Buzz Off: EPA Denies Beekeeper Pesticide Petition Honeybees have it rough these days. The climate is changing, adding all sorts of weather-related stress and pollen producing challenges, and increasing numbers of bees are being shipped farther and farther for large-scale industrial agricultural pollination as local colonies struggle. Add to this Colony Collapse Disorder (CCD), and we have ourselves a serious problem. If you aren’t familiar with CCD or haven’t yet seen Vanishing of the Bees, let me bring you up to speed: honeybees are more than just buzzing insects that land on flowers and produce honey for you to enjoy in your tea; bees are the critical link between us and our food. In fact, without bees, “two-thirds of our natural crops would not be propagated.” It’s important to note that this EPA ruling is based off of low numbers of reported incidents related to clothianidin. Losing honeybees at such an alarming rate is a very serious economic and environmental concern that deserves much more regulatory and public attention.
Ville fantôme africaine cherche habitants - International Nova Cidade de Kilamba (©facebook.com/novaangola) Une ville angolaise, nouvellement construite par une compagnie d’Etat chinoise, s'est retrouvée abandonnée un an après sa construction. L’Angola, dont la capitale est surpeuplée, a payé la société en pétrole ! Pour voir la vidéo de la ville fantôme, cliquez ici (LaVieImmo.com) - Après l’Europe et les Etats-Unis, voici que le syndrome de la ville fantôme attaque l’Afrique. Elle était censée héberger 500 000 personnes, mais des images inquiétantes montrent comment Nova Cidade de Kilamba, en Angola, est devenue la toute première ville fantôme flambant neuve du continent Noir. Le constructeur payé en pétrole Cette ville a été bâtie par une compagnie d'Etat chinoise – la China International Trust and Investment Corporation (Citic) – pour près de 3,5 milliards de dollars (2,8 milliards d’euros). Seuls les travailleurs Chinois sillonnent les rues La vidéo de la ville fantôme angolaise Estimez votre bien en quelques secondes : cliquez ici.
Abeilles : la faillite de l'évaluation des pesticides LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Le coupable est-il plutôt l'incompétence ou l'accumulation de conflits d'intérêts ? Impossible de trancher. Cette défaillance est d'autant plus troublante que certains de ces tests d'évaluation ont été remis à jour en 2010, c'est-à-dire tout récemment. Pourquoi un tel rapport ? De manière générale, explique le rapport, "les expositions prolongées et intermittentes ne sont pas évaluées en laboratoire", pas plus que "l'exposition par inhalation et l'exposition des larves". "De même, ajoute le rapport, les effets des doses sublétales ne sont pas pleinement pris en compte par les tests standard conventionnels." Les tests standard réalisés en champ sont eux aussi critiqués. Ce n'est pas tout. En outre, poursuit le rapport, les abeilles devraient être testées pour déterminer si de faibles doses du produit ont déclenché des maladies dues à des virus ou des parasites... Pourquoi une telle inertie ? Et la France ?
Qui rachète l'Afrique ? Cent hectares par ici, quelques milliers par là. Chaque semaine, des acteurs publics ou privés achètent des parcelles de terres en dehors de leurs frontières. Le plus souvent pour produire de la nourriture sur des sols plus fertiles. Le plus souvent aussi sans consultation, voire au détriment des habitants sur place. Un groupe de chercheurs a décidé de rompre le silence, à coup de tableurs Excel. Bien que non exhaustives (voir encadré au bas de cet article), ces données confirment plusieurs tendances inquiétantes sur ce phénomène en marche : 1) Ces contrats sont conclus dans les pays les moins avancés et en manque de nourriture, notamment en Afrique Indonésie, Congo, Zambie, Soudan, Ethiopie, Philippines.. Cliquez sur la carte pour découvrir l’infographie animée réalisée par Félix Raymond, Quentin Le Roux et Pierre-Emmanuel Henry, étudiants à l’école de Design Nantes Atlantiques. 2) Les terres achetées servent peu ou pas à l’agriculture vivrière
SonnyBeez : Sad, but accurate cartoon about... « Les industriels mettent délibérément en danger les ouvriers » Annie Thébaud-Mony, 68 ans, est directrice de recherche honoraire à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale. Fin juillet, elle a refusé la Légion d’honneur que Cécile Duflot, ministre de l’Egalité des territoires et du Logement, souhaitait lui accorder. Dans une lettre adressée à la ministre, la chercheuse en santé publique qui s’est spécialisée dans les maladies professionnelles explique que son refus a pour but de dénoncer « l’indifférence » qui touche, selon elle, la santé au travail et l’ « impunité » des « crimes industriels ». Elle nous en dit plus. Terra eco : On vous a proposé la Légion d’honneur pour couronner votre carrière. En tant d’années, il n’y a donc pas eu d’avancées ? Il y a quinze ans, l’amiante a été interdit en France. Avez-vous des exemples ? Le tableau 57 des maladies professionnelles du régime général de la Sécurité sociale liste la plupart des troubles musculosquelettiques (TMS). Non. La directive européenne Reach ne sert-elle donc à rien ? Si.
Feu vert européen pour l'utilisation du pollen du Maïs OGM Mon 810 L'Agence de sécurité alimentaire européenne (EFSA) vient de conclure que le pollen du maïs OGM Monsanto 810 ne présente pas de risque pour la santé et peut remplacer le pollen du maïs non OGM. Suite à la publication de l'étude du Pr Séralini, le maïs OGM continue à faire l'objet de vifs débats entre scientifiques concernant sa toxicité potentielle. L'Agence Européenne de Sécurité Alimentaire a donné récemment son avis sur cette étude. Elle l'a jugée non valable scientifiquement, balayant, malgré les évidences, les conclusions de l'auteur. Et elle a considéré qu'il n'y avait donc pas lieu de suspendre, ni d'interdire, la culture du maïs OGM dans la Communauté Européenne. Aujourd'hui l'Agence vient d'aller encore plus loin en prononçant un avis favorable pour l'utilisation du pollen du maïs Mon 810. Nous allons demander aux abeilles de décoder le message. Stella Giani
Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire » - Ecologie Et si, après une stressante campagne électorale, on respirait un peu ? Quelle société voulons-nous aujourd’hui construire ? « La croissance est un problème, pas une solution », affirme Pierre Rabhi, paysan-philosophe. Face à la disparition des questions écologiques dans le débat politique, et à la frénésie marchande qui nous a pris en otages, il invite à repenser la vie sur un mode à la fois « sobre et puissant ». Basta ! Pierre Rabhi [1] : Je ne me réjouis pas de cette situation, mais je me dis finalement que l’être humain a besoin d’entrer dans des impasses pour mieux comprendre. Pendant la campagne électorale, l’écologie a quasiment disparu du débat politique. C’est parce que les citoyens ne sont pas véritablement conscients de l’enjeu de l’écologie que nous sommes obligés d’avoir une écologie politique pour lui donner une place au forceps. Selon vous, le progrès technologique nous asservirait ? Le progrès technologique ne rétablit pas de l’équité dans le monde, au contraire.
Test toxicité larves abeilles adopté par l'OCDE Pour répondre à la demande des experts, l'unité expérimentale d'Entomologie a mis au point un test sur les larves d'abeilles dans des conditions où l'exposition au pesticide est contrôlée, contrairement au test qui était en vigueur jusqu'à maintenant. Les agents de l'unité ont élaboré une méthode d'élevage des larves in vitro standardisée, conçue pour être facilement transposable aux laboratoires agréés en charge de l'évaluation des pesticides. Élever des larves d'abeilles de manière standardisée En pratique, les larves prélevées dans une ruche sont élevées artificiellement dans une étuve. Contrôler l'exposition des larves aux pesticides à tester Dans la nature, les larves peuvent aisément être exposées aux pesticides par l'ingestion de nectar de fleurs contaminées mais les quantités ingérées ne peuvent alors pas être mesurées. Le produit peut être testé pendant les 6 à 7 jours que dure la vie larvaire, soit en mode chronique, soit en mode aigu, avant le passage au stade nymphal.
Britain's Honeybees are Dying, So Why is the UK Objecting to a Pesticides Ban? A new survey of bee populations across Europe reveals the different ways honeybee numbers were impacted by the 2012-2013 winter. What does the study tell us and why are its findings important? This month European officials released a new survey called “A Pan-European Epidemiological Study on Honeybee Colony Loses 2012-2013.” It’s nice to say that, for once, there are some encouraging signs. The research found that bee diseases in Europe were perhaps less prevalent than the smaller studies might have suggested, and that overall colony collapse disorder doesn’t, for honeybees at least, appear to be an imminent threat. There were a few nations that were just over the acceptable limit, and they include Germany, France, Latvia, Poland and Portugal, where mortality rates were between 10 and 15 percent. However, the survey did find that there are several places in Europe where honeybee mortality rates are considerably higher than the European average. Photo credit: Thinkstock.
If We Put Bees on the Endangered List Now, Maybe We Won't Be Screwed Later Environmentalists are taking legal action to get endangered species protection for a little bumble bee that they believe is facing certain extinction and is in need of immediate help. The rusty patched bumble bee, which can be identified by a rust-colored patch on its abdomen, was once a commonly seen pollinator from the midwest to the east coast, but scientists believe that it has has disappeared from 87 percent of its historic range and that its population has declined by a startling 95 percent. Last year the Xerces Society for Invertebrate Conservation filed a petition seeking to have the bumble bee listed as an endangered species, but got no response from the Department of the Interior, which is required to respond within 90 days. Now the organization, along with the Natural Resources Defense Council (NRDC), is suing the Department of the Interior and the U.S. If this bumble bee disappeared, it wouldn’t just be a sad loss, but really bad news for a world that depends on pollinators.