Bonheur : 4 substances chimiques - Double Boucle Il y a quelque jours, j’ai vu passer sur Twitter une photographie montrant un nombre important des participants de la conférence ALE2015 en train de travailler activement, allongés par terre, à expérimenter les phénomènes biologiques régissant le bonheur. En recherchant rapidement sur la toile, je suis tombé sur cette vidéo de Simon Sinek dans laquelle il explique le rôle de plusieurs hormones dans la construction de la sensation de bonheur. Je me propose ici de vous présenter ces substances et d’expliquer leur fonctionnement et leurs effets. Le bonheur pour soi Endorphine L’endorphine est une hormone dont la libération est déclenchée lors d’une activité physique intense ou par la douleur. Ses effets permettent également de combattre l’anxiété et la dépression. Dopamine La dopamine nous encourage à agir pour nos objectifs, nos désirs et nos besoins, et procure du plaisir lorsque nous y parvenons. La dopamine possède néanmoins un côté obscur. Le bonheur ensemble Sérotonine Ocytocine Conclusion
Parlez avec Amour : Comment vos mots restructurent littéralement votre cerveau | ExoPortail Les mots que vous choisissez d’utiliser peuvent littéralement changer votre cerveau : Andrew Newberg, un neuroscientifique de l’Université Thomas Jefferson, et Mark Robert Waldman, un expert en communication, ont collaboré au livre «Words Can Change Your Brain» ( Les Mots peuvent changer votre cerveau ). «un seul mot a le pouvoir d’influencer l’expression des gènes qui régulent le stress physique et émotionnel.» Lorsque nous utilisons des mots remplis de positivité, comme «amour» et «paix», nous pouvons modifier le fonctionnement de notre cerveau en augmentant le raisonnement cognitif et en renforçant les zones de nos lobes frontaux. L’utilisation de mots positifs plus souvent que négatifs peut relancer les centres de motivation du cerveau et les propulser dans l’action. À l’autre extrémité du spectre, lorsque nous utilisons des mots négatifs, nous empêchons la production de certains neurochimiques qui contribuent à la gestion du stress. Newberg et Waldman écrivent :
MECANISME DE LA DOULEUR Ces influx provoquent la libération de molécules chimiques, appelées neurotransmetteurs (aussi appelé neuromédiateur, c’est une molécule qui assure la transmission des messages d’un neurone à un autre). La morphine intervient notamment à ce niveau là, en bloquant certains neurotransmetteurs. Ces neurotransmetteurs sont transmis au neurone nociceptif, qui suit la moelle épinière pour atteindre le cerveau. Le message nerveux sensitif atteint le thalamus, où a lieu la régulation : elle consiste en la production d’un nouveau neurotransmetteur : la morphine endogène (endomorphine), qui va ensuite se fixer sur les récepteurs opïoides. Le thalamus transmet ensuite le message de la douleur au cortex cérébral où l’étape suivante du circuit de la douleur peut commencer : c’est la discrimination. Voici une vidéo récapitulative de l'ensemble du circuit de la récompense : Vidéo également visible à l'adresse suivante :
L’apport des Neurosciences peut-il aider à la prise de Décision ? Le Dr Anselem nous répond… N°3, Janvier 2018 Article publié par notre nouvel expert de managersante.com, le Docteur Bernard ANSELEM, auteur de plusieurs ouvrages dont, « Je rumine, tu rumines, nous ruminons » (aux Editions Eyrolles, 2017) et « Ces émotions qui nous dirigent » (aux éditions Alpen éditions, 2017) Pour prendre une décision notre cerveau possède des ressources sous-estimées mais peut aussi nous tendre des pièges. Des décisions sous influence Qu’il s’agisse de choisir des courgettes, un dentifrice, une carrière professionnelle ou les personnes que nous fréquentons, nous prenons tous des centaines de décisions par jour. Quoi de de plus froid et rationnel qu’un placement financier, quoi de plus éloigné du monde impalpable des émotions humaines ? Savoir décider : l’apport des sciences cognitives Certains nous conseillent d’écouter nos ressentis (notre corps sait ce qui est bon pour nous), à l’opposé d’autres nous alertent sur les émotions qui nous trompent ou nous aveuglent. Biographie de l’Auteur :
Pourquoi les neurosciences vont-elles révolutionner votre façon de manager Chroniques d’experts Management Le 10/01/2017 Plus d’efficacité et de bien-être du côté des équipes, des managers mieux armés pour analyser les résistances aux changements, accroître la motivation de leurs collaborateurs et en définitive affirmer leur leadership… C’est toute la promesse des neurosciences en entreprise. Depuis plusieurs années déjà, les neurosciences ont investi notre quotidien : neuro-économie, neuro-pédagogie, neuropsychologie, neuro-philosophie… Difficile aujourd’hui d’ouvrir un magazine sans trouver une référence à cette extraordinaire machine qu’est notre cerveau. Seuls 9% des salariés se disent engagés au travail Cette connaissance inédite nous donne une nouvelle opportunité, celle de manager de façon plus efficace avec un double objectif : pour l’individu, être plus épanoui et engagé ; pour l’entreprise, être plus performante et compétitive. >>> Les salariés heureux sont neuf fois plus loyaux Le temps est venu de passer à l’action. Porter un regard neuf
Le cerveau humain ne résiste pas aux ragots Chroniques d’experts Management Le 24/04/2014 Parce qu’ils influencent notre perception des autres, les commérages mettent sévèrement en danger les organisations. Par l’intermédiaire de l’un des personnages de « La comédie des méprises », William Shakespeare a formulé une notion psychologique très importante : « Les mauvaises actions sont doublées par les mauvaises paroles. » Les mots agissent comme des multiplicateurs : ils sont puissants. Le ragot consiste à colporter un jugement sur une personne absente. Les informations nouvelles sont jugées « vraies » a priori On retrouve des propos similaires dans le Coran, tandis que Confucius aurait dit dans « Les entretiens » : « Répéter en chemin à tous les passants ce que l’on a appris de bon en chemin, c’est jeter la vertu au vent. » La même idée apparaît dans les écrits des anciens philosophes stoïques et dans les livres modernes de développement personnel. Notre mémoire nous joue des tours Le cerveau a tendance à réaffirmer nos certitudes
Alzheimer: La perte en neurones serait très limitée dans la maladie La recherche sur Alzheimer avance. Une étude franco- canadienne publiée mercredi dans la revue Scientific Reports remet en question la dimension neurodégénérative de cette maladie. >> A lire aussi : Alzheimer: Nouveau revers dans le traitement de la maladie « À notre grande surprise, en étudiant le devenir de huit marqueurs neuronaux et synaptiques dans les cortex préfrontal de nos sujets, nous n’avons observé que des pertes neuronales et synaptiques très mineures », relate Dr. El Mestikawy, auteur principal de l’étude. Les scientifiques ont tenté d’établir un parallèle entre toutes ces pertes synaptiques mineures et le niveau de démence des sujets observés. L’étude laisse entendre que la démence serait associée à un dysfonctionnement synaptique et non pas à la disparition des synapses (zone de contact entre deux neurones) du cortex du patient. Actuellement, les interventions thérapeutiques ont pour but de ralentir la destruction synaptique.
Montre-moi tes télomères, et je te dirai combien de temps tu vivras Certains charlatans prétendent pouvoir prédire le temps qu’il vous reste à vivre à partir de la longueur de votre « ligne de vie », juste en regardant la paume de votre main. Absurde bien sûr ! Et pourtant il y a au sein de nos cellules de petites structures appelées télomères, dont la longueur est liée à notre âge, et qui se raccourcissent au fur et à mesure de notre vieillissement. Est-ce que l’on peut alors prédire notre espérance de vie à partir de la longueur des télomères ? Il y a de ça, mais ça n’est pas si simple… Le vieillissement cellulaire Vous le savez, notre organisme est fait de milliards de cellules qui sont capables de se diviser. Vu comme ça, on peut se demander pourquoi on vieillit ! Lors du processus de division (la mitose, donc), la cellule doit d’abord faire une copie de son ADN, afin que les deux cellules filles reçoivent chacune leurs 23 chromosomes. Or lors de ce processus de réplication de l’ADN, la copie obtenue n’est pas exactement identique à l’originale.
Noradrénaline La noradrénaline ou norépinéphrine est un composé organique qui joue le rôle d'hormone adrénergique et de neurotransmetteur. C'est une catécholamine comme la dopamine ou l'adrénaline. Elle est aussi libérée en faible quantité (20 %)[3],[4] par les médullosurrénales et agit comme hormone. Elle joue alors un rôle dans l'excitation, l'orientation de nouveaux stimuli, l'attention sélective, la vigilance, les émotions, le réveil et le sommeil, le rêve et les cauchemars, l'apprentissage et le renforcement de certains circuits de la mémoire impliquant un stress chronique[5]. Que ce soit en tant qu'hormone ou neurotransmetteur, la noradrénaline agit sur les mêmes récepteurs, dits récepteurs adrénergiques alpha et bêta, tous couplés aux protéines G trimériques. Localisation[modifier | modifier le code] Neuronale[modifier | modifier le code] Les neurones noradrénergiques se retrouvent au niveau du système nerveux central et du système nerveux périphérique. Le locus cœruleus et ses projections.