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Agriculture urbaine : l'avenir est sur les toits

Agriculture urbaine : l'avenir est sur les toits

Des fermes sur des toits à New-York Réagissez : Partagez : Si les locavores ont plus de difficultés à trouver leurs fruits et légumes bio en ville, des modes d’agriculture urbaines se développent un peu partout dans le monde. Une des possibilités est la ferme verticale. © DR, Gotham Greens En voyant les photographies, on peine à imaginer New York à première vue, trahi par l’arrière-plan. Ses caractéristiques : 1400m2 ,de nombreuses variétés de laitues et des fines herbes vendues aux restaurants et magasins bio locaux ,serre contrôlée par un système informatique qui gère l’hygrométrie, la luminosité, la nutrition des plantes et la climatisation ,serre alimentée en énergie par des panneaux solaires. Gothams Greens pourrait bientôt être étendue à trois autres serres et aux concombres, tomates et fraises. Brooklyn Grange, la plus grande ferme urbaine du monde © DR, Photo: Brooklyn Grange Farm Nous sommes encore à Brooklyn et la Brooklyn Grange pratique la culture organique en pleine terre depuis 2010. Un modèle à développer

suite101 Une petite abeille s’est posée sur la fleur bleutée et parfumée de la lavande. Longuement, elle a butiné puis s’est envolée vers d’autres fleurs avant de rejoindre la ruche ! La plante innocente et docile, au service des animaux, ce n’est pas toujours vrai. Egoïste et stratège, la plante qui se moque de l’insecte "Aidons-nous les uns les autres…" c'est l’impression la plus courante que donne la relation fleur-insecte. Hélas, le "tout pour moi et rien pour toi…" n’est pas le propre de l’homme. C’est le cas chez certains arums qui émettent une odeur putride. Dépité, l’insecte s’envole en transportant avec lui du pollen qui s’est accroché à lui, malgré lui,et qu’il déposera sans le vouloir dans une autre fleur qui le piégera de la même manière. Actes d’infanticides et parents bernés sans pitié par la plante Certaines plantes ont poussé le principe plus loin pour être certaines que mouches et insectes nécrophages transportent bien leur précieux pollen vers les fleurs voisines.

L’agriculture urbaine part à la conquête de la ville et s’expose à Paris | Quartiers en transition Deux expositions proposées par la Mairie de Paris viennent opportunément rappeler le rôle que sera sans doute appelé à jouer dans les prochaines années, l’agriculture urbaine. Un thème dont ce blog s’en fait souvent l’écho et qui est évidemment l’un des axes majeurs de la réflexion du mouvement des villes en transition. A l’heure où l’épuisement des énergies fossiles et en premier lieu du pétrole nécessite en effet de repenser notre économie en général et la question des transports en particulier, le développement de l’agriculture urbaine constitue une piste essentielle pour imaginer de nouvelles formes d’alimentation en ville. La Maire-adjointe de paris Fabienne Giboudeau ne dit d’ailleurs pas autre chose (voir la dépêche AFP ci-dessous) quand elle évoque l’avenir face à la crise et au risque de pénurie de pétrole en s’interrogeant : "Aujourd’hui on parle du grand Paris et surtout du volet transports et économique, c’est bien, mais quid de la façon dont on va s’alimenter ?". Like this:

Les abeilles et les fleurs communiquent grâce au courant électrique Les fleurs émettent un faible champ électrique qui signale aux insectes pollinisateurs la présence de nectar dans leur corolle. C'est ce que dévoile une nouvelle étude publiée dans la revue Science Express et menée par les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol. "Quand un bourdon s'approche d'une fleur, on voit les grains de pollen sauter sur lui avant qu'il se pose. Le bourdon est chargé positivement alors que la fleur émet un faible champ électrique chargé négativement. Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol ont observé plus de 200 abeilles pendant la collecte de pollen de pétunias.

USA : Des supermarchés vont récolter des légumes sur leurs propres toits! / Amérique du nord Rien de tel pour diminuer l’empreinte carbone des marchandises que de supprimer les heures de transport et de réfrigération des légumes. Rien de tel que de s’approvisionner sur place, même pour un supermarché : il suffit de faire pousser ces produits sur son propre toit! Les légumes transportés d’un bout à l’autre du pays-continent coûtent jusqu’à 5 fois plus cher lorsqu’ils atteignent les présentoirs des supermarchés. Le patron de la start-up new-yorkaise se définit comme essentiellement capitaliste, à l’écoute des clients et de leurs besoins. Avocat de formation, Paul Lightfoot avait pour habitude de créer des logiciels pour aider l’industrie alimentaire. Baisse des prix BrightFarms est co-financée par l’un des fondateurs de SunEdison. Les atouts de BrightFarms sont nombreux : des produits plus frais, plus beaux et plus sains, et une empreinte carbone réduite. greenbiz.com

Crassula ovata 'Gollum' - Jardin Exotique de Roscoff Les Crassulaceae En partenariat avec www.crassulaceae.net Nom commun : Crassula arbustif, plante de jade Il s'agit d'une plante d'intérieur à cultiver en pot près d'une fenêtre. Elle peut sortir dehors à la belle saison. La floraison survient l'hiver sur des plante âgée. DESCRIPTION :Plante succulente érigée buissonnante, au feuillage charnu, aux feuilles parfois bordées de rouges, déformées. Rusticité au froid :Couvrir avec un voile d'hivernage. Caractéristiques Zone géographique : Afrique du Sud Température minimale : -2°C Floraison prévu de Janvier à Mars Photos 1 - Vente de Crassula ovata 'Gollum' Veulliez prendre contact avec le jardin exotique de roscoff.

A Lyon, une agriculture aux portes de la ville est-elle possible? Tribune/ Après la Communauté Urbaine de Saint-Etienne, c’est au tour du Grand Lyon de promouvoir l’agriculture périurbaine. Un enjeu de taille pour assurer l’autonomie alimentaire des communes, en prévision du double choc pétrolier et climatique annoncé. Photomontage Trois jours : telle est la durée d’autonomie alimentaire dont disposeraient aujourd’hui en moyenne les villes françaises en cas d’effondrement de la production pétrolière, et donc des transports (1). D’où l’importance d’une agriculture produite aux portes de la ville pour alimenter la population via des circuits courts (paniers AMAP, ventes directe à la ferme…). Les surfaces agricoles du Grand Lyon s’élèvent à 10 000 hectares, soit 20% du territoire. En revanche, si l’on s’en tient uniquement à une production locale de fruits et légumes, 1 hectare permet de nourrir 100 habitants : dans ce cas, avec 10 000 hectares de surface agricole, le Grand Lyon pourrait nourrir toute sa population ! Progression du bio Par Florence Leray.

Film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste » Le film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste – produits frais et bonnes pratiques » présente le portrait de deux chefs de cuisine de restauration scolaire dont les pratiques sont remarquables à bien des égards, André Parra et Dominique Valadier. Parmi les bonnes pratiques mises en œuvre par ces deux cuisiniers on retrouve l’utilisation de produits frais, bruts, de saison, en provenance de producteurs locaux et en partie issus de l’agriculture biologique. Ils brisent ainsi certaines idées préconçues sur la restauration collective et donnent de nombreuses pistes permettant de tendre vers une cuisine gastronomique en collectivité. André Parra travaille au lycée Paul Héraut de Gap dans les Hautes-Alpes. Film produit par Frédéric Gana pour l’association Slow Food France 2010 – et réalisé par Brice B. & Matthieu Toucas sur une idée originale de Frédéric Gana. TÉLÉCHARGER ICI LE COUPON DE COMMANDE à renvoyer à l’adresse: Slow Food 153, avenue de Grammont vvv

Tokyo : Légumes bio sur les toits Les enseignes des restaurants brillent dans la nuit, comme leurs étoiles du guide Michelin, qui les ont élevés dans le firmament des toqués en damant toutes les autres grandes capitales du monde. Les chefs français profitent de cette appétence, d'ailleurs avec succès. Mais le plus étonnant dans la mégalopole se situe au-dessus de nos têtes : rizières au dernier étage d'un building à Roppongi, terrain de prédilection des noctambules et des amateurs d'art contemporain, abeilles nichant dans des ruches sur les toits du quartier chic de Ginza, potagers jouant le tout-bio au-dessus des rues estudiantines... Après une industrialisation forcenée, des outrages urbanistiques et une bulle spéculative financière et immobilière éclatée, l'ancienne Edo a réagi. Opposé aux légumes dénaturés, il initie les milieux urbains à la réalité de l'activité agricole. En prime, les fruits et légumes ne reçoivent ni pesticides, ni produits chimiques contre les maladies et les insectes.

- Trucs et astuces du jardin écologique 1. Je laisse un coin de jardin au naturel, sur lequel je n’interviens pas. La friche est riche en petite bête. Aider la nature à reprendre ses droits transforme un jardin en refuge pour la biodiversité. 2. 3. J’installe des abris à animaux (pour les oiseaux, les insectes ou les petits mammifères).Je plante une haie champêtre, avec des espèces locales.J’aménage une mare ou un point d’eau dans mon jardin. 4. J’arrose mes plantes de façon modérée et le soir au coucher du soleil.J’utilise du BRF et/ou des paillages pour garder l’humidité du sol.J’installe un récupérateur d’eau de pluie. 5. 6. J’éteins la lumière extérieure la nuit lorsque je n’en ai pas besoin (à la main ou avec des systèmes de minuteries ou de détecteurs de mouvement ). 7. Je plante un carré d’herbes aromatiques.Je plante ou je laisse pousser des plantes sauvages (« mauvaises herbes », arbres fruitiers sauvages…) dans mon jardin et dans mes haies. 8. Je n’utilise aucun engrais dans mon jardin. 9.

La ville, avenir de l'agriculture? Les enjeux de l’alimentation de proximité n’ont jamais été aussi prégnants que ces dernières années. Face à l’explosion des coûts, qu’ils soient économiques et à mettre en rapport avec nos modes de vies, ou écologiques, lorsque ces mêmes modes de vie alimentent les excès et les rejets polluants, se nourrir près de chez soi et de manière responsable est devenu une véritable problématique urbaine. Alors que les idées et les démarches foisonnent autour de la question et que des réseaux promouvant les circuits courts alimentaires se mettent en place, force est de constater que la ville se perméabilise de plus en plus à l’agriculture, transformant jusque dans ses fondements cette activité dix fois millénaire… Quand la ville redessine et transforme les espaces de l’agriculture Bien sur, la ville s’étale, bien sur la ville grignote et digère chaque année des centaines d’hectares de terres arables. L’homme de la ville, dernier agriculteur d’une révolution alimentaire ?

Comment mieux manger en dépensant moins -Les ventes directes court-circuitent les intermédiaires A la ferme, dans des boutiques de producteurs, sur Internet… Les solutions pour acheter des produits locaux et de qualité se multiplient. Souvent plus savoureux que les aliments de supermarché, mais pas forcément plus chers. Les primeurs, la viande ou le fromage, tout vient du coin. C’est abordable et meilleur qu’à l’hypermarché !» Bien que située en zone commerciale, la supérette est d’un genre nouveau : une boutique de producteurs gérée et approvisionnée par un groupement d’agriculteurs de la région. Comme le raconte Danièle, il est donc possible, sans se ruiner, de manger bien mieux qu’en faisant ses courses à l’hyper, en passant par ce que les professionnels appellent les «circuits courts». Pour partie, cette tendance recouvre des pratiques séculaires.

Jardins suspendus Jardins suspendus- Jardins potagers - Windowsfarm Les nouveaux jardiniers urbains Les pauvres des villes du sud motivés par des emplois et une meilleure nutrition Notre production est entièrement écologique - Nous n'utilisons aucun pesticide, mais à côté des laitues et des tomates nous plantons du basilic, du persil et de la menthe, qui éloignent naturellement les insectes. Un jardin urbain « zéro pollution » et « zéro déchet » - Serge va se dépenser sans compter pour réussir le tour de force de cultiver un jardin bio sur une terrasse en pleine ville. Sans voiture, il rapporte en métro des kilos de terreau chipés au Jardin des Plantes ! litière. Kokopelli à Alès, dans le Gard - Libération des semences et de l'humus Matériel pour les jardins suspendus - l'univers de l'hydroponie et du jardinage high-tech

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