La désobéissance de l'architecte de Renzo Piano
Renzo Piano, La désobéissance de l’architecte, éd. Arléa, 2009La responsabilità dell’architetto, 2004 Extraits : « L’architecte doit savoir attendre, c’est le seul moyen d’être créatif. Ce métier est un mélange de technique et de spiritualité, de créativité aussi. » p.16 « Il n’y a pas de secret. « - Il faut dire, pour commencer, combien le métier d’architecte est complexe. « Si ce métier, qui nécessite de regarder au fond de toi et des choses, tu ne le fais pas avec amour, avec passion et dévouement, alors tu risques de tomber dans l’académisme, dans le formalisme. » p. 23 « …aujourd’hui l’architecte doit compter avec les deux grandes révolutions de ce siècle : la première, qui est une révolution d’ordre scientifique et technologique, a totalement changé les matériaux, les techniques, les procédés, les calculs et même la manière de les communiquer ; la seconde, qui est celle d’un échange planétaire, a annulé les distances. » p. 23 « L’architecte doit expérimenter » p.25
Nature en ville : reverdir les rues pour une meilleure qualité de vie
Selon lui, reconquérir les rues passe principalement par la mise en végétation de ces espaces trop souvent stériles, monotones voire sordides. Le concept de « ruelles vertes » est d’ailleurs apparu, et continue de faire ses preuves, notamment au Canada à Montréal où il est né il y a maintenant 20 ans. 20 ans ! Alors pourquoi n’en entend-on quasiment pas parler en France ? À l’heure où les enjeux en termes d’environnement, de piétonisation des centres-villes, du retour aux potagers urbains reviennent en force, les ruelles vertes sont quant à elles encore très peu répandues alors qu’elles ont la force de pouvoir répondre à l’ensemble de ces enjeux actuels ! Pour essayer d’y voir un peu plus clair, revenons dans les lignes qui suivent sur quelques aspects généraux. Source : www.nicolassoulier.net La nécessité de reconquérir les rues La rue est à l’espace public ce que les yeux sont au visage. Les ruelles vertes, ou l’urbanisme « par le bas » Le moteur d’une attractivité stimulante
Les 100 mots de la ville
De NIMBY à bobo en passant par les ZFU, l’équilibre spatial ou encore la gentrification, l’urbain suscite la création de néologismes et autres acronymes plus ou moins opaques. Les experts de la ville (architectes, urbanistes, élus, etc.) utilisent, relaient, critiquent parfois aussi ce vocabulaire qui s’enrichit sans cesse et leur permet d’analyser les dynamiques urbaines. Car penser la ville est un enjeu majeur : plus de la moitié des humains s’y regroupent, comment les faire (bien) vivre ensemble ? Ce livre n’entend pas être un lexique des villes. Avant-propos Chapitre I. – Construire et aménager Chapitre II. – Gérer et administrer Chapitre III. – Vivre et habiter Chapitre IV. – Prévoir et imaginer Julien Damon est professeur associé à Sciences Po où il enseigne au sein du cycle « urbanisme ».
L. Gwiazdzinski, <i>La Nuit, dernière frontière de la ville</i>
L. Gwiazdzinski, La Nuit, dernière frontière de la ville, Préface de Will Straw – Postface de Xavier Emmanuelli, Paris, Rhuthmos, 2016, 248 p. – ISBN : 979-1095155133 Si vous désirez ACHETER CE LIVRE, envoyez-nous un mail à rhuthmos@rhuthmos.eu. Nous vous offrons les frais de port. Vous pouvez également le commander sur Amazon.fr ou sur tout autre site plus accessible pour vous. Depuis l’origine, l’homme n’a eu de cesse de domestiquer la nature et d’étendre son emprise sur l’ensemble de la planète. Il y a pourtant une vie après le jour. Luc Gwiazdzinski est géographe, directeur de l’IGA à l’Université Grenoble Alpes, chercheur au Laboratoire Pacte (UMR 5194 CNRS) et associé au centre Mobilità e Tempi Urbani (Università Milano Bicocca et Politecnico di Milano) ainsi qu’à l’EIREST (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne).