Armée du futur Les pirates de la nouvelle guerre israélo-arabe Ils s’appellent «Oxomar» ou bien «Anonymous Palestine». Ces hackers arabes ont lancé une nouvelle guerre contre Israël. Leurs cibles: les sites Internet de cinémas, de journaux, de la Bourse de Tel Aviv, de la compagnie nationale aérienne El Al, mais aussi de banques israéliennes. Les données de plus de 20.000 cartes bancaires israéliennes ont ainsi été piratées par Oxomar, qui se présente comme un hacker saoudien de 19 ans. L’auteur aurait réussi à obtenir ces données via des sites commerciaux offrant des réductions sur des achats en ligne. publicité Ils se justifient de vouloir punir les crimes commis par les Israéliens sur les Palestiniens. Cette guerre sur la Toile s’est rapidement transformée en un véritable feuilleton cybernétique. Ils piratent les sites Internet du ministère iranien de la Santé ainsi que celui de la chaîne de télévision iranienne en anglais Press TV. Hackers = terroristes Israël n’en est pas à sa première attaque cybernétique. Cyberattaques: comment ça marche?
xpda De Bagdad à Jérusalem : L'Orient indiscret François Hollande a raison de dire, comme il l’a fait lors de ses vœux au corps diplomatique jeudi, qu’il « ne suffit pas de répéter à l’envi qu’il faut parler à la Russie » pour régler la crise syrienne. « Nous ne cessons de le faire, a poursuivi le président de la République. Les problèmes ne disparaissent pas dès lors que nous en parlons, ce serait tellement simple ». Certes, la France parle à la Russie. Le problème, c’est qu’au cours des six années écoulées depuis le déclenchement de la guerre en Syrie, où Paris et Moscou se retrouvent dans deux camps différents, les diplomates français ont souvent usé d’un ton extrêmement dur, voire même fort tranchant et peu diplomatique à l'égard de la Russie, une posture qui s’est révélée finalement contreproductive. Petit florilège de ce dialogue franco-russe. Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy, compare le soutien russe à Assad à une « tache indélébile » sur la réputation de la Russie.
The Best Defense the capitalist network that runs the world - physics-math - 19 October 2011 AS PROTESTS against financial power sweep the world this week, science may have confirmed the protesters' worst fears. An analysis of the relationships between 43,000 transnational corporations has identified a relatively small group of companies, mainly banks, with disproportionate power over the global economy. The study's assumptions have attracted some criticism, but complex systems analysts contacted by New Scientist say it is a unique effort to untangle control in the global economy. The idea that a few bankers control a large chunk of the global economy might not seem like news to New York's Occupy Wall Street movement and protesters elsewhere (see photo). "Reality is so complex, we must move away from dogma, whether it's conspiracy theories or free-market," says James Glattfelder. The Zurich team can. The work, to be published in PLoS One, revealed a core of 1318 companies with interlocking ownerships (see image). So, the super-entity may not result from conspiracy. 1.
Un oeil sur la Syrie | Lecture et analyse de l'actualité syrienne Berlin-Paris L’héritage de Gerhard Schröder ne se résume pas à ses réformes de l’Agenda 2010, qui contribuèrent au redressement de l’économie allemande. Grâce à son style inimitable, le chancelier social-démocrate aura aussi laissé son emprunte sur la façon de faire de la politique dans une Allemagne jusque là plongée dans un conformisme soporifique. Donné perdant aux élections législatives de 2002, il avait livré une bataille mémorable de compassion envers les victimes sur le front des inondations. Et il était finalement sorti vainqueur des urnes. Angela Merkel a retenu la leçon. La chancelière allemande n’a pas osée chausser les « Gummistiefel », les bottes de caoutchouc, qui avaient dopé la popularité de Schröder. A l'approche des élections législatives du 22 septembre, où elle briguera un troisième mandat de quatre ans, Merkel est venue montrer sur le terrain qu'elle se soucie du sort de ses compatriotes. Le danger s’éloigne alors que les eaux rentrent dans leur lit en Bavière.
The DEW Line After much deliberation we have made the difficult decision to permanently close the FlightGlobal blogs. We are very proud of what we achieved with the blogs, from the excellent contributions of our talented FlightGlobal team to the great commentary and engagement of our loyal FlightGlobal audience. Things move on however and as more of our great content is delivered through flightglobal.com channels and our online subscription service FlightGlobal Dashboard, we haven’t been able to concentrate on these blogs as much as we would like.
Israël-Palestine: le plan de paix secret d'Obama - Benjamin Netanyahou, Barack Obama et Mahmoud Abbas Jason Reed / Reuters - Le parti conservateur américain devrait remporter haut la main les élections de mi-mandat. Les Israéliens peuvent-ils s'en réjouir? Ils n’ont pas une affection particulière pour Barack Obama qu’ils accusent de favoritisme à l’égard des Arabes. La propension de certains commentateurs politiques de l’affubler de son deuxième prénom, Hussein, en dit long sur le niveau des arguments employés. Plus grave encore, Jérusalem reproche au président américain d’avoir cherché une nouvelle doctrine au Proche-Orient et de vouloir faire bouger des lignes politiques figées depuis 60 ans. publicité Mais les Israéliens s’inquiètent encore plus du «plan secret» qu’Obama aurait l’intention d’imposer dans la région. Solution imposée Le projet a été présenté au président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, qui ne s'y est pas opposé. Un plan en plusieurs phases rapprochées Restructuration de l’Etat d’Israël Jacques Benillouche