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Frantz Fanon

Frantz Fanon
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Fanon. Frantz Fanon Durant toute sa vie, il cherche à analyser les conséquences psychologiques de la colonisation à la fois sur le colon et sur le colonisé. §Biographie[modifier | modifier le code] §Période française[modifier | modifier le code] De son expérience de noir minoritaire au sein de la société française, il rédige Peau noire, masques blancs, dénonciation du racisme et de la « colonisation linguistique » dont il est l'une des victimes en Martinique. §Période algérienne[modifier | modifier le code] §Analyse des effets de la colonisation[modifier | modifier le code] En 1953, il devient médecin-chef d'une division de l'hôpital psychiatrique de Blida-Joinville en Algérie et y introduit des méthodes modernes de « sociothérapie » ou « psychothérapie institutionnelle », qu'il adapte à la culture des patients musulmans algériens ; ce travail sera explicité dans la thèse de son élève Jacques Azoulay. Related:  Frantz fanonCritiques, polémistes, essayistes

Frantz Fanon, la pensée et l'action - France Culture 36 ans. Son existence fut brève mais il l’aura fait poudroyer par ses engagements et la fulgurance de sa pensée. Frantz Fanon, écrivain et psychiatre martiniquais, figure emblématique du tiers-mondisme, a livré une réflexion unique et novatrice sur les questions de la conscience noire et de la colonisation. Depuis, si les sociétés ont évolué, la voix du penseur, qui s'est éteinte il y a un demi siècle, résonne toujours étonnamment aux cœurs des problématiques politiques et nationales actuelles. Dans le cadre d'une semaine spéciale de France Culture, retour sur une trajectoire mêlée de théorie et d'expérience à travers les regards croisés de Pierre Bouvier, universitaire, et René Depestre, poète et écrivain haïtien qui fut l'ami de Frantz Fanon : Naissance d'un révolté Juillet 1925. De 1939 à 1943, Frantz Fanon bénéficie de l’enseignement de Césaire au lycée Schoelcher de Fort de France. Mais aussi : "Je me suis trompé ! Etudes en France et indépendance d'esprit Photo © RF/ HCS

Jean Amrouche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Amrouche, de son vrai nom Jean el-Mouhoub[1] Amrouche, né le 6 février 1906 à Ighil Ali (Algérie) et mort le 16 avril 1962 à Paris, est un écrivain, journaliste littéraire et homme de radio franco-algérien d'expression française. Il est le fils de Fadhma Aït Mansour Amrouche et le frère de la femme de lettres Taos Amrouche. §Biographie[modifier | modifier le code] §Origines[modifier | modifier le code] Jean Amrouche est issu d'une famille berbère christianisée et francisée[2] d'Algérie, alors colonie française. Il naît dans un village des Monts Bibans, au sud de la vallée de la Soummam (Petite Kabylie), qui à l'époque dépend de la commune mixte d'Akbou. En 1910, sa famille quitte l’Algérie pour s'installer à Tunis dans le Protectorat français de Tunisie ; elle y obtient la nationalité française de plein droit[4]. §Formation et carrière de professeur[modifier | modifier le code] §La guerre d'Algérie[modifier | modifier le code]

Avanzando en la descolonización y la despatriarcalización ABYA YALA.- En el marco del Encuentro Internacional de Escuelas Indígenas de Formación Política (EIFP), se propició un espacio para el trabajo y la reflexión conjunta en torno a los procesos en marcha de descolonización y despatriarcalización, cuyas principales conclusiones compartimos a continuación. En el intercambio han intervenido dirigentes indígenas de las nueve escuelas participantes en el Encuentro. La descolonización La colonización es un sistema que ha llegado de manera impositiva: ha impuesto cultura, pensamiento y sentires, y ha ido homogeneizando a los pueblos. Este sistema ha impuesto también una lógica colonial, que se internaliza por parte de las sociedades indígenas, que se ha reproducido históricamente y que se sigue reproduciendo en la actualidad. Frente a ello, la descolonización es el acto consciente de las personas para liberarse de las ideas y de las prácticas coloniales, desde el reconocimiento de que hay otros saberes diferentes a los de Occidente.

Centre of African Studies University of Cambridge Oeuvres - Frantz FANON Frantz Fanon, né à la Martinique en 1925, mort à Washington en 1961, psychiatre et militant anticolonialiste, a laissé une oeuvre qui, un demi-siècle plus tard, conserve une étonnante actualité et connaît un rayonnement croissant dans le monde entier. Méde-cin-chef à l'hôpital psychiatrique de Blida (Algérie) à partir de 1953, il est confronté aux effets de la situation de « déshumanisation systématisée » dont sont victimes les « indigènes ». Cela le conduit très vite à rejoindre le combat du Front de libération nationale qui a engagé en novembre 1954 la « guerre de libération » de l'Algérie. Deux ans plus tard, il démissionne de son poste et rejoint le FLN à Tunis, où il collabore au journal El Moudjahid, avant d'être emporté, le 6 décembre 1961, par une leucémie à l'âge de trente-six ans. Si les trois essais qu'il publia entre 1952 et 1961, réédités avec un recueil posthume d'articles, surprennent aujourd'hui, c'est par leur sobriété, leur langue claire, leur propos argumenté.

Francis Jeanson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Jeanson. §Biographie[modifier | modifier le code] Il revient en France à l'occasion de son amnistie, en 1966, et est chargé par André Malraux de construire et préfigurer la Maison de la culture de Chalon-sur-Saône (1967-1971). En 1992, il devient président de l'Association Sarajevo, en soutien au peuple bosniaque, et se porte candidat sur la liste « L'Europe commence à Sarajevo » du professeur Léon Schwartzenberg pour les élections européennes de 1994. §Bibliographie[modifier | modifier le code] §Sur Francis Jeanson[modifier | modifier le code] Marie-Pierre Ulloa, Francis Jeanson. §Filmographie[modifier | modifier le code] La Chinoise, film de Jean-Luc Godard, 1967 (Jeanson joue son propre rôle lors d'une discussion avec Anne Wiazemsky) §Références[modifier | modifier le code] §Liens externes[modifier | modifier le code]

Du viol colonial Le viol des Africaines et des Afro-descendantes par des Européens était un phénomène si répandu depuis la « découverte de l’Afrique » qu’un peintre flamand, Christiaen van Couwenbergh (1604-1667), en fit un tableau qui se trouve conservé en France au musée de Strasbourg. Dans cette peinture intitulée « Le rapt de la négresse » ou « le viol de la négresse », qui constitue un document exceptionnel, deux jeunes Européens, nus, s’apprêtent à violer une Africaine. L’un deux la montre du doigt en se moquant de ses lamentations, tandis qu’un troisième homme qui, lui, est resté habillé, semble exprimer la réprobation que partage manifestement le peintre qui a voulu dénoncer crûment ce qui devait se pratiquer couramment en Afrique, dans les colonies et en Europe. Le viol – comme c’est le cas ici – était généralement collectif, ce qui permettait d’éviter de se poser les questions de paternité qui pouvaient s’ensuivre. C’était aussi une manière d’accroître le « cheptel » humain d’une plantation.

Nucléaire : Areva envisage son retrait du Niger Bye-bye Niger ? L’avenir d’Areva dans ce pays du Sahel, où le numéro 1 mondial du nucléaire civil exploite des mines d’uranium depuis plus de quarante ans, paraît de plus en plus incertain. D’après nos informations, Areva aurait décidé de fermer la Cominak, l’une des deux sociétés d’exploitation installée à Arlit (Nord-Niger), dans les deux ou trois ans qui viennent. Dans la soirée de lundi, Areva a démenti à l’AFP envisager son retrait du Niger. Le porte-parole du groupe nucléaire public a en outre démenti catégoriquement que le groupe envisagerait de retarder à nouveau l’ouverture de la mine d’uranium géante d’Imouraren, également située au Niger et prévue dans deux ans. En plus de l’insécurité grandissante qui règne dans la région, la faible rentabilité du site d’Arlit pourrait néanmoins être à l’origine d’une décision qui, si elle se confirmait, marquerait un tournant pour le nucléaire français. L’exploitation d’Imouraren reportée ? Thomas HOFNUNG

Rendez-vous avec Frantz Fanon, par Salima Ghezali (Le Monde diplomatique, juillet 2012) Ecrire quelques mots sur le cinquantenaire de la mort de Frantz Fanon, après avoir honoré celui du massacre des Algériens jetés dans la Seine le 17 octobre 1961, et peu avant de célébrer celui de l’indépendance, que chacun attend de pied ferme ? Quelques mots n’y suffiront pas. Ni même beaucoup. Car c’est d’abord « contraint » que le discours du révolté entre sur une scène mondiale préalablement aseptisée par le discours sur les guerres « zéro mort ». Comment cerner le Fanon qui nous trouble le plus, ici et maintenant, le Fanon de la colère radicale contre l’oppression, quand cette dernière est devenue massive lors de la « sale guerre » des années 1990 ? Inscription double ou triple et même davantage, tant les strates de violence se découvrent, se fécondent et se répondent en grimaçant au fil des décennies. Est-il seulement possible d’inviter Fanon à lire avec nous aujourd’hui la manière dont la violence rebondit d’un camp à l’autre en les explosant littéralement ?

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