Dossier pédagogique expo du Quai Branly
L'e-mallette propose un corpus de documents qui permettent de se constituer une base de travail. Ces documents peuvent être utilisés pour préparer un cours, nourrir un débat ou servir de base à des travaux d'élèves. C'est également un espace de dialogue et d'échange puisque vos restitutions pédagogiques pourront s'intégrer à cet outil. e-mallette n°1 : des images pour penser l'autre, du mythe du bon sauvage à l'exposition coloniale de 1931 Cette version vous permettra une consultation même lorsque vous n'êtes pas connecté à internet. Vous pourrez également récupérer et utiliser séparément les différents textes et images composant l'e-mallette. Nouveau ! Cette version vous permettra une consultation même lorsque vous n'êtes pas connecté à internet.
Récits de voyages au XVIIIe siècle
Le XVIIe siècle esquisse les contours de l’océan Pacifique alors que le XVIIIe siècle accomplit. La première moitié du XVIIe siècle connaît une inflexion, un essoufflement dans les voyages au Grand Océan. Les quelques voyages qui s’y déroulent sont essentiellement à caractère commercial. Il faut ajouter que ces entreprises restent le fait d’initiatives individuelles. Autour de 1750, des changements considérables apparaissent. Associée à l’Académie des sciences, l’Académie de Marine fondée en 1752 donne un nouveau souffle aux expéditions de découvertes. La dernière escale de Cook à Hawaï où il est tué par les insulaires lors de son troisième voyage de circumnavigation. Références de l'image Deux missions lui sont confiées. Les instructions définies pour son premier voyage (1768-1771) précisent la recherche de la Terra Australis Incognita ainsi que l’observation du passage de Vénus sur le disque solaire à Tahiti. Références de l'image Références de l'image C. Sources imprimées
Les explorateurs
Les premiers explorateurs furent le plus souvent des italiens de Gênes et de Venise. Des hommes issus d'une forte tradition de marine de commerce et d'échange avec l'Asie. Les deux villes-républiques étaient suffisamment riches pour financer ces premières expéditions, qui n'ont, du reste, pratiquement rien coûté. Pourquoi donc les premiers explorateurs travaillèrent-ils pour le Portugal ou l'Espagne et non pour une de ces riches villes italiennes? Celles-ci manquèrent-elles d'ambition? Ainsi les ambitieux explorateurs préféraient se prêter à des souverains européens frustrés par le monopole des deux villes italiennes avec l'Asie. L'aventure portugaise en Afrique L'aventure portugaise dans l'océan Indien La découverte de l'Amérique et des Antilles Tours du monde La recherche du passage au Nord-Ouest vers la Chine D'autres voyageurs...
Le mythe des terres australes - Récits de voyages au XVIIIe siècle
« La question de la Terre Australe ou du Continent Austral est l’une des plus vieilles énigmes qui se soient posées à la curiosité des hommes et à la sagacité des savants », explique le géographe Numa Broc. Depuis l’Antiquité, il existe une croyance en une terre immense située dans l’hémisphère Sud. Cette pensée est née chez les Pythagoriciens grecs qui émettent l’hypothèse de l’Antichtone : il existe une masse de terre située dans l’hémisphère Sud pour équilibrer la planète. Tout ceci s’appuie sur l’idée d’une symétrie entre les deux hémisphères Nord et Sud. Cette croyance se prolonge au fil des siècles et revient au goût du jour avec les découvertes géographiques des XVIe et XVIIe siècles, qui accentuent le poids de cette idée. Ce « vide » géographique et scientifique nommé Terra Australis Incognita est comblé par des productions littéraires contenant divers degrés d’utopie. Ludovic Dubois BERENKASSA Georges.
Les Grandes découvertes (XVe-XVIe s.)
Entre [...] dans le texte = informations complémentaires. Henri le Navigateur et l'exploration des côtes africaines "[La première raison était que le Roi] désirait savoir quelles terres il y avait au-delà des îles Canaries et d'un cap qu'on nommait Bojador, car jusqu'à cette époque, ni par écrit ni par la mémoire d'aucun homme, personne ne savait quelle terre il y avait au-delà de ce cap (...). Et la deuxième fut l'idée que si en ces terres se trouvaient quelque population de chrétiens, ou quelques ports où l'on aborderait sans danger, on pourrait en rapporter au royaume beaucoup de marchandises bon marché par la raison qu'il n'y aurait point d'autres personnes de ces côtés-ci qui négocieraient avec eux (...). [La troisième raison fut qu'il] s'ingénia à envoyer ses gens en quête de renseignements, afin de savoir jusqu'où allait la puissance [des] infidèles. La cinquième raison fut son grand désir d'augmenter la sainte foi de N. Extraits de G. Les buts de Henri le Navigateur Route des épices
Les grands explorateurs
Après le repli et l’obscurantisme du Moyen Âge, la Renaissance et le XVIe siècle sont des époques riches en découvertes. Le temps est alors venu de lutter contre les vieilles superstitions, d’aller vers l’inconnu et partir chercher d’autres terres. Si cet aspect humaniste n’est pas à écarter, d’autres réalités plus prosaïques accompagnent cet idéal : il fallait aussi développer de nouveaux marchés et trouver des nouveaux produits, comme les épices pour les nobles. La compétition entre les nations européennes comme l’Italie, l’Espagne, le Portugal qui rivalisent d’audace pour gagner des terres, fait rage… Boussole en poche, les navigateurs circulent surtout le long des côtes, jouant de l’astrolabe, outil nécessaire pour calculer la latitude et l’angle donné par rapport à l’étoile polaire et l’horizon (juste dans l’hémisphère nord). Routard.com vous propose de partir à travers la planète en compagnie d’aventuriers nommés Christophe Colomb, Jacques Cartier, James Cook ou Marco Polo.
Explorateurs et grandes découvertes
© 2017 Les Explorateurs | A Propos | Hébergement chez OXYD.fr | Nous contacter | Déclaration CNIL No 1006598