How about this? POLICE CHANGE SIDES! - apparently, they were humored by some or other carnivalesque display. I don't know what it was, maybe they were looking at the Alebrije representing the ECB, or the guy on stilts fell over, or it was the (semi)nudity some younger women were using as a form of expression, or maybe they were appreciating the humor in signs that said "Die Spinnen" (the spiders) "Die Bullen" (the bulls) "Schweine" (pigs) - held side by side: "Die spinnen, die Bullenschweine" (Bullenschwein: offensive term referring to cops, the entire phrase says something like: these cop pigs are crazy): "Mom, I'm ok, but the cops are going nuts!!!! So, what do you need a hundred officers in riot gear for?
Harper's Arctic Visit: Prime Minister To Watch Military Exercise CHURCHILL, Man. - The country's most elite and secretive fighters dropped down from a helicopter and into the public spotlight Friday for the first time in the history of Canada's special forces. About 30 Joint Task Force 2 operators were the key actors in what was billed as the most complex scenario ever run by the military during the annual summer exercises. It marked a coming-out-party of sorts for JTF-2, which is rarely talked about in public and even more infrequently witnessed plying its trade. Its work on counter-terrorism operations at home and in places like Afghanistan is often praised but never publicly acknowledged. "They're not in the public eye . . . and they will probably never will be for a number of operational security reasons," said Brig-Gen. "But it's important for them to be seen to be contributing to Canada's overall defence because a lot of what we do is in the shadows." On one side, the hulking HMCS St. "Good job," Harper said. "For me, this was a win-win situation."
Les lamentations des riches et de leurs pleureuses « Le blogue de Léo-Paul Lauzon À la défense héroïque du gratin Je suis d’une sensibilité extrême : ça me fait beaucoup pleurer de voir les chroniqueurs, journalistes et universitaires affranchis défendent, presqu’au risque de leur propre vie, la hausse d’impôt sur le revenu assénée aux nantis (alors qu’il y a pas si longtemps ils affirmaient que les étudiants devaient payer leur «juste part»). Imaginez un peu, il se peut que l’augmentation soit rétroactive à toute l’année 2012. C’est vraiment effrayant d’opprimer ainsi nos créateurs de richesse pour qui la solidarité c’est juste bon pour les autres. C’est correct et même souhaitable d’avoir des baisses d’impôts rétroactives, des reports de pertes rétroactives, des cotisations à des abris fiscaux (REER, REEE, Céli, etc.) pour les années antérieures mais pas des hausses. Aux Etats-Unis et en Ontario En passant, en Ontario, le gouvernement ne verse pas une cenne noire en subventions aux écoles privées alors qu’au Québec, l’État leur verse 400 millions$ en subventions.
Mort du Dr Olivier Ameisen, promoteur du Baclofène, un nouveau traitement contre l’alcoolisme Il venait d’avoir 60 ans et il est mort au moment où il commençait à être entendu. Olivier Ameisen restera comme une personnalité médicale hors norme, une forme de météore dans les cieux tourmentés de la lutte contre les addictions. Il avait non sans courage tout dit de lui, ou presque, dans une autobiographie atypique publiée en 2008, «Le dernier verre», aux Editions Denoël. Un ouvrage né, expliquait-il alors, du silence de ses confrères face à une auto-expérience qui lui avait permis de continuer à vivre. Le silence de ses confrères pour ne pas parler d’une certaine condescendance, voire d’une véritable gêne. Son histoire était-elle trop belle? publicité Il insistait: le désintérêt. Le malade pouvait regarder une bouteille de gin, voire prendre un verre mais ce verre n’avait plus d’intérêt et, surtout, n’en appelait pas tous les autres. Il y a cinq ans, son «Dernier verre» rencontra un très grand succès. Cet appel devait avoir un rapide prolongement. Jean-Yves Nau
New Jersey USA takes custody of a child named Adolf Hitler from the Campbell family Dix projets architecturaux chinois extravagants La future tour la plus haute du monde, l’immeuble le plus laid ou le musée en forme de raie : le meilleur et le pire des performances architecturales chinoises. Malgré le ralentissement de l’économie chinoise, un promoteur chinois s’est lancé dans un défi insensé : construire en dix mois la tour la plus haute au monde, 838 mètres. Ce projet s’ajoute à d’innombrables autres performances architecturales – il y a le meilleur et le pire –, qui ont profondément transformé les villes et les modes de vie chinois au cours des dix dernières années. Des projets qui coïncident avec la forte poussée d’urbanisation de la Chine, où se produit le plus grand exode rural de l’histoire. Le gouvernement chinois vient de décréter, par souci d’économie, un moratoire sur la construction de nouveaux bâtiments officiels. Le siège de CCTV signé Rem Koohlhaas (OMA) Voici dix autres projets, réalisés ou en cours de réalisation, qui décoiffent. La tour la plus haute au monde à Changsha Huit petits mètres !
Propos polémiques du nouveau président iranien sur Israël La télévision d'Etat iranienne a diffusé ce vendredi des images de l'intervention du nouveau président Hassan Rohani sur Israël,prononcés à l’occasion de la Journée de Jérusalem, et qui viennent démentir les propos qui lui avaient été attribués dans un premier temps. En effet, des médias locaux avaient reproduit des propos de Rohani lui faisant dire qu’Israël est une «blessure dans le corps du monde musulman (...) qui doit disparaître» En réalité, selon les images diffusées par Téhéran, le nouveau président a déclaré : «Dans notre région, une blessure a été créée depuis des années dans le corps du monde islamique sous l’ombre de l’occupation de la terre sacrée de Palestine et de notre cher Qods (Jérusalem)» par Israël. Dans un premier temps, les agences Mehr et Isna avaient ajouté que le président Rohani avait également déclaré : «Et cette blessure doit disparaître» avant de corriger leurs dépêches, reconnaissant leur erreur.
Un navire commandité par Google pour étudier une «zone morte» - techno Publié le 05/08/2013 à 10:33, mis à jour le 11/10/2013 à 15:38 Eric Schmidt, président du conseil exécutif de Google Un navire de recherche financé à hauteur de 60M$ US par un dirigeant de Google devait quitter le port de San Francisco jeudi pour aller étudier une «zone morte» de l'océan Pacifique et d'autres mystères marins. Le navire de plus de 80 mètres, baptisé Falkor, transporte un sous-marin téléguidé qui plongera dans les profondeurs au large de l'île de Vancouver pour étudier un endroit où la vie marine meurt chaque année d'un manque d'oxygène périodique appelé hypoxie. Les chercheurs estiment que le phénomène pourrait être provoqué par des changements climatiques ou des déversements toxiques provenant du continent. Les scientifiques voyageant à bord du Falkor auront par ailleurs droit à des aménagements que l'on ne retrouve normalement pas à bord d'un bateau de recherche traditionnel, comme un sauna.
British democracy in terminal decline, warns report | UK news A study into the state of democracy in Britain over the last decade warns it is in "long-term terminal decline" as the power of corporations keeps growing, politicians become less representative of their constituencies and disillusioned citizens stop voting or even discussing current affairs. The report by Democratic Audit shared exclusively with the Guardian notes there have been many positive advances over the last 10 years: stronger select committees of MPs holding ministers and civil servants to account; devolution of power to Northern Ireland, Scotland and Wales, and publication of much more information about politicians' expenses and party donors. But it found evidence of many other areas where Britain appeared to have moved further away from its two benchmarks of representative democracy: control over political decision-making, and how fairly the system reflects the population it represents – a principle most powerfully embedded in the concept of one person, one vote.
Le dessous des cartes des programmes de fidélisation Les cartes se sont généralisées dans les réseaux hôteliers, elles se sont modernisées, enrichies de primes et de récompenses, mais assorties parfois d’un niveau de complexité qui déroute les clients. Paradoxe, malgré ce surcroît de services, les clients utilisateurs ne sont guère plus nombreux. Seulement 1 détenteur de carte sur 2 déclare l’utiliser Les 12 évolutions majeures : 8 chaînes hôtelières sur 10 présentes en France disposent d’un programme de fidélisation.Elles étaient 1 sur 2 en 2000 et 7 sur 10 en 2004 à en disposer.Une meilleure professionnalisation, uniformisation et internationalisation des systèmes existants mise en place de programmes multi marques, élargissant ainsi le champ géographique des cartes.Généralisation des programmes à cumul de points, gratuits et limités dans le temps. 22 % des clients d’hôtels possèdent une carte, alors que le double pourrait en demander une ! L’opinion des clients détenteurs de cartes : plutôt positive !