Apparition de monnaies alternatives en Grèce boostées par le Net et l'Open Source
Les systèmes d’échange local (ou SEL) existent depuis bien longtemps. Dans la situation actuelle de la crise européenne, ils pourraient bien retrouver une seconde jeunesse grâce au réseau et à son esprit libre. La montée des monnaies open source en Grèce Open-source currencies on the rise in Greece Zachary Caceres - 25 juillet 2012 - Radical Social Entrepreneurs(Traduction : Amine Brikci-N, brieuc, volk, Tonio, YoDigue, Mnyo, Gatitac, KarmaSama, Uflex) Dans l’ombre de la crise européenne, les habitants de la ville grecque de Volos prennent leur avenir monétaire en main. Theodoros Mavridis et d’autres Grecs à court d’euros ont mis en place un système de monnaie locale appelé TEM, acronyme pour « Unité Alternative Locale » en grec. Même si la Grèce est en panne d’euros, les Grecs ont encore des biens et des services utiles à s’échanger. C’est là que le TEM intervient Après avoir créé un compte, les membres échangent entre eux en utilisant les crédits TEM. Et si les choses empirent ?
Comment je suis devenu plus humain : écoutez notre entretien avec Tristan Lecomte
Tout au long de son parcours au sein d’Alter Eco, Tristan Lecomte n’a cessé de tisser des liens forts, fraternels, et privilégiés avec les petits producteurs agricoles. Ces rencontres ont été la source d’actions concrètes développées pour soutenir les producteurs, grâce au commerce équitable et à l’agriculture biologique. A présent, via les marchés de la compensation carbone, il accompagne les petits producteurs vers toujours plus d’indépendance. Tristan Lecomte s’est récemment installé en Thaïlande pour vivre au plus proche de la terre. Il est aujourd’hui, lui-même, un petit producteur de riz bio et un planteur d’arbres. "Je souhaite humblement suivre l’exemple de Pierre Rabhi, qui allie la sagesse aux gestes", confie-t-il. "Le chemin reste gigantesque avant que nous ne parvenions à sauver la planète que nous avons mise en danger. Ecoutez notre entretien avec Tristan Lecomte La Forêt comme ligne directrice Les petits producteurs, une solution de par le monde
Laissez moi vivre à poil sur mon île !
A 76 ans, Masafumi Nagasaki n'a plus peur de rien: la violence des typhons et les morsures d'insectes ne sont rien en comparaison avec la vie en société. Du coup, ce Japonais préfère vivre seul sur sa petite île, aussi inhospitalière soit elle. Depuis vingt ans, Masafumi ne veut plus entendre parler de la race humaine, raison pour laquelle il s'est installé sur la petite île japonaise de Sotobanari, située à seulement un kilomètre du rivage, mais où les courants sont si dangereux que les pêcheurs locaux n'osent pas s'y aventurer. Sur l'île, la vie n'a rien de tendre. Sur son petit bout de terre, il peut se promener nu comme un ver et faire ce qui lui plaît. "Je ne fais pas ce que la société me dit de faire, je préfère suivre les lois de la nature. Masafumi se lave à l'eau de pluie et préfère ne pas porter de vêtement sur son île.
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