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Agriculture urbaine : l'avenir est sur les toits

Agriculture urbaine : l'avenir est sur les toits

Colombie: Les toits potagers, nouvelle source d’alimentation ? Colombie / / Amérique du sud Pour améliorer leur quotidien, les habitants des quartiers pauvres de Soacha se sont inspirés des toits verts qui fleurissent désormais un peu partout dans le monde, en y ajoutant une touche personnelle : plutôt que de semer des fleurs ou du gazon, ils préfèrent y planter des légumes. Exemple de toits convertis en potagers à Toronto. © Sookie Agriculture et recyclage Frappés de plein fouet par le déluge attribué à la Niña, des milliers de réfugiés sont relogés à la hâte dans des maisons tout aussi précaires que celles qu’ils ont perdues. Les légumes sont semés dans des bouteilles en plastique récupérées, unies entre elles par des tubes conduisant l’eau d’une plante à l’autre. Des quantités qui permettent non seulement de subvenir aux besoins familiaux, mais aussi de revendre l’excédent pour arrondir les fins de mois difficiles. Nourriture, développement et dépollution Ce type de toiture offre les mêmes caractéristiques que les toits verts conventionnels.

Les abeilles et les fleurs communiquent grâce au courant électrique Les fleurs émettent un faible champ électrique qui signale aux insectes pollinisateurs la présence de nectar dans leur corolle. C'est ce que dévoile une nouvelle étude publiée dans la revue Science Express et menée par les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol. "Quand un bourdon s'approche d'une fleur, on voit les grains de pollen sauter sur lui avant qu'il se pose. Le bourdon est chargé positivement alors que la fleur émet un faible champ électrique chargé négativement. Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol ont observé plus de 200 abeilles pendant la collecte de pollen de pétunias.

Chaire ParisTech « Éco-Conception des ensembles bâtis et des infrastructures » Ce rapport s’organise en quatre chapitres. Le premier chapitre présente la complexité et la diversité de l’agriculture urbaine via une étude de définitions, et également les variables qui conditionnent les projets d’agriculture urbaine (système économique, acteurs, produits cultivés etc.). Le deuxième chapitre montre en quoi l’agriculture urbaine est multifonctionnelle, puis le troisième chapitre aborde les différents modes de production utilisés dans les projets actuels et les enjeux qui en découlent. Enfin, le dernier chapitre donne des éléments d’information sur les facteurs de réussite et les obstacles rencontrés par les différentes gouvernances politiques, et en quoi l’agriculture urbaine pourrait-être un outil d’aménagement du territoire pour les villes de demain. Quelques résultats des enquêtes faites sur les porteurs de projet parisiens montreront en quoi il y a aujourd’hui de nombreuses interrogations et un besoin de suivi et de recherche très important.

L’agriculture urbaine dans la ville africaine L’agriculture urbaine dans les pays du Sud est un phénomène remarquable dans toutes les grandes villes, et est devenue un levier d’action pour les politiques de développement humain et de lutte contre la pauvreté en ville. Selon la FAO, en Afrique subsaharienne, où l’urbanisation s’accélère alors que le secteur industriel se développe peu, 40 % des ménages urbains ont des activités agricoles en ville. Dans un contexte où les opportunités d’emploi sont rares, la pratique de l’agriculture dans la ville permet de générer des revenus pour les familles et de subvenir à leurs besoins alimentaires. Bobo-Dioulasso, deuxième ville du Burkina Faso, est souvent qualifiée de « ville agricole » de par le nombre d’activités agricoles qui y sont pratiquées et le fait que ses industries fonctionnent à partir de produits agricoles (usines de traitement du coton, huileries et savonneries, brasseries). Une ville, des agricultures Les conditions au maintien de l’agriculture en ville

Le toit potager c'est: - Ensemble faisons des toits intelligents Comme nous l’avons constaté précédemment, il existe peu ou pas de terrains propices à la culture maraîchère en agglomération. Pourtant il existe une superficie inexploitée et cultivable après aménagements : les toits terrasses des immeuble de nos villes, petites moyennes ou grandes. Imaginons chaque immeuble disposant d’un toit terrasse, accueillant un potager capable de fournir des légumes, aromates et baies ou fruits de saison à chaque copropriétaire (ou locataire dans le cadre des logements publics, voire des immeubles abritant des bureaux) Imaginons tous ces toits Verts, Productifs, Ecologiques, Sains, Utiles pour l’Environnement. Régulateurs de température et absorbant le CO2. Respectant la culture traditionnelle, gardiens de la santé de nos concitoyens. Refusant l’emploi de pesticides et d’engrais chimiques. Favorisant la lutte pour le pouvoir d’achat (manger sain et moins cher) Ajoutant une plus value immobilière évidente et offrant des espaces verts supplémentaires à la commune.

Film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste » Le film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste – produits frais et bonnes pratiques » présente le portrait de deux chefs de cuisine de restauration scolaire dont les pratiques sont remarquables à bien des égards, André Parra et Dominique Valadier. Parmi les bonnes pratiques mises en œuvre par ces deux cuisiniers on retrouve l’utilisation de produits frais, bruts, de saison, en provenance de producteurs locaux et en partie issus de l’agriculture biologique. Ils brisent ainsi certaines idées préconçues sur la restauration collective et donnent de nombreuses pistes permettant de tendre vers une cuisine gastronomique en collectivité. André Parra travaille au lycée Paul Héraut de Gap dans les Hautes-Alpes. Film produit par Frédéric Gana pour l’association Slow Food France 2010 – et réalisé par Brice B. & Matthieu Toucas sur une idée originale de Frédéric Gana. TÉLÉCHARGER ICI LE COUPON DE COMMANDE à renvoyer à l’adresse: Slow Food 153, avenue de Grammont vvv

Comment nourrira-t-on les mégapoles du futur ? Depuis la publication du désormais fameux rapport du McKinsey Global Institute sur les mégapoles de 2025, nous en savons un peu plus sur les véritables rapports de force qui structureront progressivement les relations internationales dans les prochaines décennies. Les Etats d’aujourd’hui (entre 185 et 193 selon les critères de reconnaissance utilisés) devraient conserver leurs contours géographiques et leurs prérogatives apparentes mais, de plus en plus, pour ce qui concerne la production, les investissements, la consommation et les échanges, le monde « utile » sera circonscrit aux 600 plus grandes villes du monde. En 2025, tout comme en 2007, ces 600 villes produiront 60 % de la richesse mondiale, mais la composition de ce peloton de tête urbain aura considérablement changé. Concentrations humaines Quelques chiffres pour prendre la mesure du basculement. Comment nourrir ces mégapoles dans un monde aux ressources naturelles de plus en plus limitées ? Rappelons le contexte. Sky Greens

Une serre sur mon toit | Communauté ZEROCO2 par Jonathan Lemay Crédit photo: Fermes Lufa, licence: CC BY SA 2.0 ( Plusieurs organisations prêtent maintenant le toit de leur édifice pour en faire un jardin durant l’été. Une première au Canada Les Fermes Lufa de Montréal sont les premiers à mettre sur pied ce type d’installation au pays. Des possibilités infinies L’idée est si bonne qu’on se demande pourquoi on n’y a pas pensé avant. L’entreprise Better Food Solutions pousse l’audace encore plus loin et propose de construire des serres sur le toit des supermarchés. Pendant ce temps, des chercheurs de partout s’intéressent au projet des Fermes Lufa à Montréal qui prédit une forte croissance de ce marché dans les prochains mois. À lire aussi

Comment mieux manger en dépensant moins -Les ventes directes court-circuitent les intermédiaires A la ferme, dans des boutiques de producteurs, sur Internet… Les solutions pour acheter des produits locaux et de qualité se multiplient. Souvent plus savoureux que les aliments de supermarché, mais pas forcément plus chers. Les primeurs, la viande ou le fromage, tout vient du coin. C’est abordable et meilleur qu’à l’hypermarché !» Bien que située en zone commerciale, la supérette est d’un genre nouveau : une boutique de producteurs gérée et approvisionnée par un groupement d’agriculteurs de la région. Comme le raconte Danièle, il est donc possible, sans se ruiner, de manger bien mieux qu’en faisant ses courses à l’hyper, en passant par ce que les professionnels appellent les «circuits courts». Pour partie, cette tendance recouvre des pratiques séculaires.

Un travail de rêve Le chef Simon Devost-Dulude apprécie chaque moment passé dans son jardin du Palais des congrès de Montréal. Photo : Jean-François Villeneuve / 24H À la tête de la brigade culinaire du Palais des congrès depuis l'automne 2011, le chef Simon Devost-Dulude s'est vu confier non seulement l'une des plus vastes cuisines de Montréal, mais aussi le jardin aménagé sur le toit de l'institution. Une offre de rêve! « Je ne connais pas un chef qui ne voudrait pas d'un jardin de même », avoue avec fierté M. Chaque matin, il vient siroter un café dans son garde-manger vivant, profiter du soleil et inspecter les boîtes de fines herbes et de petits légumes qui parsèment les toits de l'établissement. « C'est sûr qu'on ne peut pas avoir assez de tomates-cerises pour 3000 personnes, mais quand on a un événement ciblé, ou même haut de gamme, on va essayer au maximum de se servir de nos propres produits. » Gravir les échelons M. jf.villeneuve@quebecormedia.com

Les légumes anciens interdits à la vente - Ariège Ils égayent nos marchés avec leurs couleurs années « 70 » et leurs formes improbables, à mi-chemin entre des mini Barbapapa amusantes et des sex toys turgescents. Sauf que… vendre de vieux légumes ou légumes anciens peut nous mener tout droit au panier à salade. À tout le moins au regard de la loi. Les maraîchers n'ont pas le droit d'acheter des graines de vieux légumes, a fortiori de les vendre ni même de les échanger. Une législation sous fond de rentabilité, que certaines associations et autres défenseurs de la biodiversité dénoncent avec plus ou moins de virulence. Denis, lui, est un petit producteur ariégeois qui ne laisserait son espace de liberté en jachère pour rien au monde.

InfoCuria Language of document : Mme Juliane Kokott présentées le 19 janvier 2012 (1) Affaire C‑59/11 Association Kokopelli contre Graines Baumaux SAS [demande de décision préjudicielle formée par la cour d’appel de Nancy (France)] «Agriculture – Validité – Directive 2002/55/CE – Légumes – Commercialisation des semences – Interdiction de commercialiser des semences de variétés qui ne sont pas officiellement admises et inscrites au catalogue des variétés – Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture – Principe de proportionnalité – Liberté d’entreprise – Circulation des marchandises – Égalité de traitement» I – Introduction 1. 2. 3. 4. II – Le cadre juridique A – Le traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (TIRPAA) 5. 6. «5.1. 7. «6.1. 6.2. d) élargir la base génétique des plantes cultivées et accroître la diversité du matériel génétique mis à la disposition des agriculteurs; 8. B – Le droit de l’Union 9. 1.

décembre Découvrir toutes les recettes bio Les fruits et légumes de saison et locaux : décembre Les fruits de décembre Les légumes de décembre Retour au calendrier des fruits et des légumes de saison Cuisine-Saine.fr,le blog cuisine bio est une marque déposée Tous droits réservés Copyright © 2014 Design Shemu Développement Freelance web Les semences traditionnelles en danger? Relisez le chat avec Nature et Progrès "Les agriculteurs sont tenus d'utiliser des semences inscrites au catalogue et donc généralement d'acheter des semences produites par des semenciers. Cela représente donc un coût supplémentaire pour le producteur", explique aux internautes Sophie Maerckx de Nature et Progrès. Pour être inscrites dans ce catalogue, "les semences doivent passer un test DHS : distinction - homogénéité – stabilité", précise-t-elle : "cela signifie que la variété de semences doit être différente de celles déjà inscrite (distinction). Elle doit être homogène : les individus de cette variété doivent être identiques aux critères définissant la variété. Et elle doit être stable : au fur et à mesure des générations, les individus doivent être identiques. Le coût d'inscription est de 200 euros pour l'ouverture du dossier, auxquels il faut ajouter 600 euros pour l'examen DHS. Privilège fermier "La décision de la Cour de Justice de l'Union européenne dans l'affaire Kokopelli porte sur les semences de légumes.

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