Tous les croquis de géographie au lycée en Terminale
Sommaire (cliquez sur les boutons) Jacques MUNIGA Docteur en Géographie, aménagement et urbanisme Docteur de 3e cycle en géographie et aménagement D.E.S.S. en droit de l'urbanisme D.E.S.S. en Aménagement rural Diplômé ICH - Arts et Métiers Paris Auteur et co-Auteur de manuels scolaires (chez MAGNARD, NATHAN, HACHETTE, LE LIVRE SCOLAIRE) Croquis pour le Bac Jacques Muniga, docteur en Géographie A) Clés de lecture d'un monde complexe Ministère de l’éducation nationale (DGESCO - IGEN) Orientation pour le baccalauréat série S - Rien Orientations pour le baccalauréat série L & ES À l’examen, ce thème ne peut donner lieu qu’à une étude critique d’un ou de deux documents Proposition de croquis pour comprendre cette question et l'utiliser en tant que schéma pour accompagner une étude critique (cliquez sur l'image) B) Les dynamiques de la mondialisation Deux croquis peuvent être demandés : - Pôles et flux de la mondialisation. - Une inégale intégration des territoires dans la mondialisation. continentales
Accords du Plaza
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les accords du Plaza sont un accord sur les taux de change signé le entre les États-Unis, le Japon, la RFA, le Royaume-Uni et la France (c'est-à-dire le G5). Ces pays acceptent, entre autres choses, d'intervenir sur le marché des changes afin de déprécier le cours du dollar américain par rapport à ceux du yen et du Deutsche Mark. Les accords ont été signés au Plaza Hotel à New York. Motivation[modifier | modifier le code] Après la fin des accords de Bretton Woods, en mars 1973, les grands pays se rendent compte que le "laissez-faire" sur le marché des changes ne fonctionne pas parfaitement. Les raisons de la nécessité de cette dépréciation sont les suivantes : Effets[modifier | modifier le code] Dix milliards de dollars sont dépensés sur les marchés des changes[réf. souhaitée]. Effets à long terme[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Approfondir
Discours de Grenoble
«Le discours de Grenoble est une folie, mais une folie assumée», écrit Pierre Cornu, historien (université Clermont-2). La trangression républicaine que constitue la discrimination des Français selon leur origine, et l'assimilation de l'étranger au déliquant amène à la prise de conscience que le sarkozysme est «une illusion mortifère de prise en compte des besoins et des attentes de la nation, dans le reniement de ses héritages les plus précieux et de ses intérêts véritables.» Le durcissement spectaculaire, en discours comme en actes, de la politique sécuritaire et migratoire française depuis le début de l'été 2010 ne constitue pas seulement le signe de l'échec définitif de la stratégie d'ouverture à gauche du président de la république, et la recherche, suite à la défaite de l'UMP aux élections régionales, d'une majorité de rechange incluant le Front national dans la perspective de l'élection présidentielle de 2012. Que la République sombre ou se régénère, l'été 2010 fera date.
CE QUE RÉSISTER VEUT DIRE
Pierre Cornu et Jean-Luc Mayaud, Enseignants d’histoire contemporaine des Universités Le peuple souverain s’est prononcé : après une campagne longue et intense, dans une participation massive et à une majorité indiscutable, il a choisi, avec Nicolas Sarkozy, le candidat de la « liquidation » des héritages et des idéaux de l’humanisme social. Nous sommes les liquidés : intellectuels de la « pensée unique de gauche », chercheurs qui ne trouvent jamais rien d’utile, « droits-de-l’hommistes » incorrigibles, oppresseurs de la fierté nationale, partisans des « fraudeurs » des « assistés » et, qui sait, peut-être complices de « terroristes ». Mais reconnaître la défaite de la pensée n’implique pas de renoncer à penser. Ce pays de passion politique ne fait jamais rien à demi. Nous refusons cette main tendue ; nous refusons la normalisation néo-conservatrice. Celle-ci ne peut toutefois se concevoir dans la répétition, fut-elle généreuse et sincère, de gestes hérités.
Accords de Bretton Woods
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les accords de Bretton Woods sont des accords économiques ayant dessiné les grandes lignes du système financier international en 1944. Leur objectif principal fut de mettre en place une organisation monétaire mondiale et de favoriser la reconstruction et le développement économique des pays touchés par la guerre. Les deux protagonistes principaux de cette conférence ont été John Maynard Keynes, qui dirigeait la délégation britannique, et Harry Dexter White, assistant au secrétaire au Trésor des États-Unis, qui avaient tous deux préparé un plan d'ensemble. Le plan Keynes fut ébauché dès 1941 et préparait un système monétaire mondial fondé sur une unité de réserve non nationale, le bancor. La partie américaine mettait en avant le rôle de pivot du dollar américain et proposait plutôt de créer un fonds de stabilisation construit sur les dépôts des États membres et une banque de reconstruction pour l'après-guerre.