Delivering Happiness - A Path To Profits, Passion, and Purpose | by Tony Hsieh Les 16 types du MBTI Page précédente Page suivante Isabel Myers a classé les 16 types ainsi : Statistiques La distribution des préférences dans la population n'étant pas homogène, celle des types ne l'est donc pas : Estimated Frequencies of the Types in the United States Population est disponible chez CAPT ☻= 1 % Les 16 types Voici enfin, une rapide synthèse des 16 types... Vous pouvez aller sur la page du site consacrée à votre type en le choisisant dans le menu en haut à gauche... Les professions En conclusion. MBTI ® et MYERS-BRIGGS TYPE INDICATOR ® sont des marques déposées et MYERS-BRIGGS™ est une marque de Consulting Psychologists Press, Inc., l'éditeur du matériel MBTI.
KPI : définition, exemples et traduction [KPI] Découvrez comment définir des indicateurs de performance pertinents selon les actions marketing (achat média, CRM ou communication) que vous entreprenez. Le terme de KPI est un acronyme issu de l'anglais, signifiant key performance indicator. En français, on parle d'indicateur clé de performance (ICP). Qu'est-ce qu'un KPI ? Le KPI est un élément chiffré qui doit être déterminé avant le lancement d'une action, afin d'en évaluer les retombées et de déterminer le ROI (return on investment ou retour sur investissement). Comment déterminer ses KPI ? La première étape est d'identifier les questions auxquelles vous voulez répondre. Exemples de KPI marketing Voici une liste des KPI fréquemment utilisés : - en CRM, on parle de nombre de clients actifs, taux de churn ou taux d'attrition, taux de désabonnement Quelle est la traduction de KPI en français ? Un KPI, pour key performance indicator, est un terme anglais dont la traduction française est indicateur clé de performance. OKR versus KPI
Engager pour former et apprendre | Blog de la Formation Professionnelle Engager, Expliquer, Expérimenter, Explorer, Embarquer. « 5E » pour synthétiser, à la lumière des neurosciences et des sciences de l’éducation, les principes qui sous-tendent nos pratiques de formateurs et les expériences que nous créons pour nos apprenants. « Il faut motiver les apprenants ! » entend-on souvent. Oui, mais comment le faire d’une manière productive pour leurs apprentissages ? Et d’ailleurs, peut-on « motiver » quelqu’un ? Engager, c’est donc intégrer un ensemble de pratiques cohérentes. Quels sont ces leviers, et que peut-on faire pour susciter leur activation ? Levier 1 – L’auto-détermination La motivation est composée de « forces internes et/ ou externes produisant le déclenchement, la direction, l’intensité et la persistance du comportement » (R. La motivation est un puissant levier d’apprentissage. On sait qu’il existe deux sortes de motivation, et que l’une est plus efficace que l’autre pour apprendre Il y a donc le but à atteindre, au moyen de la formation, d’une part.
L’entreprise du bonheur, les recettes de Tony Hsieh | Souriez vous Managez Ça vous dirait un patron cool comme ça qui préfère le bonheur de ses employés et de ses clients au profit à court terme ? Quelques secrets de néo management d’un entrepreneur qui sait faire rimer profit et passion, bonheur et dollar. Mais comment fait-il ? Be happy Tony Hsieh considère le bonheur comme un des moyens privilégiés pour accroître la productivité. Le B-A BA En plus du B du bonheur, appliquer ces 4 B fondamentaux : Bonne foi, Bon Sens, Bonnes Volonté, Bonne Humeur. Bien recruter Zappos vérifie la motivation des nouveaux recrutés en leur offrant 4000 dollars s’ils décident de quitter la société à l’issue du processus d’intégration. Bien former Pour les nouveaux entrants, rien moins que deux semaines de formation pratique à la relation téléphonique, deux semaines en salle de classe, une semaine de formation aux envois et 200 heures sur des sujets spécifiques tels que l’usage de Twitter. Bien motiver La cerise sur le gâteau Voir aussi notre article « L’entreprise du bonheur ?
ESTJ Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne un type psychologique de la classification Myers-Briggs. Pour le type socionique ESTj, voir Socionique. ESTJ (acronyme en anglais « extraversion, sensation, thinking, judgment » signifiant Extraversion, Sensation, Pensée, Jugement) est une abréviation utilisée dans le cadre du Myers-Briggs Type Indicator (MBTI) au sujet de l'un des 16 types psychologiques du test[1]. Il est l'un des quatre types appartenant au tempérament Gardien. Les ESTJ forment un type de personnalité relativement fréquent, constituant environ 8,7 % de la population[2]. Les préférences du ESTJ[modifier | modifier le code] E - Extraversion préférée à l'introversion : les ESTJ aiment interagir avec les autres. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Les ESTJ sont des personnes pratiques, réalistes, orientées vers les soucis factuels. Les ESTJ sont organisés et aiment planifier leurs activités avant de les faire. Dominante : Pensée extravertie (Te)
| The World’s #1 Visual Communication Platform Les 19 valeurs (priorités) qui guident les choix et comportements, selon un modèle de psychologie Le psychologue social Shalom H. Schwartz et ses collègues (1) ont identifié 19 valeurs individuelles fondamentales qui, selon leur théorie, incluraient l'ensemble des valeurs et seraient universelles (se retrouveraient dans toutes les sociétés). Il s'agit d'une mise à jour de la « théorie des valeurs universelles » proposée initialement en 1992, laquelle identifiait 10 valeurs fondamentales. La nouvelle liste de 19 valeurs est beaucoup plus précise et prédit mieux les attitudes et les comportements, soulignent les auteurs. Selon la définition de Schwartz et ses collègues, les valeurs : sont des croyances qui tiennent à cœur, réfèrent à des buts désirables motivant l'action, sont transsituationnelles, servent de normes pour évaluer les actions, les politiques, les gens et les événements, forment un système hiérarchique relativement durable, ordonné par importance. S'ajoutent deux autres caractéristiques : Voici la liste de ces 19 valeurs : (1) Schwartz, S. Psychomédia Tous droits réservés
André Gorz Sa pensée oscille entre philosophie, théorie politique et critique sociale. Disciple de l'existentialisme de Jean-Paul Sartre, puis admirateur d'Ivan Illich, il devient dans les années soixante-dix l'un des principaux théoriciens de l'écologie politique et de la décroissance. Il est cofondateur en 1964 du Nouvel Observateur, sous le pseudonyme de Michel Bosquet, avec Jean Daniel. Vie et philosophie[modifier | modifier le code] Marxisme et existentialisme[modifier | modifier le code] Autonomie et révolution[modifier | modifier le code] Dépassant ses attributions économiques de départ, il finit par assurer de fait la direction politique de la revue. Ses évolutions vont de pair avec son investissement au sein d’un courant dit écosocialiste dont il s’affirme au fil de ses essais comme une figure majeure[10]. Écologie politique humaniste[modifier | modifier le code] Anticapitalisme et critique de la valeur[modifier | modifier le code] Mort[modifier | modifier le code] Disponible Indisponible Thèmes
ISTJ Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne un type psychologique de la classification Myers-Briggs. Pour le type socionique ISTj, voir Socionique. ISTJ (Introversion, Sensation, Pensée, Jugement) est une abréviation utilisée dans le cadre du Myers-Briggs Type Indicator (MBTI) au sujet de l'un des 16 types psychologiques du test[2]. Les ISTJ constituent un type de personnalité plutôt courant : aux États-Unis, ils constituent entre 10 et 14 % de la population[3], et ils sont l'un des quatre types appartenant à la catégorie Gardien. Le test de Myers-Briggs a été développé à partir des travaux du psychiatre Carl G. Les préférences du MBTI[modifier | modifier le code] I – Introversion, préférée à l'extraversion : les ISTJ sont généralement discrets et réservés. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Certains praticiens ont spéculé sur le fait que George Washington ait été ISTJ[8]. Les ISTJ apprécient grandement l'ordre et l'organisation en général.
Taxonomie de Bloom La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Elle peut être résumée en six niveaux hiérarchiques[5]. À chaque niveau correspondent des opérations typiques. En général, plus une personne est capable d'en effectuer, plus elle « navigue » parmi les niveaux. Depuis sa formulation en 1956, les critiques de la taxonomie de Bloom ont généralement porté, non pas sur l'existence des six catégories, mais sur la réalité d'un lien hiérarchique séquentiel entre elles[7]. Certains considèrent les trois niveaux les plus bas (connaissance, compréhension, application) comme étant hiérarchiquement ordonnés, mais les trois niveaux supérieurs (analyse, évaluation et synthèse) comme égaux. Chaque niveau englobe les précédents.
Quel est votre style d'apprentissage ? FAITES LE TEST Mise en garde : Les styles d'apprentissage : un « neuromythe » qui perdure. Ce test, l'Indice des styles d'apprentissage (1) a été publié par Richard Felder (pédagogue) et Barbara Soloman (psychologue) en 1991. Plusieurs modèles psychologiques de styles d'apprentissage, c'est-à-dire de préférences dans les façons d'acquérir et de traiter de nouvelles informations, ont été développés. Ce test est basé sur celui de Felder et Linda Silverman. Selon ce modèle, les apprenants peuvent avoir 4 types de préférences dans leur façon d'aborder de nouvelles informations. Le style d'apprentissage d'une personne, soulignent Felder et ses collaborateurs, est une indication de ses points forts et des domaines qui pourraient nécessiter une concentration supplémentaire, mais n'est pas nécessairement une indication de limites. Le style d'apprentissage, précisent les chercheurs, peut changer au cours de la vie et selon les contextes et les domaines. FAITES LE TEST (Gratuit, sans inscription)
ESFJ Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne un type psychologique de la classification Myers-Briggs. Pour le type socionique ESFj, voir Socionique. ESFJ (acronyme en anglais « extraversion, sensation, feeling, judgment » signifiant Extraversion, Sensation, Sentiment, Jugement) est une abréviation utilisée dans le cadre du Myers-Briggs Type Indicator (MBTI) au sujet de l'un des 16 types psychologiques du test[1]. Les ESFJ forment le deuxième type de personnalité le plus fréquent, constituant environ 12,3 % de la population[2]. Les préférences du ESFJ[modifier | modifier le code] E - Extraversion préférée à l'introversion : les ESFJ aiment interagir avec les autres. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Certains praticiens estiment que le Pape François serait ESFJ. Les ESFJ se concentrent sur le monde extérieur et vivent leurs expériences de manière subjective. Les ESFJ portent un intérêt véritable au bien-être des autres. Dominante : Sentiment extraverti (Fe)