L’homme a-t-il vraiment peur d’aimer ? | Psychiatrie
- Il semblerait qu’au-delà de la peur de s’engager, c’est bien la peur d’aimer qui domine. Souvent ces hommes sont même inconscients de leur peur et de leur incapacité à aimer. Or, comme nous l’avons cité plus haut, pour aimer il faut donner : de son temps, de son énergie, de soi . Malheureusement, aujourd’hui nous sommes tous des preneurs et nous plaignons en permanence de ne pas recevoir assez. En sont pour preuve les manifestations de séduction à outrance de beaucoup d’hommes alors qu’ils savent parfaitement dès le départ qu’ils ne cherchent qu’une rencontre brève et purement sexuelle. - Mon propos s’illustre par le cas de Martial, bel homme de 48 ans très indépendant qui ne cesse de multiplier les rencontres avec des femmes toujours plus jeunes et très séduisantes qu’il attire grâce ses charmes et à son goût de la vie. Tel est le cas de Martin, solide campagnard de 36 ans, marié à Jeanne depuis 8 ans, et qui me consulte pour une dysfonction érectile d’apparition brutale.
parler pour exister | Remettre le monde à l'endroit.
Quelle alternative au patriarcat ? - Polyamour.be
Nombre de réflexions relatives à maints problèmes contemporains évoquent, parmi les causes du mal qu’elles analysent, l’organisation patriarcale de notre société. Qu’il s’agisse de l’aliénation, du harcèlement moral ou sexuel, de la discrimination sexiste au travail ou en politique, de la violence conjugale masculine, du sexisme, de la prostitution, de l’homophobie, de la pornographie, de la pédophilie, etc., le patriarcat est fréquemment dénoncé comme responsable. Des actions "anti-patriarcat" sont repérables dans la presse, le monde associatif, le féminisme, les mouvances libertaires, les luttes sociales. Mais, au-delà de la lutte, que propose-t-on ? que fera-t-on après la victoire ? On est en effet pris de perplexité lorsqu’on s’interroge sur une éventuelle diversité de choix culturels qui ferait apparaître, à côté du patriarcat, une ou d’autres formes d’organisation familiale et sociale. Du côté de la postérité Du côté de la solidarité Il semble que cela soit plus simple.
Prostitution, pauvreté, immigration, … | Perspectives Média
Par sa définition simple, la prostitution, c’est une pratique qui consiste à échanger des relations sexuelles contre une rénumération. Cette activité est sans doute l’un des plus vieux métiers du monde comme témoignent plusieurs traditions ancestrales. Aujourd’hui, en Europe, plus particulièrement en Belgique, la prostitution est devenue monnaie courante. De ce fait, beaucoup d’immigrées à la recherche d’une vie meilleure sont facilement exposées à la tentation. Car, la prostitution exploite souvent la pauvreté. Un samedi soir en plein cœur de Bruxelles, près de la Gare du Nord. Changeons de décor pour aller dans une autre ville de la Belgique. Un réseau de business du sexe En 2010, les chiffres du Rapport de Médecins du Monde faisaient froid dans le dos. à en croire les déclarations de cette organisation non gouvernementale internationale, les revenus annuels de la prostitution furent estimé à plus de 187 milliards d’euros.
Le désir féminin existe-t-il ? - Les 400 culs
Bien décidé à savoir s’il existe une différence entre le désir masculin et le désir féminin, Serge Moati enquête. Dans un documentaire réjouissant, le voilà qui part à l’assaut des poncifs… au fil de séquences qui le font passer d’un appartement rempli de phallus multicolores à un atelier «sexe et maternité» réservé aux femmes. Monté comme un polar, le documentaire ménage son suspens jusqu’au bout et finit en happy end. «Mon désir masculin, que je ressens comme plutôt mystérieux, ressemble-t-il à celui des femmes ? Tu es une femme, tu ne peux pas «baiser»Dès la première rencontre, Serge Moati attaque : «Qu’est-ce qui fait que pour toi un garçon est désirable ?». Tu es une femme, tu n’apprends pas à désirer Deuxième rencontre : avec Belinda Cannone, auteur d’un Petit éloge du désir, Serge Moati obtient confirmation : «L’éducation des femmes c’est qu’elles deviennent les objets du désir masculin, on ne leur apprend jamais à désirer le corps des hommes ?» Femmes : Serge nous t’attendions !
Le coït, une aberration totale (sauf si on regarde sa fonction dans le patriarcat) | jeputrefielepatriarcat
Je viens de découvrir avec beaucoup de joie une phrase de Christine Delphy dans la video de sa présentation du livre "femmes de droites" d’Andrea Dworkin à Violette & Co. Enfin un peu de bon sens! Elle parle brièvement de l’arnaque du "libéralisme sexuel" et la fonction qu’ont les contraceptifs et avortements dans le maintien de l’asservissement des femmes par les hommes – (qui passe par le coït): "l’avortement, c’est ce qui va rendre toutes les femmes disponibles à tous les hommes. [...] Or, aujourd’hui, la pilule et l’avortement font que nous n’avons plus ce moyen de négociation possible, nous n’avons plus d’excuses pour refuser le coït aux hommes. On ne pourrait pas être plus loin de la vérité. Voici ce qu’en dit Factcheckme: Nous avons donc les facteurs suivants: 1. nous, les femmes, à l’inverse des hommes, avons une machine à reproduire des bébés à l’intérieur de nous. 2. 3. 4. 6. 7. 8. Pour reciter Factcheckme: Et ici: (source) Donc, je résume. Like this: J'aime chargement…
Et si vous aidiez ce studio à financer un jeu qui se contrôle avec les muscles du vagin
Point de manette, de souris ou de clavier nécessaires dans le runner Skea (mobile), mais un étrange objet à insérer dans le vagin. C’est ensuite la contraction des muscles pelviens qui permettra à votre avatar de progresser dans le jeu. Vous le savez si vous avez fait un peu de biologie dans votre cursus scolaire, les muscles pelviens sont les muscles qui entourent le vagin, et on a dû déjà vous dire aussi que, pour plein de raisons (soutenir ses organes internes, se prémunir des fuites urinaires, etc.), les avoir raffermis est une très bonne chose. Cet argument a été entendu et repris par le studio chinois Linkcube Studio qui a lancé un Kickstarter pour le développement d’un jeu que les jeunes femmes du monde pourront contrôler avec leurs muscles pelviens. L’idée, c’est d’insérer cet objet dans son vagin, et de pouvoir, via une connexion Bluetooth ainsi que des capteurs de mouvement, faire sauter votre avatar dans un jeu mobile.
Masters & Johnson : orgasmes, oh des espoirs
Ce samedi se déroule la journée mondiale de l’orgasme. Comme il y a une «journée» pour tout, elle succède à la journée internationale de la solidarité humaine et précède la journée mondiale de la paix. A se demander d’ailleurs pourquoi les trois n’ont pas été regroupées puisque celle de l’orgasme, lancée en 2006, souhaite également promouvoir la «paix mondiale». Sur leur site, les organisateurs, sans donner la source de leurs informations, nous expliquent que, «chaque jour sur Terre, les hommes et les femmes ont plus de 2,5 milliards d’orgasmes, plus de 100 millions par heure, 1,5 million par minute». Si l’humanité a autant de plaisir à chaque instant, elle le doit peut-être en partie à deux Américains, William H. Le récit ne sort pas de l’imagination des scénaristes hollywoodiens mais d’une biographie de Thomas Maier car, comme on dit, il est «tiré d’une histoire vraie». Du sexe «Un des plaisirs de ce travail a été de détruire les vaches sacrées», s’amusait William Masters. De l’amour