Comment écrire pour le web en 7 points ?
Edit 2015 - nous vous invitons à lire : Comment rédiger un article de blog... Lorsque nous prenons en charge la création d'un site Internet au sein de notre agence, une des réflexions que je fais souvent à nos clients est : « Concernant vos textes, je vais vous torturer un peu, mais plus tard, vous me remercierez sans doute ». En effet, écrire pour le web est un exercice un peu particulier. Il faudra répondre à des attentes distinctes, car deux types de « lecteurs » vont passer sur vos pages. Les visiteurs : toujours pressés, ils ont pris l'habitude de gloutonner l'information sans la lire. La structuration de votre contenu est primordiale pour les intéresser.Les moteurs : ils lisent tout de A à Z, mais ce ne sont que des machines. Sur le fond, ces deux publics ne sont pas si différents à satisfaire. Le premier est idiot (le moteur), le deuxième est volatile (le visiteur), dans les deux cas, les techniques de rédaction à employer sont pourtant communes pour les satisfaire. En conclusion
Calculer le ROI des médias sociaux est une perte de temps
Les semaines se suivent et se ressemblent : pas une conversation sans que l’on me parle du ROI des médias sociaux. Je veux bien comprendre que les directions générales ou autres donneurs d’ordre ont besoin de données chiffrées avant de prendre de lourdes décisions, mais n’avions-nous pas dit qu’une présence sur les médias sociaux se construit dans la durée et ne nécessite pas de gros budgets mais une implication ? Avant de me lancer dans mon argumentation, laissez-moi vous rappeler plusieurs choses : Les médias sociaux sont des territoires d’expression et d’interaction formidables qui offrent d’innombrables possibilités. Booster votre audience ou votre C.A. sont des objectifs louables, mais il existe d’autres outils qui le font bien mieux (respectivement les AdWords et les promotions).Le ROI est un indicateur chiffré qui se nourrit et produit des données numériques. Ceci étant dit, intéressons-nous maintenant aux effets pervers du ROI : Je vous laisse méditer là-dessus…
L'approche "parapluie" pour développer sa communauté sur Linkedin
Parmi les groupes Linkedin auxquels je suis inscrit, il y en a un qui m'intéresse bien : Linked:HR. Les animateurs appliquent le principe du parapluie qui consiste à développer une macro-communauté, tout en insistant sur les multiples intérets en lien (sous le parapluie). Un minimum de liens et un maximum de questions, de problématiques posées. Ceci correspond aux logiques des groupes et sous-groupes sur Linkedin, avec ces derniers ayant pour objectif d'approfondir des discussions sur un sujet ou de mettre l'accent sur des zones géographiques. Un sous-groupe servant de "Marketplace" est aussi mis sur pied, pour y lister les promotions, l'échange d'offres commerciales, de liens de blog et de news. Cela fait aussi penser à la longue traine avec une trajectoire de base et des groupes plus affinés pour matcher les attentes des différentes niches d'intérêt (tant que les échanges sont fréquents et riches). Et tout commencerait aussi du parapluie que l'on propose. (credit photo)
Le ROI des médias sociaux doit se définir de manière transversale
29inShareinShare29 Par Pierre Miceli co-fondateur de la MediasSociaux Academy Il est régulièrement question du retour sur investissement des médias sociaux. De nombreux articles sont écrits sur ce sujet, certains amenant des chiffres parfois irréels (comme la valeur d’un fan), d’autres expliquant pourquoi il est impossible de calculer un ROI pour ce type d’activités. Le flou autour de ce sujet ne permet probablement pas au dirigeant marketing ou dirigeant d’entreprise de l’aider dans sa prise de décision. Avant de vous faire part de quelques éléments concrets et rationnels aidant l’entreprise à calculer les impacts des médias sociaux sur son business, j’aimerais d’abord rappeler la notion primordiale de transversalité des médias sociaux dans l’entreprise. 1 – La transversalité des médias sociaux en entreprise Il est important de bien comprendre que les médias sociaux ont changé les règles du jeu dans la relation client / entreprise. 2 – Calculer les impacts des médias sociaux
Une veille de qualité à partir d'outils gratuits est-elle possible? Et si oui, comment?
Ressources Veille Dans le billet qui restera sans doute le plus polémique et donc le plus utile de ce premier semestre pour les professionnels de la veille et de l'intelligence économique, Frédéric Martinet, le "veilleur intraitable" ;-) évoque plusieurs sujets sur lesquels je suis tout à fait d'accord avec lui (voir ici et là dans les commentaires), et un avec lequel je ne le suis pas, et ce ne sera une surprise ni pour lui, ni pour vous. Il s'agit bien sûr de ce que l'on peut faire en terme de veille avec des outils gratuits ou peu coûteux. De fait, depuis sept ans où je forme en moyenne entre 80 à 120 veilleurs par an (non-inclus les étudiants) tous secteurs d'activités confondus et autant dans le public que dans le privé, je pense pouvoir dire au doigt mouillé que 80% n'ont pas et n'auront pas à moyen terme, de budget pour investir dans des outils (logiciels, services en ligne) dépassant les 200 euros. Articles portant sur des thèmes similaires :
The Real Cost Of Social Media
What’s the real cost of social media? Last week we looked at an interesting infographic on the value of social commerce and today we wanted to share another interesting infographic on the cost of social media. So how do your social media costs compare? These stats, which have been aggregated by Focus.com, show some good insights into how much brands are paying, on average, for their social media strategy and activities. The second half of this infographic shows some good stats on the benefits of social media, including a comparison of what an average Facebook fan will spend on certain brands compared to a non-fan. On average it shows that a Facebook fan is 28% more likely than a non-fan to continue using a brand and that fans are 41% more likely to recommend a fanned product to their friends. Be Sociable, Share!
[Infographie] - La marque média, quel ROI ?
Le comportement du consommateur évolue, le marketing aussi ! Une infographie pour visualiser les apports d'une stratégie de marque média à court terme. Le consommateur se fie de moins en moins aux panneaux publicitaires, et autres annonces qui pullulent sur les médias classiques comme la télévision, radios ou presse. La cause : internet et son incroyable essor, qui devient une méthode alternative pour la recherche et l’achat de produits / services. Alors comment faire pour contourner ce nouveau comportement ? L’inbound marketing, est un canal bidirectionnel d’échange mais aussi latéral (communication des consommateurs entre eux), facilité par le support des réseaux sociaux et des blogs. Pourquoi mesurer son ROI sur les médias sociaux ? Le concept de marque média s'est développé avec l'émergence des médias numériques qui rendent la production de contenu plus accessible. Comment mettre en place une stratégie digitale en trois mois ? Crédit photo : BigStock
Médias sociaux et ROI : Les indicateurs à prendre en compte
La question des ROI et des médias sociaux n’a pas fini de faire parler d’elle et je pense que c’est une démarche nécessaire qui permettra à terme, de faire comprendre à l’ensemble des dirigeants les tenants et aboutissants d’une démarche 2.0. Beaucoup d’acteurs du secteur alimentent le débat et proposent différentes solutions pour déterminer le St Graal ROI. Parmi celles qui ont retenu mon attention, il y a le Total Economic Impact (TEI) de Forrester. Il s’agit d’un framework présentant de manière généraliste, les éléments à prendre en compte dans ce fameux calcul du ROI. Il y a déjà un moment que ce framework a été publié mais il me semble qu’il n’est pas trop tard pour y revenir. Total Ecomic Impact – Forrester : La mesure du risque : Lorsque Forrester introduit cette notion dans le TEI, l’objectif est de mesurer l’intérêt que représente la mise en place d’une démarche dite 2.0 dans la gestion du risque lié à ses conversations. Crédit images : Moch_en_Seine Popularity: 11% [?]