Flattr Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Flattr est un système de donation par micropaiements lancé en mars 2010 par Peter Sunde (un des fondateurs de The Pirate Bay) et Linus Olsson. Il est proposé sur certains sites comme Dailymotion[1], WikiLeaks, Soundcloud, Minecraft ou les pages de validation du World Wide Web Consortium (W3C)[2],[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Flattr a été lancé en mars 2010 sur invitation seulement[4] et a été ouvert au public le 12 août de la même année[5],[6]. C'est un projet lancé par Peter Sunde et Linus Olsson.
Le graphe des sites français qui parlent d’Open Data A quoi ressemble l’écosphère de l’open data français ? Voici un travail des équipes de Data Publica pour illustrer les liens et relations entre de nombreux sites français qui parlent d’open data. Avertissement L’algorithme de sélection des sites décrit ci-dessous distingue les sites qui parlent essentiellement d’open data en se basant sur le pourcentage de pages d’un site mentionnant un certain nombre de mots clés (plutôt qu’un nombre absolu qui empiriquement avait mis en avant des sites n’étant pas dédiés à ce sujet).
Créer des monnaies par millions Et si on essayait ? Les crédits mutuels, systèmes d'échange local, SOL (abréviation de solidaire), devises régionales, ou encore bons de réduction se multiplient (2/6). LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Kempf Ne dites pas à Roland Canonica qu'il contribue à changer le monde, il croit qu'il est banquier... Réseaux sociaux : le spectre du consensus mou » Article » OWNI, Digital Journalism Les réseaux sociaux, Facebook et Twitter, accentuent tous deux la valeur de socialisation. Laquelle conduit à une forme d’auto-contrôle de ses membres, notamment via le conformisme qui traduit l’évitement du risque. Readwriteweb avait commenté l’étude (2009) de Cameron Marlow, sociologue travaillant pour Facebook, qui montre le décalage entre le nombre d’amis Facebook et le nombre réel d’amis, ceux avec qui on a de vrais échanges. Les internautes ont en moyenne 130 amis sur Facebook (chiffre 2010) mais ne dialoguent qu’avec quatre d’entre eux (pour les hommes) ou six (pour les femmes). Même les collectionneurs ayant 500 amis ou plus, ne font guère mieux : 10 pour les hommes et 16 pour les femmes.
Flattr Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Flattr est un système de donation par micropaiements lancé en mars 2010 par Peter Sunde (un des fondateurs de The Pirate Bay) et Linus Olsson. Il est proposé sur certains sites comme Dailymotion[1], WikiLeaks, Soundcloud, Minecraft, Grooveshark ou les pages de validation du World Wide Web Consortium (W3C)[2],[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Flattr a été lancé en mars 2010 sur invitation seulement[4] et a été ouvert au public le 12 août de la même année.[5],[6]
Après un an d'activité, Liberapay veut être l'alternative libre pour les dons récurrents Alors que Flattr est désormais dans les mains d'Eyeo et que les plateformes comme Patreon s'installent dans le paysage, le libre peine encore à trouver des moyens de se financer. C'est ce que propose Liberapay, une plateforme lancée il y a un peu plus d'un an, qui vise à s'étendre au-delà des frontières françaises et européennes. Début avril, la société derrière Adblock Plus, Eyeo, avalait le service de paiement Flattr.
Open webOS disponible en version 1.0 Les portages peuvent désormais commencer, lance la communauté Open WebOS pour annoncer la livraison de la version 1.0 de l’OS mobile. Moins d'un mois après la bêta , la communauté derrière feu webOS, l’OS racheté par HP à Palm, termine enfin sa course et se retrouve officiellement disponible à l’Open Source. Et dans les temps : «nous avons finalisé notre feuille de route initiale et sortons Open WebOS 1.0 en ligne sur notre calendrier, comme promis», rappelle la communauté. Bill Veghte, directeur de la stratégie du groupe et des activités logicielles de HP avait évoqué une sortie pour septembre 2012.
Monnaie M - Expérimentation d'une monnaie complémentaire assortie d'un revenu de base Comment ça marche ?C'est comme "Le bon coin" ou "Priceminister", mais avec une monnaie virtuelle et un revenu de base : Se connecter Je n'ai pas encore de compte sur Monnaie M - Créer un compte J'ai reçu mon code d'activation par courrier postal - Activer mon compte J'ai oublié mon mot de passe ou je souhaite le modifier Facebook, Twitter : connaître les règles avant de jouer Fin décembre, tollé dans la blogosphère : le gros méchant Facebook a supprimé sans coup férir la page fan de Kiabi, privant d’un seul coup la marque d’un canal de communication privilégié avec ses 130 000 fans déclarés. Et pourtant, Facebook a eu raison d’agir ainsi, la marque n’ayant tout simplement pas respecté les CGU (Conditions Générales d’Utilisation) du réseau social… Retour sur les faits Le 22 décembre, Kiabi découvrait avec stupeur que sa page Fan avait été purement et simplement supprimée.
Dans ce chapitre, on ne peut pas échapper à Flattr.com, site de micro-dons créé par Peter Sunde, co-fondateur de The Pirate Bay, le sulfureux site suédois légal spécialisé dans le téléchargement illégal. Flattr.com est voué, comme Kickstarter, au financement de la création sur Internet, sous toutes ses formes : musique, films documentaires, articles, blogs… Il fonctionne un peu sur le modèle du bouton « J’aime » de Facebook : l’internaute clique sur le bouton Flattr lorsqu’il aime une page et fixe lui-même le montant mensuel total de ses dons, qui seront ensuite répartis sur l’ensemble des sites qu’il aura cliqués. On a donc associé un porte-monnaie au bouton de préférence. Généralement les sommes alloués à une page ne dépassent guère quelques centimes d’euros. C’est l’effet « longue traïne » de leur cumul qui les rend intéressantes auprès du créateur qui s’en rémunère. by jmichelcornu Apr 26