation du terme par Édouard Le Roy qui était, avec Teilhard, auditeur des conférences de Vladimir Vernadsky à la Sorbonne. Dans la théorie originelle de Vernadsky, la noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie biologique). Le concept[modifier | modifier le code] Notions préliminaires[modifier | modifier le code] Développement[modifier | modifier le code] ↑ Georgy S. Portail de la philosophie
Biosphère & Noosphère - Wiki livre Netizenship
idées, noosphère, biosphère, Internet, cyberespace, Rupert Sheldrake, Lynn Margulis, Vladimir Vernadski, Teilhard de Chardin, Gregory Bateson, eCulture, champs morpho-génétiques Qui n'a jamais pensé être le premier à imaginer quelque chose ? Depuis que l'Internet existe, il est possible d'aller vérifier à quel point cette idée, bonne ou moins bonne, a déjà été développée ailleurs. Une idée, c'est plus qu'une information, un savoir ou une connaissance : c'est un processus complexe. L'Internet permet de vérifier si cette complexité a été enrichie par d'autres. Découvreurs plutôt qu'inventeurs Qu'est-ce qui a une origine, un développement, un chemin de vie, qu'est-ce qui se reproduit et meurt ? James Lovelock[2] parle de l'hypothèse Gaïa pour proposer que la planète terre est un organisme vivant à part entière. Le nouveau paradigme consiste dès lors à considérer que nous sommes des découvreurs et non plus des inventeurs d'idées. Noosphère et infosphère Compléments Yin et yang Les « 2 cerveaux »