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Puis-je utiliser les « arbres de perles » réalisés avec Pearltre

Puis-je utiliser les « arbres de perles » réalisés avec Pearltre

Pearltrees : ce que c'est, ce que ça pourrait être - L’Hémoblogu J'ai eu envie de répondre à un billet de Read Write Web sur Pearltrees. Le billet a un peu tardé car je comptais modifier pas mal le blog, mais cela prenant un peu plus de temps que prévu, je publie le billet quand même. Pearltrees propose aux internautes de devenir éditeurs du web en créant du sens dans l'enchainement de sites web. Mais je n'aurais probablement pas fait un billet si je n'avais rien à ajouter à ce que dit l'article de RWW. Imaginons d'abord comment l'évolution d'internet a amené à créer Pearltrees. Il y a beaucoup de pages web sur internet. Cependant, il n'est pas bon que le choix de ce qui est accessible ou non et de l'importance des contenus soit dans les mains d'une seule entité commerciale (ou quelques unes). Mais il faudrait que ce soit plus social, alors on crée des sites de social bookmarking, très nombreux aujourd'hui. No problémo, Pearltrees permet de créer des trames logiques allant d'une page à l'autre suivant la logique d'un utilisateur.

La veille sous une pluie de droits Aborder la veille sous un angle juridique, tel était l’objet de mon intervention à Cogito, salon de l’intelligence économique qui s’est tenu le 2 octobre 2012 à Strasbourg. Au regard du temps imparti (45 minutes), il s’agit d’un simple examen de quelques outils de la veille au regard de certains droits (voir ma présentation ppt). Lors de cet exposé, ici résumé, l’attention a été donnée à trois domaines particulièrement sensibles : les œuvres protégées par le droit d’auteur, les données personnelles, les données secrètes ou confidentielles [1]. Une pratique à risque ? Dans sa pratique professionnelle, on peut enfreindre plusieurs lois. On y ajoutera les droits protégeant la personne contre l’atteinte à la vie privée, à l’honneur, à la réputation, à l’image, … et divers autres cas où la responsabilité peut être engagée, pour faute ou négligence, ou non respect des engagements contractuels, par exemple. Sourcing au défi du droit Collecter des donnés : un vol ? Livrables sous l’œil juridique

pearltrees > blog Vous reprendrez bien un peu de curation à la sauce juridique Le billet que j’ai publié la semaine dernière : « Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça ? » a suscité un certain nombre de réactions, commentaires, échanges, qui me donnent envie de prolonger la réflexion, en creusant plusieurs points sur lesquels on a attiré mon attention. Décidément, vous allez voir que la curation est un sujet d’une grande richesse juridique, mais d’une grande complexité également… Pour assaisonner un peu vos pratiques de curation, je vous recommande la sauce juridique ! L’épineuse question du droit applicable Dans mon billet, je pars du principe que le droit français est applicable aux pratiques de curation et de propulsion de contenus sur Internet. Or dans un commentaire sur Twitter, Clarinette02 soulève de manière fort pertinente la question de la loi applicable, attendu que ces pratiques se déroulent en ligne et impliquent par définition la circulation des contenus, d’une manière parfois difficilement rattachable à un pays donné : To LINK.

Emparez-vous du Web Avec Pearltrees ! 01net. le 30/09/09 à 18h23 Mais que se cache-t-il derrière l'énigmatique Pearltrees ? Composé de pearl (perle) et de trees (arbres), ce mot a de quoi susciter les interrogations… Apparu en mars 2009, ce service en ligne permet littéralement de représenter « son Web » sous la forme d'un arbre de perles. Après inscription au service, l'utilisateur a en effet accès à un espace personnel dans lequel il peut matérialiser chaque URL du Web qu'il a consultée par une perle. Mais comme une petite vidéo vaut mieux qu'un long discours, je vous propose de jeter un œil à celle-ci : Pearltrees est bien plus qu'un service en ligne. Un site pour aller au-delà du bookmarking social Pearltrees va plus loin qu'un site de bookmarking social. Pour utiliser Pearltrees, il suffira de créer un compte et de télécharger un plug-in. Emilie Ogez Emilie Ogez est responsable du marketing et de la communication au sein de XWiki, membre des Explorateurs du Web et auteur de plusieurs blogs.

Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça Alors que Google vient d’annoncer le lancement de son bouton de partage +1, à l’image du fameux like de Facebook, la juriste Murielle Cahen publie sur le site Avocat Online une intéressante analyse, qui confronte ce type de fonctionnalités avec les principes du droit d’auteur à la française. Son raisonnement, finement nuancé, tend à prouver que plusieurs principes du droit d’auteur, et notamment le droit moral, fragilisent ces pratiques de propulsion des contenus en direction des réseaux sociaux. Cela dit, il me semble que son analyse gagnerait à être complétée par la prise en compte du droit de courte citation, ainsi que d’une jurisprudence récente rendue à propos de l’exception de revue de presse. J’aimerais aussi, au delà de la question des boutons de partage et de la propulsion élargir la réflexion au domaine des nouveaux outils de curation des contenus, qui soulèvent à mon avis des questions encore plus épineuses de respect du droit d’auteur. Sur le même thème

Pearltrees : un nouveau client, une nouvelle promesse | Question Pearltrees, le réseau d’intérêts collaboratif qui révolutionne l’organisation du web vient de choisir Ogilvy PR pour accompagner son développement et valoriser les nouveaux usages qui se construisent au sein de l’outil. Nous suivons avec attention Pearltrees depuis des mois : d’abord parce que les start-up françaises qui investissent le web social ne sont pas légions mais surtout car nous avons tout de suite été séduit par la promesse de Pearltrees : offrir une nouvelle organisation démocratique des contenus du web. Tout le service a donc été formé à l’utilisation de Pearltrees et s’en sert désormais quotidiennement pour suivre sa veille, classer les retombées média, rechercher de nouveaux interlocuteurs et, au-delà du professionnel organiser le monde de ses intérêts : mode/design/lifestyle pour Trang, geekerie/buzz/marketing pour Tristan, social media/journalisme pour Laurent, BD/média/musique pour Antoine et série TV/blogs/influence pour Eric. Autour de Pearltrees :

Curation et droit d'auteur Les différentes plateformes de curation manuelle (Scoop.it, Pearltrees) ou automatique (Paper.li) questionnent le droit d'auteur car ces services reproduisent du contenu protégé par le droit de la propriété intellectuelle. Lionel Maurel (nous rendons compte d'un autre de ses articles ici), conservateur des bibliothèques à la Bibliothèque nationale de France essaie d'apporter quelques réponses juridiques à ce sujet sur son blog S.I.Lex. Scoop.it : un service aux "bases juridiques fragiles" Scoop.it est un service en ligne qui permet à l'usager du web de créer son propre magazine en ligne. Lors de l'ajout d'une actualité, l'outil se charge de récupérer le titre, l'image et parfois les premières lignes du texte sauf si le curateur choisit de personnaliser cette présentation. Si le droit de courte citation peut éventuellement s'appliquer au niveau du titre et du texte, cette exception n'est pas à priori recevable au niveau graphique. Pearltrees et le "framing" Sources Lionel Maurel.

Faut-il une autorisation pour faire un lien hypertexte ? Après treize ans de veille et d’écriture sur le droit de l’information, un récapitulatif, appelé à figurer sur la page Droit de l’information du site de l’ADBS, s’imposait. Il reprend les questions récurrentes, en proposant une réponse en quelques lignes, suivie d’une liste d’articles écrits sur chaque sujet. A propos du lien hypertexte Par principe[1], les liens sont libres. Ce devrait être le cas pour un lien simple, reprenant le titre[2] et l’url d’une page ou d’un document dont l’accès n’est pas réservé à un public particulier et ce, même si le lien ne mène pas vers la page d’accueil du site. Les mentions légales de certains sites peuvent indiquer qu’il est interdit de faire, sans leur autorisation, des liens vers leurs pages[3], une pratique abusive [4] car une telle interdiction, générale, n’a pas de sens. En revanche il convient : Parmi les questions qui restent posées Est-il autorisé de faire apparaître les premières lignes des textes et l’illustration qui les accompagnent ? llustr.

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