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Milton Friedman American economist and statistician (1912–2006) Friedman's challenges to what he called "naive Keynesian theory"[12] began with his interpretation of consumption, which tracks how consumers spend. He introduced a theory which would later become part of the mainstream and among the first to propagate the theory of consumption smoothing.[6][13] During the 1960s, he became the main advocate opposing Keynesian government policies,[14] and described his approach (along with mainstream economics) as using "Keynesian language and apparatus" yet rejecting its initial conclusions.[15] He theorized that there existed a natural rate of unemployment and argued that unemployment below this rate would cause inflation to accelerate. Early life[edit] Jenő Saul Friedman, Milton Friedman's father Friedman was born in Brooklyn, New York on July 31, 1912. Milton Friedman and future wife Rose Friedman in 1935 Public service[edit] The NBER, where Friedman worked, starting in 1937 Academic career[edit] Death[edit]
CE QUE RÉSISTER VEUT DIRE Pierre Cornu et Jean-Luc Mayaud, Enseignants d’histoire contemporaine des Universités Le peuple souverain s’est prononcé : après une campagne longue et intense, dans une participation massive et à une majorité indiscutable, il a choisi, avec Nicolas Sarkozy, le candidat de la « liquidation » des héritages et des idéaux de l’humanisme social. Nous sommes les liquidés : intellectuels de la « pensée unique de gauche », chercheurs qui ne trouvent jamais rien d’utile, « droits-de-l’hommistes » incorrigibles, oppresseurs de la fierté nationale, partisans des « fraudeurs » des « assistés » et, qui sait, peut-être complices de « terroristes ». Enfin démasqués, désavoués, désarmés. Et si l’on nous accorde le bénéfice de la sincérité, cruellement atteints par ce verdict. Mais reconnaître la défaite de la pensée n’implique pas de renoncer à penser. Ce pays de passion politique ne fait jamais rien à demi. Nous refusons cette main tendue ; nous refusons la normalisation néo-conservatrice.
Discours de Grenoble «Le discours de Grenoble est une folie, mais une folie assumée», écrit Pierre Cornu, historien (université Clermont-2). La trangression républicaine que constitue la discrimination des Français selon leur origine, et l'assimilation de l'étranger au déliquant amène à la prise de conscience que le sarkozysme est «une illusion mortifère de prise en compte des besoins et des attentes de la nation, dans le reniement de ses héritages les plus précieux et de ses intérêts véritables.» Le durcissement spectaculaire, en discours comme en actes, de la politique sécuritaire et migratoire française depuis le début de l'été 2010 ne constitue pas seulement le signe de l'échec définitif de la stratégie d'ouverture à gauche du président de la république, et la recherche, suite à la défaite de l'UMP aux élections régionales, d'une majorité de rechange incluant le Front national dans la perspective de l'élection présidentielle de 2012. Que la République sombre ou se régénère, l'été 2010 fera date.
Accords du Plaza Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les accords du Plaza sont un accord sur les taux de change signé le entre les États-Unis, le Japon, la RFA, le Royaume-Uni et la France (c'est-à-dire le G5). Ces pays acceptent, entre autres choses, d'intervenir sur le marché des changes afin de déprécier le cours du dollar américain par rapport à ceux du yen et du Deutsche Mark. Les accords ont été signés au Plaza Hotel à New York. Motivation[modifier | modifier le code] Après la fin des accords de Bretton Woods, en mars 1973, les grands pays se rendent compte que le "laissez-faire" sur le marché des changes ne fonctionne pas parfaitement. Les raisons de la nécessité de cette dépréciation sont les suivantes : Effets[modifier | modifier le code] Dix milliards de dollars sont dépensés sur les marchés des changes[réf. souhaitée]. Effets à long terme[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Approfondir
Consensus Washington Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Solution-type à la crise de la dette de l’État[modifier | modifier le code] En Amérique latine, la « décennie perdue » des années 1980 avait été marquée par une profonde crise économique, une hyperinflation dévastatrice, la déstructuration sociale et des instabilités politiques. La crise de la dette extérieure, écartant le sous-continent des marchés financiers, le priva d'investissements extérieurs, avec un transfert net (négatif) de ressources financières, de près de 25 milliards de dollars en moyenne annuelle, en direction du Nord[2]. Le « paquet » de réformes recommandées aux États se trouvant face à une crise de la dette accompagnée de récession et d'hyperinflation, est résumé dans l'article paru en 1989 sous la plume de l'économiste John Williamson, qui met en avant dix propositions : L'un des arguments en faveur de ce programme est l'existence d'administrations étatiques pléthoriques et parfois corrompues. Portail de l’économie