Les chefs d'entreprise, les réseaux sociaux, et la RSE D’autres études montrent que la plupart des chefs d’entreprises ne mesurent pas à quel point les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont changé le monde, et l’environnement économique dans lequel leurs entreprises évoluent. Selon une récente étude "IBM’s 2012 Global CEO Study", seulement 16 % des plus de 1 700 chefs d’entreprises interrogés considèrent que la place des réseaux sociaux relève de la stratégie. La quasi-absence des chefs entreprises et des directions générales sur les réseaux sociaux est d’autant plus incompréhensible que leurs salariés – en particulier les plus jeunes et la fameuse génération Y – s’y impliquent, plébiscitant avec enthousiasme cet espace d’expression, les interactions qui s’y déroulent, et les immenses possibilités qui leur sont offertes en termes de rencontres et d’échanges, qui sont autant de sources d’apprentissage, de connaissances, et d’épanouissement personnel et professionnel.
Les cinq piliers de l’intranet social Avec l'arrivée des réseaux sociaux dans la sphère privée, l'évolution des technologies, les nouvelles attentes des collaborateurs... la perception de l'intranet a considérablement évolué. "L'intranet social devient un ‘must have' pour l'entreprise moderne désireuse de s'affranchir d'un partage top-down de l'information et de s'appuyer sur un espace de travail agréable, simple, convivial et facteur de productivité" constate Alexandre Mermod, CEO de Calinda Software. Les principales caractéristiques de l'intranet social sont les suivantes : 1er pilier : l'auto-organisation Les collaborateurs ont besoin d'interagir entre eux. De plus en plus autonomes, ils doivent pouvoir prendre l'initiative de se regrouper spontanément autour d'un projet ou d'une communauté d'intérêts. 2e pilier : la conversation La conversation est une donnée centrale de l'intranet social. 3e pilier : la propagation de l'information 4e pilier : la capitalisation 5e pilier : l'attractivité
Personnalisation du message marketing : enfin une réalité ? par Christophe Marée - Chronique e-Business Personnalisation. La première fois que j’ai entendu ce mot, c’était au début du e-commerce. Or, il en existe plus de définitions qu’il y a de lettres dans le mot lui-même. Commençons par évoquer ce qu’elle n’est pas :* Il ne s’agit pas d’une simple formule de politesse « personnalisée » : « Cher CHAMP À COMPLÉTER, client et destinataire de cet e-mail tellement personnel. » Les clients ne sont pas bêtes ; ils savent reconnaître un message qui ne s’adresse pas directement à eux. Voici quelques pistes de réflexion :* Culture et processus : quelle place votre entreprise accorde-t-elle à la personnalisation ?
Le réseau social n'a de sens que si l'entreprise a identifié des besoins S'il n'est proposé que pour correspondre à une tendance, un site collaboratif n'aura que peu de chances de s'ajouter aux habitudes des salariés. Pour que cela fonctionne, il faut qu'il réponde à un objectif business, et que les collaborateurs soient accompagnés. On le sait, pour les entreprises, les réseaux sociaux sont une véritable opportunité pour favoriser le partage de bonnes pratiques entre des salariés éloignés géographiquement, nombreux, et appartenant à des services et des Directions différentes. Comme par exemple, les populations fonctionnelles (RH, compta, informatique...), ou bien des forces de vente. Pour autant, ce type de site est loin d’engendrer le même enthousiasme auprès des populations ciblées qu’auprès de ceux qui en ont l’initiative. Au cœur de la notion d'équité organisationnelle Une fois cette réflexion menée, il s’agit également d’accompagner le changement auprès des salariés. Etablir des bonnes pratiques
Tri par carte Le tri par carte est une méthode permettant d'organiser les pages d'un site web. Les pages sont représentées par des cartes en papier. L'utilisateur regroupe les cartes qui se ressemblent. Il organise ainsi le contenu du site selon son point de vue et retrouvera plus facilement les informations qu'il cherche. Mode opératoire On rédige une carte pour chaque page du site. Les cartes sont des morceaux de papier de la taille d'une grande carte de visite, de préférence en papier cartonné pour faciliter la manipulation, mais des post-its peuvent aussi convenir. Le tri par carte est effectué avec un panel d'utilisateurs représentatifs de la cible du site. Un ensemble de cartes et d'enveloppes est présenté à l'utilisateur. Le temps pour réaliser le tri n'est pas limité. Il est recommandé de ne pas dépasser les 50 cartes, car le tri risque d'être faussé par la difficulté à prendre en considération l'ensemble des cartes. Valider le contenu du site Synthèse des résultats
Des réseaux sociaux incontournables en entreprise Par Brice Ancelin. Huitième rencontre pour l’Observatoire des réseaux sociaux d’entreprise qui s’implante un peu plus encore dans le paysage numérique des organisations. Le 5 juin dernier, l’observatoire a réuni de très nombreux professionnels au siège du Medef à Paris, autour du sujet de la communication et des réseaux sociaux. Brice Ancelin. Les supports logiciels de l'ergonome Introduction : un support pour… L'ergonome dans sa pratique quotidienne a besoin d'outils pour réfléchir, formaliser des idées et modèles, et conduire des tests utilisateurs. Cet article ne détaille pas de façon exhaustive les supports logiciels de l'ergonome, mais se veut une présentation rapide des applications qui sont les plus utilisées dans la pratique de l'ergonomie informatique. La majorité des applications présentées conviennent à la pratique générale de l'ergonomie des interfaces homme-machine. Cependant, certaines sont spécifiques à la pratique de l'ergonomie du web. Les exemples proposés seront aussi orientés vers le domaine du web. Enfin, on ne parlera pas uniquement de logiciels clients, mais on étendra ce concept à des applications, des services disponibles en ligne. L'idée consiste à traiter cet article sous forme d'objectifs : Quelles applications conviennent pour quel objectif ? 1. Représenter un modèle de tâches sous forme graphique. Exemple de document réalisé avec Visio
Les réseaux sociaux d’entreprise, nouvel eldorado de la communication interne ? Adieu le journal interne, la boite à idées, le panneau d’affichage ! L’intranet a révolutionné la communication interne des entreprises. L’apparition des réseaux sociaux d’entreprise est une aubaine dans le quotidien du responsable de la communication interne pour informer les collaborateurs. Pas facile de faire accepter l’utilisation de ce nouvel outil qui doit être le pivot du plan de communication annuel. L’apparition des réseaux sociaux d’entreprise : une aubaine dans le quotidien du responsable de la communication interne ! Nous sommes à l’air de la « collaboraction »! Le Réseau Social d’Entreprise n’est pas un Facebook interne ! Utilité et applications d’un réseau social d’entreprise Information, cohésion, médiation et participation sont les quatre piliers d’un réseau social d’entreprise. L’information, c’est la base de la communication interne. La cohésion est tout aussi importante que l’information. En terme de médiation, c’est là que le bât blesse. Utilité pour le management
Témoignages : 14 professionnels expliquent leur stratégie en community management Nous avons sorti il y a quelques semaines notre grande enquête 2012 sur les community managers en France. On y découvrait le profil des professionnels en poste, leurs missions, leur salaire ou encore leur intégration dans l’entreprise. Pour faire suite à cet évènement, RegionsJob et ANOV Agency ont décidé de poursuivre l’aventure en faisant réagir 14 professionnels de la communication et du marketing aux chiffres de l’enquête. Ils en profitent pour expliquer leur vision du community management, de son avenir et de son intérêt. Le document suivant reprend ces 14 interviews. Et un merci particulier à tout ceux qui ont accepté de répondre à nos questions : Annonceurs Agences Mathieu Sitaud, Co-fondateur et social media planneur à ANOV AgencyChristophe Ramel, Social media manager à acti Médias Blogueurs Grégory Pouy, Consultant indépendant et formateur à l’Essec, Hetic, DauphineDjivan Minassian, Consultant social media, formateur et fondateur de My Community manager
2. Fenêtres principales L'interface utilisateur de GIMP est maintenant disponible en deux modes : mode multi-fenêtre, mode fenêtre unique. Quand vous lancez GIMP pour la première fois, il s'ouvre en mode multi-fenêtre par défaut. Mode multi-fenêtre Figure 3.2. La copie d'écran ci-dessus montre les fenêtres qui apparaissent à l'écran au démarrage de GIMP, après la phase initiale de chargement. Vous pouvez noter deux panneaux, gauche et droit, et une fenêtre d'image au milieu. La Boîte à outils : Elle contient un ensemble de boutons icônes servant à sélectionner un outil. La gestion des boîtes de dialogue et des fenêtres de regroupement est décrite dans Section 2.3, « Dialogues, fenêtres et onglets ». Mode fenêtre-unique Figure 3.3. Vous retrouvez les mêmes éléments, avec certaines différences dans leur gestion : Les panneaux gauche et droit sont fixes ; vous ne pouvez pas les déplacer. C'est la configuration minimale. Figure 3.4. La Boîte à outils est le cœur de GIMP.
Vers une Usine de Développement 2.0 En repartant de l’usine de développement tel que nous la connaissons aujourd’hui, nous allons tenter de vous initier à notre vision de l’UDD (Usine de développement) de demain. En effet, en interne chez OCTO nous travaillons activement sur ce sujet de recherche. Pourtant, avant de rentrer dans les séduisants concepts qu’il pourrait apporter, revenons sur les principes et limites de ce que l’on considère comme une UDD 1.0. C’est une usine logicielle, contenant des outils pour le développement et permettant d’automatiser tout ce qui peut l’être et ce dans le processus de construction logiciel de bout en bout. En effet, le développement logiciel actuel (à l’état de l’art) suit un processus centré sur l’usine de développement. Pour avoir une vision concrète d’une UDD, nous proposons de la représenter schématiquement comme ceci : On voit ici un workflow plutôt complet et répondant aux besoins de nombreux projets. Elle apporte aussi des bénéfices implicites comme : Gestion des environnements