Au secours… trop d’info L’infobésité vous connaissez ?! Non ? La bonne question serait en fait, l’infobésité, est-ce que vous en souffrez ? D’après la dernière étude réalisée par la société MindJet, sûrement ! L’infobésité désigne le surplus d’informations que nous recevons chaque jour et qui finalement a un impact négatif sur notre travail et sur la productivité globale des entreprises. Commençons par les e-mails qui représentent la première source d’information en entreprise (selon 61% des interrogés). Parallèlement et paradoxalement alors que nous sommes submergés par l’information, un salarié passe en moyenne 25 minutes par jour à rechercher des informations dont il n’a pas directement accès. Les conséquences pour l’entreprise sont lourdes. Quand trop d’info désinforme ! Être et rester informé tel est l’enjeu des entreprises. Les média, les e-mails, les réseaux sociaux, mon smartphone, ma tablette, ma télé, etcetera ! Vous aussi calculez-votre degré infobésité grâce au test de Mindjet . Charline LEMEE
Leçon Equations diophantiennes - Cours maths Terminale Cours maths Terminale S 1/ Résultats utiles Dans les démonstrations à venir, nous aurons besoin de certains résultats vus et démontrés dans le module sur le PGCD. rappel : Soient a et b deux entiers relatifs non nuls.a et b sont dits premiers entre eux si pgcd (a,b) = 1Théorème de Bézout : soient a et b deux entiers relatifs non nuls. a et b sont premiers entre eux si et seulement siil existe u et v entiers relatifs tels que : a x u + b x v = 1 De ce théorème découlent les résultats suivants : Propriété n° 1 pgcd (a,b) = d⇔il existe a’ et b’ entiers relatifs tels que : a = da’ et b = db’ avec pgcd (a',b') = 1 Théorème de Gauss : soient a, b et c trois entiers relatifs non nuls. Si a divise bc et a et b premiers entre eux alors a divise c. Il est à noter que le théorème de Gauss peut être déduit de celui de Bézout et que cette démonstration est un des R.O.C les plus fréquents au BAC. 2/ Equations diophantiennes : définitionDéfinition : 2/ Equations diophantiennes : le cas c = 0 3/ Bilan pratique
Bac à Maths : cours et exercices de Mathématiques : lycée (1S - TS), prépas, forum Brouillon de poulet pour l'âne Centre de prospective de l'apprentissage, de l'enseignement professionnel et technologique | agefa-pedagogie En collaboration, avec des chambres de commerce et des écoles représentant des branches professionnelles significatives du monde des PME PMI, AGEFA PME a constitué, en 2011, un centre de prospective de l'apprentissage de l'enseignement professionnel et technologique. Vous trouverez ici en téléchargement des études issues de nos travaux précédents qui étaient réalisés dans le cadre de notre observatoire de l'enseignement professionnel et de l'apprentissage. Ces études sont notre patrimoine. Nos axes étaient et restent dans le cadre de notre nouvelle structure les suivants: - l'orientation, - l'Europe, - les TIC, - l'apprentissage et son évolution. Nous y ajoutons également, dans le cadre d'une de nos prochaines études, le développement durable. Pour votre information, voici les prochains thèmes d'études que nous souhaitons vous faire partager: Le BTS, passeport pour l’emploi ? Quelles promesses attendre du cycle court ?
Arithmétique/Théorèmes de Bézout et Gauss Une page de Wikiversité. Début de la boite de navigation du chapitre fin de la boite de navigation du chapitre En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Arithmétique : Théorèmes de Bézout et GaussArithmétique/Théorèmes de Bézout et Gauss », n'a pu être restituée correctement ci-dessus. Identité de Bézout[modifier | modifier le wikicode] Début d’un théorème Fin du théorème Début de l'exemple Fin de l'exemple Théorème de Bézout[modifier | modifier le wikicode] Ce théorème est un cas particulier de l'identité de Bézout.
Le site de l’APMEP (Association des Professeurs de Mathématiques de l'Enseignement Public) Le blog-notes mathématique du coyote mercredi 3 octobre 2018 Kurt Gödel, ce génie qui révolutionna les maths mais qui connut une fin tragique Par Didier Müller, mercredi 3 octobre 2018 à 06:36 - Histoire des maths Mathématicien et logicien brillant, Kurt Gödel faisait assurément partie des scientifiques les plus éminents du 20e siècle. Lire l'article de Yann Contegat sur Daily Geek Show. lu 129 fois - aucun commentaire mardi 2 octobre 2018 Devoirs : pourquoi les élèves n’en font pas plus que ce que demandent les profs Par Didier Müller, mardi 2 octobre 2018 à 07:52 - En classe Des exercices facultatifs pour s’entraîner en maths, des idées de lectures pour enrichir des cours de lettres ou éclairer des chapitres d’histoire… Jamais les enseignants n’ont manqué d’imagination pour suggérer des pistes de travail complémentaire à leurs élèves. Lire l'article sur The Conversation lu 361 fois - aucun commentaire lundi 1 octobre 2018 Le démineur et la logique, résuction et équivalence Que signifie que deux problèmes sont « équivalents » ?
Méthode du dynamique et du funiculaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode du dynamique et du funiculaire est une méthode graphique de résolution des problèmes de mécanique statique (statique graphique). Elle consiste à tracer deux diagrammes : le dynamique ou polygone des forces : les vecteurs force sont représentés avec une échelle donnée (par exemple 1 cm = 100 N) et mis bout à bout ; à l'équilibre, ils forment un polygone fermé, ce qui traduit le fait que la somme des forces est nulle ;le polygone funiculaire, ou funiculaire : sur le dessin représentant le système, on trace des segments de droite limités par les lignes d'action des forces, et à l'équilibre, on a un polygone fermé ; ceci traduit le fait que la somme des moments des forces par rapport à un point est nulle (théorème de Varignon). Le dynamique et le funiculaire sont donc une illustration graphique du principe fondamental de la statique. Principe de la méthode[modifier | modifier le code] et Puis, on écrit un tableau de deux lignes :
Images des mathématiques J’aimerais partager avec vous quelques observations concernant cette célèbre inégalité selon laquelle, dans tout espace vectoriel euclidien , la valeur absolue du produit scalaire de deux éléments n’excède jamais le produit de leurs longueurs, valeur qu’elle atteint exactement lorsqu’un des éléments est multiple de l’autre. En formules, en convenant de désigner par un point le produit scalaire : [|u\cdot v|\leq |u||v|] En dimension , cette inégalité est une égalité : elle exprime le fait fondamental que la valeur absolue d’un produit de nombres réels est égale au produit de leurs valeurs absolues. En dimension , elle est liée à la généralisation aux nombres complexes de cette propriété, à savoir l’égalité du module d’un produit de nombres complexes et du produit de leurs modules. Notons en effet et les composantes de dans une base orthonormée de et posons et . [\omega(u,v)=\det\beginpmatrixa&c\b&d\endpmatrix] En élevant au carré les deux membres de , il vient donc où et . [\frace_i.v|u|^2]
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