Suisse | Prendre le contrôle de la monnaie, des banques et de la BCE La Banque centrale européenne (BCE) a pris des mesures importantes le 6 septembre pour soutenir l’euro. Mais en ne s’attaquant qu’aux symptômes et non aux causes de la crise, la BCE continue à la renforcer. Nous publions ci-dessous un texte d’Attac France qui revient sur le rôle de la monnaie, des banques et de la banque centrale. Tant que la monnaie et le système bancaire sont hors contrôle, toutes les aspirations à des transformations politiques sont vouées à l’échec. Le cercle vicieux dans lequel les classes dominantes veulent enfermer les peuples, parce qu’elles en tirent un profit immédiat, n’est pourtant pas inéluctable. Des pistes alternatives raisonnables sont possibles. 1) Des objectifs de transformation sociale et écologique La crise est trop importante pour qu’on puisse imaginer avoir affaire à une difficulté passagère. C’est donc autour d’objectifs de transition vers une société plus juste et plus écologique que les choix doivent être opérés. Elle rendra possible :
Grèce : plus d'autre solution que d'effacer 200 milliards d'euros de dette L’Europe ne peut pas continuer à financer le déficit public de la Grèce (8% du PIB) et payer le service de sa dette, qui est toujours à 180% du PIB. Le FMI pour pouvoir continuer à prêter a besoin que la solvabilité du pays s’améliore, ce qui est loin d’être le cas. C’est pourquoi il a demandé à la BCE d’effacer une partie de la dette grecque dont elle possède 50 milliards d'euros sur un total de créances de 2.500 milliards d'euros. La négociation a eu lieu et une fois de plus, la Grèce devrait recevoir les fonds dont elle a besoin pour assurer ses fins de mois, mais cela ne résoudra en aucun cas de façon durable les problèmes de fonds du pays. Les modèles pour sortir un pays de l’endettement sont passés cette semaine en revue par Charles Gave de GaveKal. Erreur de Bercy : les entreprises industrielles laissés pour compte du pacte de compétitivité Aux Etats Unis Ben Bernanke, président de la Federal Reserve, est peut-être en train de changer de cap.
Remboursement de la dette : l'Argentine fait appel#xtor=RSS-3208001#xtor=RSS-3208001#xtor=RSS-3208001 L'Argentine a fait appel mardi 27 novembre de la décision d'un juge fédéral américain lui ordonnant le versement de 1,33 milliard de dollars à des fonds spéculatifs qui avaient refusé un échange de titres après son défaut de paiement en 2001. L'Argentine a refinancé environ 93 % de sa dette après son gigantesque défaut de 2001, portant sur 100 milliards de dollars. "Aujourd'hui même, les avocats qui représentent la République d'Argentine devant les instances judiciaires de l'Etat de New York ont déposé une demande urgente de suspension des effets de la décision [du juge Thomas] Griesa publiée mercredi dernier", a annoncé un communiqué du ministère de l'économie. Le juge Thomas Griesa avait souligné dans sa décision, datée du 21 novembre, que NML, l'un des fonds spéculatifs à l'origine de ce contentieux, avait "subi un préjudice irréparable de la part de l'Argentine". La plainte de NML a provoqué le 2 octobre le blocage d'une frégate argentine dans le port de Tema, au Ghana.
Loi Pompidou-Giscard : l’escroquerie de la dette publique signe la mort de la démocratie, dans l’incroyable cécité volontaire des médias - Actif et militant sur LePost.fr (22:52) Publié parOlivier B post non vérifié par la rédaction 09/11/2011 à 22h47 - mis à jour le 09/11/2011 à 22h52 | vues | réactions C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En clair, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Un graphique pour illustrer le propos, qui montre l'hallucinante évolution de la courbe de la dette publique. "Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts",résume Mai68.org.
Liste des exilés fiscaux: industriels, grosses fortunes, artistes, sportifs L'exil fiscal est une réalité incontournable car rien n'est plus simple une fois fortune faite en France que de partir vivre dans un pays à la fiscalité plus avantageuse. La promesse de François Hollande de renégocier les conventions fiscales datant de 1958 entre la France, la Belgique, la Suisse et au Luxembourg inquiète de nombreuses fortunes. Effet d'annonce ou changement réel de politique ? Quoi qu'il en soit le manque à gagner est considérable pour l'Etat français. Espérons que ce rapport très attendu soit effectivement suivi d'une véritable politique de justice et répartition fiscale équitable. Cela ne semble pas pour nous, braves fourmis ouvrières que nous sommes ... cela semble réservé à une certaine caste donneuse de leçons et hors de tout contrôle dont l'égérie serait Christine Lagarde ... Les grandes familles "industrielles et commerciales" Stéphanie MARTHELY - Plume Citoyenne · · · il y a 3 heures
Les Chiffres de la dette 2012 Pour comprendre la multiplicité des crises en cours, Damien Millet, Eric Toussaint et Daniel Munevar (CADTM) mettent à disposition un ensemble de données liées à la dette et à des thèmes connexes. Crise économique, crise financière, crise alimentaire et crise de la dette s’éclairent et se connectent à la lecture de cette brochure parsemée de tableaux et d’infographies qui permettent de mettre en lumière les éléments du puzzle. De la crise de la dette des pays du Sud en 1982 à la crise actuelle en Europe, en passant par les dettes odieuses dans le monde et les chiffres du FMI FMI Le FMI a été créé en 1944 à Bretton Woods (avec la Banque mondiale, son institution jumelle). Son but était de stabiliser le système financier international en réglementant la circulation des capitaux. À ce jour, 187 pays en sont membres (les mêmes qu’à la Banque mondiale). Cliquez pour plus. Cliquer pour plus... , l’analyse des statistiques permet d’identifier les véritables enjeux. Les Chiffres de la dette 2012
COMPRENDRE LA DETTE PUBLIQUE EN QUELQUES MINUTES Mon commentaire : À cette explication technique très pédagogique et très complète, il manque pourtant, à mon avis, LA RESPONSABILITÉ DES ÉLUS qui, depuis 40 ans, votent des budgets en déséquilibre (font dépenser l'État plus qu'il ne gagne en baissant les impôts des riches, et le forcent ainsi à emprunter, de plus en plus), ce qui est une des pinces de la tenaille qu'il ne faut pas négliger. Cette lacune, je l'explique dans la troisième vidéo des entretiens que je viens d'avoir à la maison avec Sylvain Durain : Tout se passe COMME SI les élus de nombreux pays étaient, depuis 40 ans EN MISSION (une mission pour le compte de ceux qui financent leurs campagnes électorales et à qui ils doivent leur pouvoir et leur statut social renouvelé), la mission d'endetter l'État, progressivement, insensiblement, mais dans des proportions finalement asphyxiantes. (D'ailleurs, J. Et la solution ne passera pas par un "élu"... Étienne.
Une amende de 1,9 milliard de dollars pour HSBC aux Etats-Unis - Capital.fr#xtor=EPR-226#xtor=EPR-226 La banque britannique HSBC a annoncé mardi qu'elle paierait une amende de 1,92 milliard de dollars (1,48 milliard d'euros) pour mettre un terme à une enquête ouverte il y a plusieurs années par les autorités américaines pour blanchiment d'argent. Il s'agit de la plus importante amende jamais payée par une banque. "Nous assumons la responsabilité de nos erreurs passées. Nous avons déjà dit que nous en sommes profondément désolés et nous le disons une nouvelle fois. "Au cours des deux dernières années, sous la houlette d'une nouvelle direction, nous avons pris des mesures concrètes pour remettre de l'ordre dans ce qui n'allait pas et pour collaborer activement avec les autorités gouvernementales (...)." HSBC a précisé qu'elle s'attendait également à conclure un accord avec la Financial Services Authority (FSA), les instances de régulation du secteur financier britannique. Mais Stuart Gulliver avait alors prévenu que le coût final du dossier pourrait être "nettement plus élevé".
L'Islande se réjouit d'avoir abandonné ses banques Samedi 15 décembre 2012 6 15 /12 /Déc /2012 11:24 Au lendemain des accords conclus à Bruxelles dans la nuit de mercredi à jeudi autour de la création d'une supervision bancaire opérée par la Banque Centrale Européenne, Olafur Ragnar Grimsson, le président Islandais, s'est permis de narguer l'Union Européenne en se félicitant d'avoir laissé tomber les banques. Une décision "difficile mais décisive" pour la relance économique de son pays. "La région arctique se retrouve petit à petit au coeur des enjeux de l'économie globale". "La plus dure, mais la plus judicieuse" Quatre ans après la cruciale décision de ne pas sauver les banques, criblées de dettes, la croissance du pays dépasse désormais celle de la zone euro. Source: 7s7 Partager l'article ! inShare Par wikistrike.com - Publié dans : Economie 0
Part du PIB versée en intérêts Dette: Washington suspend ses versements à la retraite des fonctionnaires Mes Listes Devenez Membre Boursorama Profitez de l'ensemble des services et des avantages destinés aux Membres en quelques secondes. Devenir Membre Brest - 29200 Fédération Mondiale Des Peuples - World Federation Of Peoples ATTAC démystifie la dette publique Française | Pandora Vox La dette publique Française a explosée sous les gouvernements de Gauche… la dette est due à une augmentation inconsidérée des dépenses de l’État… ce sont les collectivités territoriales qui ont fait déraper la dette publique… la France est de moins en moins riche et obligée de s’endetter… la masse salariale coûtent beaucoup trop cher aux entreprises… etc etc. Lorsque l’on évoque la dette publique voici généralement les affirmations infondées et les préjugés qui cautionnent les coupes drastiques que l’on devrait effectuer dans les dépenses publiques. ATTAC a mené une longue analyse (« Dette publique Française: évolutions et questions« ), qui tord le cou à ces arguments de carton. En voici les extraits les plus marquants. Les diaporamas présentant une synthèse de cette étude sont disponibles en téléchargement sur le site d’ATTAC (partie 1 et partie 2) ou en miroir depuis notre site (partie 1.1, partie 1.2 et partie 2). 1/ L’évolution de la dette publique Française par type de gouvernement
Ces économistes qui monopolisent (toujours) les débats Ainsi que nous l’avions déjà développé ici-même, depuis de nombreuses années, les sujets « économiques » inondent les médias. Régulièrement confrontés à la complexité de ces thèmes, les journalistes préfèrent déléguer leurs traitements à des experts (toujours les mêmes), universitaires pour la plupart – mais pas toujours les plus compétents –, dont les engagements extra-scientifiques sont méconnus ou dissimulés. Pour les journalistes, l’expert appelé à la rescousse doit répondre à plusieurs critères : efficacité (il doit être bref et concis), disponibilité (il doit habiter en Île-de-France) et orthodoxie (il doit être partisan de l’économie de marché). Les trois critères sont essentiels... et presque toujours vérifiés. Acrimed, et avec elle Le Plan B et quelques autres critiquent depuis longtemps la proximité de certains économistes avec le pouvoir financier, leurs relations incestueuses avec le pouvoir politique, et leur omniprésence médiatique. Las ! À la télévision À la radio