Zeus
Nom et épithètes Étymologie Le nom Zeus (nominatif : Ζεύς / Zeús ; vocatif : Ζεῦ / Zeû ; accusatif : Δία / Día ; génitif : Διός / Diós ; datif : Διί / Dií) repose sur le thème *dy-ēu-, issu de la racine indo-européenne *dei- qui signifie « briller ». Elle est également à l'origine du sanskrit द्याउः / dyāuḥ, signifiant « ciel lumineux », et du latin diēs, signifiant « jour »[3]. En grec ancien, on la retrouve dans les mots ἔνδιος / éndios et εὐδία / eudía qui désignent respectivement le midi (l'apogée de la journée) et le beau temps. Ce nom entre dans la composition de nombreux mots : le nom des Dioscures (Διόσκουροι / Dióskouroi, les « jeunes de Zeus »), la cité de Dioscourias, Dioscore, etc. Épithètes, épiclèses Zeus possède plusieurs épithètes en tant que dieu céleste tonnant : νεφεληγερέτα / nephelêgeréta, « assembleur de nuées »,κελαινεφής / kelainephếs, « à la nuée noire »,κεραυνός / keraunos, « foudre » et adj. Fonctions Dieu du Ciel Un dieu justicier et protecteur Dieux similaires Héra
Héra
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle correspond à Junon dans la mythologie romaine. Mythe[modifier | modifier le code] Fille de Rhéa et de Cronos (elle est l'aînée des enfants dans l'Iliade[1] et la troisième chez Hésiode[2]), elle est dès sa naissance avalée par son père[3]. Après la Titanomachie, Héra devient l'épouse de Zeus[4]. Drachme en argent avec Héra Lakinia. Les traditions post-hésiodiques attribuent à Zeus et Héra de nombreux autres enfants absents des catalogues « traditionnels ». Dans l'Iliade encore, Homère fait mention par la bouche de Dioné, d'un tir de flèche à trois pointes décochée par Héraclès blessant Héra au sein droit. Un jour, exaspérée des incartades de Zeus, Héra décide de demander l'aide de ses fils pour punir le dieu volage. Offensée par le jugement de Pâris, qui lui préfère Aphrodite, elle se montre la plus farouche ennemie des Troyens pendant la guerre de Troie et contribue au sac de la ville. Origine et fonctions[modifier | modifier le code]
Chaos (mythologie)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chaos. Dès le début de son récit, Hésiode énumère des divinités correspondant à chaque élément que l’homme rencontre. Il commence par les éléments primordiaux : la Terre, le Ciel étoilé, les hautes Montagnes, la Mer. Si Hésiode ne s'entend pas sur la nature de Chaos, Ovide en fait dans ses Métamorphoses une « masse informe et confuse qui n'étaient encore rien que poids inerte, amas en un même tout de germes disparates des éléments des choses, sans lien entre eux. » Le Chaos se caractérise dès lors par deux éléments principaux : le gouffre sans fond où l'on fait une chute sans fin : la Terre apparaît ensuite, offrant une assise stable, qui s'oppose radicalement au Chaos ;le milieu sans orientation possible où l'on chute dans tous les sens. Reynal Sorel, Chaos et éternité.
Poséidon
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine Avant que l'anthropomorphisme ne fasse de lui être un dieu de la mer, Poséidon semble avoir été un dieu chthonien lié au monde souterrain, porteur de mort et responsable des tremblements de terre, proche de la figure du dieu Hadès. Son épithète d'« ébranleur du sol », attesté en Arcadie où son culte est le plus ancien, en fait un dieu ambivalent, responsable de catastrophes naturelles mais aussi du retour des eaux fécondantes du printemps[1]. Il est le dieu grec le plus fortement lié au cheval à travers ses mythes comme ses représentations. Mythe Patronage de ville difficile Autour de Troie Poussé par l'orgueil de Zeus, instigué par Héra, Poséidon et Apollon (ou Athéna[26]) se rebellent contre le roi des dieux et réussissent à l'enchaîner. Poséidon revigore les Grecs désespérés alors que les Troyens atteignent leur camp et ont le dessus en repoussant sans défaut les assauts hellènes successifs. Vengeance contre Minos Protecteur divin
Anima et animus.
Une petite incursion dans le monde de l’invisible, celui qui effraye certains, qui exalte la curiosité des autres, mais qui jamais ne nous abandonne. Quoique nous fassions il s’impose à nous. Dans l’ombre de notre conscience il règne sans partage. A mi-chemin entre le volcan rouge qui crache le feu au rythme pendulaire de ses entrailles, et le volcan gris qui sommeille dangereusement dans un temps universel oublié des hommes, notre inconscient s’enracine et légifère au cœur de notre vie. Là, bien lové, il développe un stratagème subtil, une alchimie d’éternité, l’édification de l’idéal féminin chez l’homme, appelé Anima par C.G. Les images de l’âme, voici bien des contrastes constatés, une opposition des plus marquée de notre psychisme. La volonté et le raisonnement ne font rien à l’affaire, quand on est pris on est pris. Depuis la nuit des temps, les effets de la passion amoureuse sont connus mais ses véritables causes nous échappent souvent. jack mandon