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Destruction créatrice

Destruction créatrice
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La « destruction créatrice » désigne le processus continuellement à l'œuvre dans les économies et qui voit se produire de façon simultanée la disparition de secteurs d'activité économique conjointement à la création de nouvelles activités économiques. L'expression est associée à l'économiste Joseph Schumpeter (1883 ‑ 1950) qui en assure une large diffusion avec la parution de son livre Capitalisme, Socialisme et Démocratie publié en anglais aux États-Unis en 1942, traduit en français en 1951. L’idée s'inspire de la pensée du philosophe Friedrich Nietzsche (1844 ‑ 1900) et de la formulation proposée pour la première fois par l’économiste Werner Sombart (1863-1941). Elle a été reprise par Théodore Levitt dans Innovation et marketing (1969). Origine de la destruction créatrice[modifier | modifier le code] Les effets de la destruction créatrice[modifier | modifier le code] Theodore Levitt et la destruction créatrice[modifier | modifier le code]

Johann Heinrich von Thünen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Johann Heinrich von Thünen Johann Heinrich von Thünen, né le 24 juin 1783 à Canarienhausen, aujourd'hui Wangerland, Basse-Saxe, décédé le 22 septembre 1850 à Tellow près de Teterow, Mecklenburg, était un économiste allemand. Biographie[modifier | modifier le code] Après une enfance passée à Hooksiel et Jever en Basse-Saxe, von Thünen reçoit de 1799 à 1803 un enseignement agricole délivré par plusieurs exploitants dans la région de Hambourg. Après son mariage en 1806, il prend en fermage une exploitation en Poméranie. En 1818, von Thünen devient membre d'une association patriotique locale, puis assure durant deux ans les fonctions de directeur du district de Teterow. En 1842, il fait paraître une édition revue et augmentée de son livre chez Leopold à Rostock. Théorie[modifier | modifier le code] Von Thünen a développé les bases mathématiques de la théorie de la productivité marginale, résumées par la formule suivante :R=r (p – c) – r*T*m Avec :

Théorie de la localisation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de la localisation s'intéresse à la localisation géographique des activités économiques. Elle est devenue une partie intégrante de la géographie économique, des sciences régionales et de l'économie spatiale. La théorie de la localisation répond à la question : Quelles activités économiques se localisent où et pourquoi ? La théorie de la localisation se base principalement sur la théorie microéconomique, notamment sur l'hypothèse que les acteurs économiques agissent dans leur propre intérêt. Origines[modifier | modifier le code] Même si certains chercheurs plus anciens devraient recevoir quelques crédits, (Richard Cantillon, Etienne Bonnot de Condillac, David Hume, Sir James D. Avant les travaux d’Alfred Weber, Carl Wilhelm Friedrich Launhardt a conçu une grande partie de ce pour quoi Weber a reçu crédit. Références[modifier | modifier le code] ↑ Thünen, Johann Heinrich von. 1783-1850. Liens externes[modifier | modifier le code]

Votre ville est-elle inégalitaire ? Les inégalités se creusent en France. Et pour cause : le nombre de pauvres augmente, le niveau de vie médian baisse... et dans le même temps le pouvoir d’achat des plus riches grimpe, comme le révélait en septembre la dernière étude de l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) sur le niveau de vie des Français. Qu’en est-il dans votre ville ? Et chez vos voisins ? Et là où vivent vos parents ? Comment utiliser cette carte ? Cette carte compare près de 600 communes de France selon leur coefficient de Gini. Pour vous aider à situer et comparer votre ville, voici 5 catégories : 1) Votre ville ressemble à Neuilly-sur-Seine, Le Vésinet ou ParisC’est le cas si votre ville a un indice de Gini élevé et une médiane de revenus élevée. Neuilly-sur-Seine est à la fois la ville la plus inégalitaire de France et l’une des plus riches du pays. « On y compte beaucoup de très riches mais aussi quelques pauvres, à cause des chambres de bonne. 5) La France périphérique

Définitions et méthodes - Sphère économique (ancienne définition) Définition Les sphères économiques sont définies selon la logique qui induit la localisation de l'activité. La notion de sphère est utilisée dans le système d'information « Connaissance locale de l'appareil productif » (Clap) pour analyser conjointement les données localisées relatives aux postes occupés et aux salaires versés. - La sphère productive : l'emploi suit les entreprises pour les secteurs orientés vers les marchés extérieurs. Remarque Ce découpage reste schématique, puisque tous les secteurs sont productifs car créateurs de valeur ajoutée, les services aux personnes comme le tourisme ne sont pas à l'abri de la conjoncture internationale. Sauvons l'artisanat ! - EcoRéseau : EcoRéseau Rarement sous les feux de la rampe, l’artisanat poursuit pourtant son bonhomme de chemin, entre les morsures de la crise et la concurrence des grands groupes. Charmantes anomalies, gages d’une qualité made in France, ou structures de proximité inégalables ? Les trois, mon capitaine. Plus une semaine sans l’annonce de la suppression de milliers d’emplois dans une grande entreprise. Et à chaque fois, la même impression que l’économie française se délite un peu plus de jour en jour. Malgré cette forte implantation en France, l’artisanat demeure pourtant un secteur mal compris, et mal connu. Incompris des décideurs, mais appréciés des consommateurs. L’artisan jouit aussi d’autres atouts majeurs dans sa manche. Mais chaque médaille a son revers. Même constat de schizophrénie en ce qui concerne l’innovation. Aussi importe-t-il aujourd’hui que la filière réalise les bons choix stratégiques. Article réalisé par Olivier Faure Category: Club Entreprendre

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