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Apparition de monnaies alternatives en Grèce boostées par le Net et l'Open Source

Apparition de monnaies alternatives en Grèce boostées par le Net et l'Open Source
Les systèmes d’échange local (ou SEL) existent depuis bien longtemps. Dans la situation actuelle de la crise européenne, ils pourraient bien retrouver une seconde jeunesse grâce au réseau et à son esprit libre. La montée des monnaies open source en Grèce Open-source currencies on the rise in Greece Zachary Caceres - 25 juillet 2012 - Radical Social Entrepreneurs(Traduction : Amine Brikci-N, brieuc, volk, Tonio, YoDigue, Mnyo, Gatitac, KarmaSama, Uflex) Dans l’ombre de la crise européenne, les habitants de la ville grecque de Volos prennent leur avenir monétaire en main. Theodoros Mavridis et d’autres Grecs à court d’euros ont mis en place un système de monnaie locale appelé TEM, acronyme pour « Unité Alternative Locale » en grec. Même si la Grèce est en panne d’euros, les Grecs ont encore des biens et des services utiles à s’échanger. C’est là que le TEM intervient Après avoir créé un compte, les membres échangent entre eux en utilisant les crédits TEM. Et si les choses empirent ?

Vivre sans travailler, c'est possible ! orion, et pour info, les autres foufouille, jpm et alter, orion, vous êtes vraiment une sacrée feignasse ! Et réclamez le RU ? Ceci explique cela. Moi, quand je donne les références d’un article, ce n’est pas pour le faire parler à ma place parce que j’aurais la flemme d’en faire une synthèse ! C’est pour étayer un résumé, informer le lecteur, et rendre à César ce qui appartient à César. Maintenant, dites moi : Comment peut-on croire que, dans la France dans l’UE qui court après les US, ce pays dans lequel le bipartisme n’est pas UMPS mais l’équivalent de l’UMP-FN, comment peut-on croire qu’avec une prévision de réduction du budget de l’État de l’ordre de 66%, comment peut-on croire que cet État versera un RU convenable à tous ses concitoyens ? Comment croire au RU, si on n’est ni idiot ni feignasse ? Vous me demandez de lire votre texte raélien, paradisiaques, incantatoires ?

A Real Internet Of Things For The Developing World (And Burning Man) Every year, Singularity University graduates imagine a better future, where people use 3-D printing in zero gravity, mine waste for precious metals, and produce energy from ultra-efficient solar cells. One of the most seductive visions to emerge from last year’s Singularity class was the Matternet, a concept that would see electric autonomous aerial vehicles (AAVs) transporting supplies and people across the planet--essentially leapfrogging ground transportation in certain parts of the world, much like cell phones have allowed developing nations to leapfrog landlines. The Matternet team has since split into two: one group that’s working on the project described here, and another that’s creating an open-source version. At Burning Man, that will potentially translate into a few retrofitted shipping containers--one housing 3-D printers, another with a 3-D capture studio--and some UAVs. Pelayo emphasizes that Aria will not build its own drones; rather, it will offer hardware as a service.

Comment une ville peut devenir autosuffisante en fruits et légumes Cette histoire ressemble à une utopie, une ville imaginée par un sociologue pour décrire la communauté idéale, et pourtant tout est réel. A Todmorden, une commune d’Angleterre, les habitants cultivent leurs propres potagers dans des lieux publics qui le permettent avec l’objectif de devenir complètement auto-suffisant en quelques années. Aucun camion ou train ne transportera des légumes à Todmorden mais surtout, aucun citoyen ne récolte plus que ce dont il a besoin et tout le monde donne un coup de main en s’occupant régulièrement des différents espaces cultivés. Pour un horticulteur, visiter Todmorden est un plaisir pour les yeux, une ville tapissée de parterres et d’espaces verts où l’on peut admirer la croissance jour après jour de carottes, choux, laitues, oignons, pommes de terre et de potagers en tous genres, mais aussi d’arbres fruitiers et d’herbes aromatiques comme les framboises, les fraises, les abricots, le romarin, le basilic et bien d’autres.

« Voyageurs en transition Système d'échange local Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sel. Un système d'échange local (ou SEL) est un système d'échange de produits ou de services qui se font au sein d'un groupe fermé (généralement associatif). Le SEL permet à tout individu d'échanger des compétences, des savoir-faire et des produits avec les autres membres du groupe. Chaque SEL est un groupe de personnes vivant dans un même secteur géographique. L’association est locale : les membres peuvent se rencontrer facilement, se connaître et développer convivialité et confiance qui sont les valeurs fondamentales des SEL. Fondations[modifier | modifier le code] Les promoteurs d'un SEL cherchent à satisfaire des besoins qui ne sont pas satisfaits pour certaines personnes, à recréer du lien entre les membres du groupe. Comme il s'agit le plus généralement, d'échanger du temps, la valeur est simplifiée à l'extrême de façon à favoriser la solidarité et le lien social. Intérêt[modifier | modifier le code]

Economie politique de Diablo (Diablo III, Diablo II) L’article de M. Lefebvre démontre très bien l’homologie entre ce jeu et les mécanismes de marché, sujet passionnant que je propose d’approfondir ici. La compréhension nécessite une certaine maitrise des théories et mécanismes fondamentaux des sciences économiques, en particulier du modèle dominant... désolé. Diablo et les processus économiques émergents Ce que l’auteur manque en revanche, c’est que Diablo II (2000) avait vu émerger en ligne cette logique de marché de façon entièrement spontanée et non prévue par le développeur. On ne saurait mieux illustrer deux principes économiques fondamentaux : la relation entre division du travail et nécessité de l’échange mise en évidence par Adam Smith en 1776 [1], et la supériorité de l’échange monétaire sur le troc. Il est donc parfaitement logique que l’éditeur ait créé cet instrument, puisqu’il était de toutes façons dépassé par un marché émergent qui aurait fait apparaître ces formes économiques. Diablo et la formation spontanée d’une monnaie

Grèce : l'autogestion en pratique, après un hôpital, un journal Les travailleurs d’Eleftherotypia sont de retour avec leur propre journal ! Ça y est ! C’est fait! Les travailleurs d’Eleftherotypia, un des plus grands et plus prestigieux quotidiens grecs, vont de l’avant dans la grande entreprise de l’édition de leur propre journal, “Les Travailleurs à Eleftherotypia” ! Depuis le mercredi 15 février, les kiosques dans tout le pays affichent à côté des journaux habituels un journal de plus, écrit par ses propres salariés. Les 800 travailleurs et travailleuses à l’entreprise X. Les travailleurs d’Eleftherotypia, voyant que le patron demande l’application de l’article 99 du code des mises en faillite, en vue de se protéger de ses créanciers, en réalité ses salariés auxquels il doit un total d’environ 7 millions d’euros en salaires impayés (!) L'affichette annonçant la sortie du journal chez les marchands de journaux : "Les travailleurs d'Eleftherotypia sont de retour - Le journal des rédacteurs est ici ! Le cas d’Eleftherotypia n’est pas unique.

Vivre sans argent : dans les Pyrénées, j'ai fait connaissance avec des néo-hippies Dans le jardin de Uli-Alto Uli-Alto est un village des Pyrénées espagnoles occupé depuis 4 ans par trois permanents français. Ils ont roulé leurs bosses, sont encore dans la première moitié de leur vie et relèvent chaque jour le pari fou de redonner vit à un village abandonné. Perché en haut de la vallée, c'est tout un monde qui vit là haut. Les gens de passage se suivent, se croisent, se ressemblent parfois et alimentent constamment ce manège aussi vital que l'eau qui coule dans la rivière en contrebas. En bon lieu ouvert, Uli s'enrichit de ses visiteurs et compense ainsi son isolement (13km de pistes de montagne pour atteindre la première route goudronnée). Une grande diversité qui m'a un peu perdu dans mon exploration des modes de vies alternatifs. Occuper l'inoccupé L’Espagne a connu un exode rural plus tardif qu'en France, particulièrement dans les années 70, laissant à l'abandon de nombreux villages. Un soir à Uli-Alto, un habitant originaire d'un squat de Barcelone

Grèce : nouvelle usine en autogestion « ΔΕΝ ΜΠΟΡΕΙΤΕ ΕΣΕΙΣ? ΜΠΟΡΟΥΜΕ ΕΜΕΙΣ! »« Vous ne le pouvez pas ? (Version en espagnol sur le site verba-volant.info, traduit du castillan par Richard Neuville) Après l’abandon de l’usine de l’entreprise Viomijanikí Metaleftikí (Industrie minière) par sa direction, l’assemblée des travailleurs a voté en faveur de l’autogestion de l’usine et est en train de se préparer à l’assumer. La direction de Viomijanikí Metaleftikí, entreprise de fabrication de carreaux de faïence et de matériaux de construction, filiale de Filkeram & Johnson, a abandonné son usine de Thessalonique et les travailleurs depuis mai 2011. Le syndicat de l’entreprise Viomijanikí Metaleftikí a organisé avec les travailleurs une occupation permanente de l’usine par rotation afin d’empêcher l’enlèvement des machines par la direction ou le vol de celles-ci. Ci-dessous le communiqué des travailleurs publié après l’Assemblée générale du 11 juillet : ¿No podéis vosotros?

La publicité peut avoir des effets nocifs sur la société Le jugement des "Déboulonneurs" de pub, accusés d'"atteinte à la liberté d'expression", est rendu mardi. Des chercheurs défendent "la liberté de (non) réception des citoyens". Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Guillaume Dumas, Mehdi Khamassi, Karim Ndiaye, Yves Jouffe, Luc Foubert et Camille Roth, chercheurs en sciences cognitives et sociales "Il serait inique que des barbouilleurs animés par un esprit civique de dépollution des images soient poursuivis et condamnés, alors que tant d'ignominies dues à la recherche du profit maximum sont tolérées." Le 3 avril, huit personnes du collectif "les Déboulonneurs" comparaissaient à la chambre d'appel correctionnelle de Paris pour avoir barbouillé des panneaux publicitaires. Les sciences cognitives et sociales (neurosciences, psychologie et sociologie notamment), disciplines dont nous relevons, tendent à montrer que la publicité biaise nos comportements les plus automatiques, y compris de façon inconsciente. Camille Roth est chercheur au CNRS.

Laissez moi vivre à poil sur mon île ! A 76 ans, Masafumi Nagasaki n'a plus peur de rien: la violence des typhons et les morsures d'insectes ne sont rien en comparaison avec la vie en société. Du coup, ce Japonais préfère vivre seul sur sa petite île, aussi inhospitalière soit elle. Depuis vingt ans, Masafumi ne veut plus entendre parler de la race humaine, raison pour laquelle il s'est installé sur la petite île japonaise de Sotobanari, située à seulement un kilomètre du rivage, mais où les courants sont si dangereux que les pêcheurs locaux n'osent pas s'y aventurer. Sur l'île, la vie n'a rien de tendre. Sur son petit bout de terre, il peut se promener nu comme un ver et faire ce qui lui plaît. "Je ne fais pas ce que la société me dit de faire, je préfère suivre les lois de la nature. Masafumi se lave à l'eau de pluie et préfère ne pas porter de vêtement sur son île.

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