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Sérendipité

Sérendipité
La sérendipité est le fait de faire par hasard une découverte inattendue qui s'avère ensuite fructueuse, notamment dans le domaine des sciences. Il s'agit d'une notion polysémique dont le sens varie selon la période, le contexte et la langue utilisée. Le mot, initialement anglais (serendipity), a été créé en 1754 par l'écrivain Horace Walpole à partir du conte persan Voyages et aventures des trois princes de Serendip de Cristoforo Armeno, traduit en français par Louis de Mailly. La sérendipité a d'abord été une notion littéraire qui a joué une place essentielle dans la construction d'un nombre croissant d'œuvres de fiction, comme moteur de l'intrigue des romans policiers ou de science-fiction. Au milieu du XXe siècle, la sérendipité trouve une traduction dans le domaine de la recherche scientifique où elle fait l'objet d'une discussion sur la démarche du chercheur. Histoire du mot et définitions[modifier | modifier le code] Origine et popularité[modifier | modifier le code] Related:  Fiches méthodes Compétences Méthodologiecloporte69

Discours décisif Statut de l'œuvre[modifier | modifier le code] Alain de Libera, philosophe et médiéviste, pense que le Discours décisif est le texte « le plus représentatif » de « l'homme, l'œuvre et l'époque »[1]. Il affirme que c'est davantage une œuvre juridique que théologique ou philosophique[2]. Dans le droit musulman (fiqh), un acte peut avoir cinq statuts : permis, obligatoire ou recommandé, blâmable ou interdit. La question du Discours décisif est de savoir laquelle des cinq caractérisations convient à la philosophie. Le médiéviste Rémi Brague, contrairement à Alain de Libera, cherche à relativiser l'importance de l'ouvrage à la fois dans l'œuvre totale d'Averroès et dans l'interprétation de la philosophie de ce dernier. Traductions[modifier | modifier le code] Léon Gauthier traduit le Discours décisif en 1909 à Alger sous le titre Accord de la religion et de la philosophie. Contenu[modifier | modifier le code] Les trois classes d'esprits[modifier | modifier le code] Éditions Études

Un même vocabulaire en SVT et en Physique au Collège Document récapitulatif sur le vocabulaire et compléments aux travaux des groupes du stage PHY 014 : favoriser le travail en commun des professeurs de SVT et de physique-chimie au collège. Transformations physiques — l’eau — vocabulaire associé 1- Changements d’état : pour une substance donnée 1.1 la solidification est le passage de l’état liquide à l’état solide 1.2 la fusion est le passage de l’état solide à l’état liquide 1.3 la vaporisation est le passage de l’état liquide à l’état vapeur (gazeux). Cette vaporisation peut prendre 2 formes : 1.3.1 l’ébullition : à température constante sous une pression donnée pour un corps pur (souvent on doit chauffer, exemple de l’eau à 100°C sous une pression de 1013 hPa) 1.3.2 l’évaporation : pas de critère fixe de température. 2- Brouillard, fumée 2.1 Brouillard : fines gouttelettes d’une substance liquide en suspension dans un gaz ou un mélange de gaz. 2.2 Fumée : Un gaz coloré comme le diiode à l’état gazeux n’est pas une fumée. 5-Dissolution réactif

La curiosité est-elle une qualité ou un défaut ? C'est d'ailleurs bien aux enfants que l'on apprend que "la curiosité est un vilain défaut" car ils n'hésitent pas à être intrusifs et mettre l'étranger en position de révéler des choses sur lui que n'oseraient pas lui demander ses hôtes. La curiosité est toujours un vilain défaut pour celui qui veut maintenir une forme de bienséance, de bien-pensance et ne souhaite pas trop parler des choses qui fâchent. Pour le scientifique la curiosité est essentielle puisque c'est en s'étonnant du banal qu'il questionne le réel et pose des hypothèses en réponse à ses questions, de même pour le détective qui doit "questionner une scène de crime" et "faire parler les indices" comme on le voit dans la série Colombo où le célèbre inspecteur ne cesse de poser des questions au coupable connu dès le début par le téléspectateur. Celui qui ne sait vraiment rien ne sera non plus étonné de rien, or le philosophe s'étonne donc il sait.

Abduction (logique) - Wikipédia L'article doit être débarrassé d'une partie de son jargon (janvier 2011). Sur les autres projets Wikimedia : abduction, sur le Wiktionnaire Histoire[modifier | modifier le code] Avant le XXe siècle[modifier | modifier le code] Aristote avait indirectement mis en évidence ce type de raisonnement comme un syllogisme dont la prémisse majeure est certaine et dont la mineure est seulement probable ; la conclusion n'a alors qu'une probabilité égale à celle de la mineure[1]. L'abduction est parfois connue sous d'autres noms : inférence de la meilleure explication[3] ;inférence abductive[4] ;rétroduction[5];raisonnement par hypothèse[6],[7]. Au XXe siècle[modifier | modifier le code] Le sémioticien italien Umberto Eco a appelé ce procédé la « méthode du détective[8],[n 1] ». l'abduction sur-codée ;l'abduction sous-codée ;l'abduction créative[9] ;la méta-abduction[10],[11]. Par ailleurs, le philosophe des sciences Paul Thagard distingue quatre autres types d'abduction[12]. D.A. et si on sait que .

RUPTURE ÉPISTÉMOLOGIQUE C'estGaston Bachelard qui a insisté sur le caractère illusoire de l'« expérience première », en introduisant le concept d'« obstacle épistémologique » : « La première expérience ou, pour parler plus exactement, l'observation première est toujours un premier obstacle pour la culture scientifique. En effet, cette observation première se présente avec un luxe d'images ; elle est pittoresque, concrète, naturelle, facile. Il n'y a qu'à la décrire et à s'émerveiller. On croit alors la comprendre. Dans l'ordre des sciences du social, l'observation fait place à l'opinion, dont le même Bachelard met en évidence le caractère fallacieux. Dans une certaine mesure, on peut assimiler la rupture épistémologique à la nécessité pour ces professionnels de pratiquer ce que Claude Lévi-Strauss a appelé le « regard éloigné ». Il ne faut pas perdre de vue qu'il n'existe pas de faits bruts en science, mais seulement des faits situés dans un cadre conceptuel donné.

Du bon usage des informations en ligne : "J’ai piégé le Net pour donner une bonne leçon à mes élèves" L'OBS (2012) Un corrigé sur le Net ? (Loys Bonod/LaVieModerne.net) Pendant ma première année au lycée, j’ai donné à mes élèves de première une dissertation à faire à la maison. Avec les vacances scolaires, les élèves avaient presque un mois pour la rédiger : c’était leur première dissertation de l’année. Plus tard, en corrigeant chez moi, je me suis aperçu que des expressions syntaxiquement obscures étaient répétées à l’identique dans plusieurs copies. Plus tard, la même année, j’ai donné sur table à une de mes classes un commentaire composé, sur un passage d’une œuvre classique. En corrigeant chez moi les copies, j’ai constaté, dans une copie, des choses étranges : des termes ou des expressions qu’un élève de première n’emploierait pas, une introduction catastrophique mais un développement convenable. J’ai donc décidé de mener une petite expérience pédagogique l’année suivante : j’ai pourri le web ! Tendre sa toile... Le sonnet Première étape : le compte Wikipédia Pris au piège La morale de l’histoire

Comment apprenons-nous ? Le paradoxe de la créativité Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ? Même le plus fameux des MOOCs, Coursera, s’est intéressé à la question et propose maintenant un cursus « Apprendre à apprendre« . A sa tête, on trouve un neuroscientifique connu, Terrence Sejnowski et surtout Barbara Oakley, auteur d’un excellent livre sur l’apprentissage des sciences, A Mind for Numbers. Son éducation scientifique, Barbara Oakley l’a effectuée sur le tas. Mode « concentré » et mode « diffus » La créativité occupe une place importante dans le livre d’Oakley. Un des premiers principes sur lesquels elle s’étend dans son livre c’est ce qu’on pourrait appeler le paradoxe de la créativité. Le mode diffus, au contraire, est celui de l’inconscient.

La sérendipité comme attention et la zemblanité comme mauvaise intention Ceci est un passage inspiré de ma thèse, réécrit pour l’occasion pour le blog. Le document se trouve régulièrement confronté à des aléas communicationnels. Et il n’y a pas que des aspects négatifs puisqu’il est possible de trouver des documents pertinents et de pouvoir ensuite les exploiter correctement. Médecine expérimentale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La médecine expérimentale (ou médecine scientifique) désigne une connaissance médicale fondée sur la méthode expérimentale. Histoire[modifier | modifier le code] Le physiologiste français Claude Bernard est le premier théoricien de la médecine expérimentale qu'il a pratiqué avec succès tout au long de carrière. Son Introduction à l'étude de la médecine expérimentale, parue en 1865, en expose les principes théoriques et en fait la promotion. A la fin du XIXe siècle et au début du XIXe siècle, la médecine scientifique connaît un essor important grâce à la création et au développement d'institutions dédiées à la recherche médicale, telles que en France l'Institut Pasteur et son réseau international (institut Pasteur de Lille, de Tunis, Dakar, etc) ainsi que l'Office national d’hygiène sociale crée en 1924 et préfigurant l'INSERM (crée en 1964). Médecine expérimentale et médecine fondée sur les preuves[modifier | modifier le code]

LES TECHNIQUES PEDAGOGIQUES Rupture épistémologique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de rupture épistémologique est forgée par Gaston Bachelard[1] dans son ouvrage La Formation de l'esprit scientifique. Sciences et techniques[modifier | modifier le code] Accéder à la science, selon Gaston Bachelard, ce serait accepter de contredire le passé, quand elle se fondait sur « l'expérience première[2] ». La sphère des opinions et des convictions serait alors une barrière qui ne permet pas d'atteindre l'objectivité recherchée par les démarches scientifiques. Toujours selon Bachelard : « Le réel n'est jamais « ce qu'on pourrait croire » mais il est toujours ce qu'on aurait dû penser »[2]. Ce qui devrait conduire à une attitude de vigilance épistémologique : « L'esprit scientifique nous interdit d'avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement[2]. » Sciences humaines et sociales[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]

Qu'est ce qu'un bon prof ? La question des méthodes pédagogiques a toujours soulevé des discours passionnés. Au Québec comme en France, le débat fait rage autour des réformes de l’enseignement. De plus en plus de travaux soulignent l’impact d’un « effet-prof » sur les performances des élèves. Existe-t-il des pratiques pédagogiques plus efficaces que d’autres ? Mindomo : du mindmapping collaboratif en ligne exceptionnel J’ai testé l’application de mindmapping collaboratif en ligne (et de bureau) Mindomo. Et j’ai été agréablement surpris par l’évolution de ce logiciel : une fluidité exceptionnelle et le plein de fonctions plus utiles les unes que les autres ! Avertissement : une version incomplète de cet article a été publiée par erreur le vendredi 31 mai dernier. Je présente mes excuses à tous les lecteurs qui ont reçu une version tronquée de ce test. Je continue mon exploration des applications et logiciels de mindmapping qui offrent une collaboration en ligne en temps réel. Mindomo est l’une des premières applications de mindmapping que j’avais essayée, il y a un peu plus de 5 ans. Mindomo n’est plus seulement un logiciel en ligne : vous pouvez télécharger une version de bureau pour PC, mais aussi travailler sur votre smartphone ou tablette Android ainsi que sur iPhone et iPad… Une interface élégante et une ergonomie sans faille Il en résulte un ensemble clair, simple et lisible. 1. 2. http//https// b.

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